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Aujourd’hui — 28 mars 2024Flux principal

Phishing : Darcula cible Android et l’iPhone par l’intermédiaire de Google Messages et iMessage

28 mars 2024 à 13:00

Darcula, c'est le nom d'une nouvelle plateforme de type "Phishing-as-a-Service" (PhaaS) qui permet d'usurper l'identité de différentes marques et organisations à partir de 20 000 domaines dans le but de voler les identifiants des utilisateurs sur mobile, aussi bien sur Android que sur iPhone. Faisons le point sur cette menace.

Alors que la plateforme Tycoon 2FA cible les utilisateurs de Microsoft 365 et Gmail sur ordinateur, Darcula quant à lui s'intéresse plutôt aux utilisateurs de smartphones Android et d'iPhone. Pour cela, des messages malveillants sont envoyés aux utilisateurs directement sur Google Messages (via le protocole RCS) et iMessage. Nous notons l'abandon du SMS traditionnel au profit du protocole RCS et d'iMessage, ce qui permet aux cybercriminels d'envoyer des messages protégés par le chiffrement de bout en bout, contrairement aux SMS. Ainsi, il n'est pas possible d'analyser le contenu du message pour le bloquer avant qu'il n'atteigne l'appareil de l'utilisateur.

Darcula : 200 modèles prêts à l'emploi

Le kit Darcula peut être utilisé par les cybercriminels pour usurper l'identité de services de livraison, mais aussi de services financiers, gouvernementaux, fiscaux, de sociétés de télécommunications, ou encore des compagnies aériennes. Au total, les abonnés ont accès à 200 modèles de messages et de pages malveillantes pour usurper l'identité des marques. Le contenu s'adapte également en fonction de la langue locale de l'utilisateur pris pour cible.

"La plateforme Darcula prétend prendre en charge environ 200 modèles d'hameçonnage, couvrant un large éventail de marques basées dans plus de 100 pays différents.", peut-on lire dans un rapport mis en ligne par Netcraft.

Source : Netcraft

Les cybercriminels n'ont qu'à choisir une marque et un script de configuration s'occupe d'effectuer la configuration dans un conteneur Docker. D'ailleurs, la plateforme Darcula utilise le registre de conteneurs Harbor pour héberger l'image Docker.

L'utilisation du protocole RCS et de iMessage

L'utilisation du protocole RCS et d'iMessage pour émettre les messages malveillants obligent les pirates à contourner certaines restrictions. Il y a notamment des restrictions pour l'envoi en masse de messages. Du côté d'Apple, c'est interdit, ce qui conduit les cybercriminels à utiliser plusieurs comptes Apple ID différents et des fermes d'iPhone pour envoyer les messages. Chez Google, une restriction a été récemment mise en place pour empêcher les appareils rootés d'envoyer ou de recevoir des messages RCS.

En complément, iMessage intègre une protection un peu plus contraignante pour les cybercriminels : l'utilisateur peut cliquer sur un lien présent dans un iMessage uniquement s'il a déjà communiqué avec l'expéditeur du message en question. Pour cela, le message indique clairement à l'utilisateur qu'il doit répondre au message par un "Y" ou un "1" afin de pouvoir accéder au lien.

Darcula - Phishing iMessage exemple
Source : Darcula

Darcula, une plateforme en pleine croissance

"Au total, Netcraft a détecté plus de 20 000 domaines liés à la cybercriminalité, répartis sur 11 000 adresses IP, qui ciblent plus de 100 marques.". De nombreux domaines en ".com" et ".top" sont utilisés par les cybercriminels et un tiers des hôtes sont protégés par les services de Cloudflare.

Par ailleurs, le document de Netcraft précise également 120 domaines supplémentaires sont créés chaque jour dans le but d'héberger des pages de phishing. Preuve que cette plateforme de PhaaS est en pleine croissance. À chaque fois, l'objectif des pirates est le même : voler les données confidentielles et/ou bancaires des utilisateurs, en fonction du template utilisé.

Même si nous tous plus ou moins habitués à recevoir ces messages suspects, restons vigilants...

Source

The post Phishing : Darcula cible Android et l’iPhone par l’intermédiaire de Google Messages et iMessage first appeared on IT-Connect.

La moitié des applis pour enfants sur Android récoltent leurs données

Par : Korben
28 mars 2024 à 09:33

— Article en partenariat avec Incogni —

Salut la compagnie. Alors si vous avez l’habitude de me suivre, vous savez que j’ai déjà présenté l’outil Incogni de Surfshark d’un tas de façons différentes. Et mentionné les nombreux services qu’il peut rendre en fonction de votre situation. Mais s’il y a une cible que je n’ai pas abordée, c’est celui de nos marmottes marmots.

Parce que oui, lorsqu’on pense aux informations personnelles récupérées pour le plus grand bonheur des datas brokers (courtiers en données), on pense souvent aux nôtres, celles des « grands ». Et cela afin de créer des profils les plus complets possibles, notamment pour obtenir une image assez précise des sites que nous visitons, de nos achats en ligne, notre situation financière, nos centres d’intérêt, etc.

Sauf qu’il y a une catégorie d’utilisateurs que l’ont a tendance à oublier dans l’histoire, les enfants. Et oui, à notre époque pas mal de gamins passent déjà des heures en ligne (sur un smartphone ou à la maison) sans se préoccuper de savoir s’il y a un danger. Et les parents ne sont pas souvent capables de sécuriser leur environnement et leur apprendre les bons réflexes. Peu vont se renseigner sur les pratiques et les accès accordés aux applications installées (déjà que les parents eux-mêmes utilisent encore des passoires notoires comme Meta & Co …). Or les outils qu’utilisent les enfants, même s’ils semblent aussi peu dangereux que Oui-Oui, n’en sont pas mieux sécurisés pour autant. Ces bases de données centralisent et récupèrent leurs actions et peuvent ensuite tomber entre des mains malhonnêtes.

Le laboratoire de recherche d’Incogni a ainsi analysé 74 applications parmi les plus téléchargées et utilisées au monde par les plus jeunes. Sans surprise cela a permis d’épingler presque 50% de celles-ci (34) dont 2/3 (21) annoncent directement partager leurs données avec des tiers. Quasi 15% récoltent jusqu’à 7 types d’informations différentes : email, historique d’achat, localisation … voire photo. On comprend vite comment les choses peuvent mal tourner. En Europe c’est en moyenne 5 informations qui sont récupérées, la 2e région du monde la plus surveillée.

Incogni applis android pour enfants

Bon après il s’agit la plupart du temps de récolter de la data pour raison marketing, ou pour diagnostiquer des problèmes techniques (bugs & co). Mais encore faut-il faire confiance aux développeurs de l’appli en question. Ainsi Pokémon Quest annonce être clean sur le Google Play Store alors qu’elle récupère des données et les partage. À peine 1 appli sur 7 permet de désactiver cette récolte de données, et 1 sur 3 ne permet pas de supprimer ses infos (pas très RGPD). Une bonne nouvelle s’il faut en trouver une ? 94% chiffrent les données. C’est déjà ça.

Pour différencier les bons des mauvais élèves, vous pouvez vous rendre sur ce lien (onglet « App Rankings » puis cherchez votre pays). En France les cartons rouges sont pour Toca Life World, Kahoot et Avatar World (7 à 12 infos collectées), par contre les jeux des studios YovoGames et BabyBus c’est safe. Ainsi que Pat Partouille à la Rescousse … ouf, je vais mes gosses vont pouvoir continuer à jouer.

Du coup, pour en revenir à Incogni, disposer d’un service qui va nettoyer les bases de données du web des informations liées à vos enfants pourra s’avérer une bonne pratique à mettre en oeuvre. Plus vous commencez tôt et moins les informations se retrouveront dans de multiples bases de données. Si l’adresse mail de votre enfant se retrouve chez un broker, la faire retirer au plus vite est un bon réflexe à avoir, avant qu’elle ne soit reprise à gauche et à droite. N’attendez pas d’intégrer la liste de dizaines de brokers comme je l’ai fait, ça m’apprendra à laisser mon email chez n’importe qui 😉

Encore faut-il se rendre compte que tel ou tel courtier a ces informations en main. C’est le travail d’Incogni, qui va scanner l’ensemble des brokers qu’il surveille afin d’y trouver les éléments que vous voulez faire supprimer. Il contactera alors en votre nom ces derniers et leur demandera des retraits, et répétera l’opération jusqu’à ce qu’ils lâchent l’affaire. Des heures et des heures de recherches économisées et vous aurez l’esprit tranquille en sachant qu’il va s’assurer que ces retraits soient définitifs. Vous pouvez même suivre l’avancée des travaux directement depuis une interface simple.

Mais n’oubliez pas que VOUS êtes le premier rempart de votre progéniture. Eduquez-les, expliquez-leur les conséquences potentielles de tout ce qu’ils font sur la toile, etc. Vous ne les laisseriez pas jouer n’importe où ni avec n’importe qui en extérieur, il n’y a pas de raison que ce soit différent en ligne. Et si vous vous y mettez un peu tard, appelez le soldat Incogni à la rescousse pour vous assurer que les dommages sont limités !

Je découvre Incogni

Hier — 27 mars 2024Flux principal

BlueDucky – Automatiser l’exploitation d’une faille Bluetooth pour exécuter du code à distance

Par : Korben
27 mars 2024 à 14:00

Vous pensiez que votre Bluetooth était safe ? Détrompez-vous ! Un chercheur en sécurité vient de dénicher une faille bien vicieuse qui permet d’exécuter du code à distance sur tout un tas d’appareils : smartphones Android, Chromecast, casques VR, TV connectées…

Le principe est diabolique : il suffit de se faire passer pour un clavier Bluetooth et hop, on peut envoyer des frappes de touches à la victime sans même qu’elle ait besoin d’accepter l’appairage. Pas besoin d’être à portée de main, quelques mètres suffisent. C’est ballot hein ?

Mais attendez, ça devient encore plus fort (ou pire, c’est selon). Des petits malins ont créé un outil baptisé BlueDucky qui automatise complètement l’exploitation de cette faille. Ça scanne les appareils vulnérables à proximité, ça les enregistre dans un fichier et ça balance un script Ducky bien sournois pour prendre le contrôle à distance. Le tout depuis un Raspberry Pi ou un smartphone Android !

Autant vous dire qu’ils se sont éclatés à tester ça sur tout ce qui passait : des smartphones, des objets connectés, des ordinateurs… Si c’est pas patché et que ça a du Bluetooth, ça tombe comme des mouches. Ils ont même réussi à ouvrir un navigateur et à envoyer la victime sur une page bien flippante, juste pour le fun.

Bon, vous allez me dire : « OK, mais comment on se protège de ce truc ?« . Eh bien c’est là que ça se gâte. Si vous avez un appareil récent, foncez installer les dernières mises à jour de sécurité. Mais pour les vieux machins sous Android 10 ou moins, c’est cuit, ça ne sera jamais patché. La seule solution : désactiver carrément le Bluetooth. Sinon, vous pouvez dire adieu à votre intimité numérique !

Mais ne cédons pas à la panique pour autant. Les chercheurs en sécurité font un boulot remarquable pour dénicher ces failles et alerter les fabricants. Maintenant, c’est à ces derniers de réagir en proposant des correctifs. Et à nous d’être vigilants en mettant à jour régulièrement nos appareils.

En attendant, si vous voulez jouer avec le feu dans la limite de ce que la loi permet, évidemment, le code de BlueDucky est disponible sur GitHub. Mais attention, c’est à vos risques et périls ! Ne venez pas vous plaindre si votre grille-pain se met à afficher des messages d’insulte au petit-déjeuner.

Pour l’installer :

# update apt
sudo apt-get update
sudo apt-get -y upgrade

# install dependencies from apt
sudo apt install -y bluez-tools bluez-hcidump libbluetooth-dev \
                    git gcc python3-pip python3-setuptools \
                    python3-pydbus

# install pybluez from source
git clone https://github.com/pybluez/pybluez.git
cd pybluez
sudo python3 setup.py install

# build bdaddr from the bluez source
cd ~/
git clone --depth=1 https://github.com/bluez/bluez.git
gcc -o bdaddr ~/bluez/tools/bdaddr.c ~/bluez/src/oui.c -I ~/bluez -lbluetooth
sudo cp bdaddr /usr/local/bin/

Et pour le lancer :

git clone https://github.com/pentestfunctions/BlueDucky.git
cd BlueDucky
sudo hciconfig hci0 up
python3 BlueDucky.py

Comme dirait l’autre, « le Bluetooth c’est comme le nucléaire, c’est génial tant que ça reste dans les mains des gentils« . Alors, soyez sympa et patchez-moi tout ça fissa ! Et si vous avez un appareil trop ancien qui traîne, coupez le Bluetooth et on n’en parle plus.

Pour en savoir plus sur cette faille et son exploitation, je vous invite à lire l’article ici.

Samsung déploie Galaxy AI sur ses anciens smartphones : voici la liste

27 mars 2024 à 09:56

Le 28 mars, Samsung va commencer à déployer One UI 6.1, la mise à jour de sa surcouche Android, sur quelques-uns de ses anciens appareils. Ils bénéficieront alors des mêmes fonctions IA que les Galaxy S24.

VLC dévoile les sombres dessous de la signature d’apps Android

Par : Korben
27 mars 2024 à 09:21

Astuces VLC

La sécurité sur Android et plus particulièrement la signature des applications c’est loin d’être tout beau tout rose. Vous le savez peut-être, notre bon vieux VLC, a quelques soucis pour mettre à jour son app Android sur le Play Store ces derniers temps.

Alors pourquoi ce blocage ? Eh bien tout simplement parce que Google a décidé de rendre obligatoire l’utilisation des App Bundles pour toutes les applications proposant des fonctionnalités TV. Jusque-là, pas de problème me direz-vous. Sauf que ce nouveau format nécessite de fournir sa clé de signature privée à Google. Et ça, c’est juste im-po-ssible pour l’équipe de VLC !

Fournir sa clé privée à un tiers, c’est comme donner les clés de son appartement à son voisin. C’est la base de la sécurité : ce qui est privé doit le rester. Sinon autant laisser sa porte grande ouverte avec un panneau « Servez-vous » ! 😅

Depuis les débuts d’Android, chaque app doit être installée via un fichier APK. Ce fichier contient tout le nécessaire : le code, les ressources, les données… Et pour vérifier qu’un APK est authentique, il doit être signé avec une clé privée générée par le développeur. N’importe qui peut alors vérifier la clé publique utilisée pour signer le fichier.

L’avantage de ce système est de garantir l’intégrité de l’app. Si le développeur perd sa clé privée ou son mot de passe, impossible de publier des mises à jour car la nouvelle signature ne correspondra pas. Et s’il file sa clé à quelqu’un d’autre, cette personne pourra signer ses propres versions qui seront considérées comme légitimes. Vous voyez le problème maintenant ?

Avec les App Bundles, on passe à un système de double signature où une clé de téléchargement (upload key) permet au Play Store de vérifier que celui qui envoie le fichier est légitime. Jusque-là, ça va. Mais où clé de signature (release key), doit être détenue par Google ! Autrement dit, le Play Store signe l’app à la place du développeur. C’est donc cette clé privée que Google réclame aujourd’hui à VLC.

Google a bien tenté de mettre en place des mesures pour atténuer le problème, comme le dual release qui permet sur les appareils récents (Android 11+) d’installer une mise à jour signée différemment si une preuve de rotation de clé est fournie. Mais pour les apps comme VLC qui supportent aussi les vieux appareils et la TV, ça ne fonctionne pas.

Du coup, l’équipe de VLC se retrouve face à un choix cornélien :

  1. Donner sa clé privée à Google et continuer à publier normalement. Bénéfice : aucun. Risque : Google a le contrôle total sur les mises à jour et la sécurité de l’app. Autant dire que pour eux c’est non.
  2. Virer le support TV des APK publiés sur le Play Store. Avantage : pas besoin de donner sa clé privée pour les appareils récents. Inconvénient : plus de support TV pour les vieux appareils sous Android 10 et moins. Pas top.
  3. Passer full App Bundles. Avantage : aucun. Inconvénient : ça rendrait l’app incompatible avec 30% des utilisateurs actuels. Même pas en rêve !

Bref, vous l’aurez compris, l’équipe de VLC est dans une impasse et c’est pour ça qu’aucune mise à jour n’a été publiée ces derniers mois sur le Play Store.

Et ce n’est pas qu’une question de principe. Le Play Store n’est pas le seul store sur Android. VLC est aussi disponible sur le site officiel, l’Amazon AppStore, le Huawei AppGallery… Donc donner sa clé à Google compromettrait toute la chaîne de publication.

Malheureusement, sans modification de la part de Google sur ces nouvelles exigences, il n’y a pas de solution miracle pour continuer à proposer le support TV sur les vieux appareils Android via le Play Store.

C’est rageant pour les développeurs qui se retrouvent pieds et poings liés, mais c’est aussi inquiétant pour nous utilisateurs. Quand le plus gros store d’apps au monde se met à réclamer les clés privées des développeurs, on peut légitimement se poser des questions sur sa conception de la sécurité et de la vie privée.

Espérons que Google entendra les critiques et fera machine arrière sur ce point. En attendant, la seule chose à faire est de soutenir les développeurs comme VLC qui résistent encore et toujours à l’envahisseur et continuent à privilégier la sécurité de leurs utilisateurs avant tout.

Si ça vous interesse, vous pouvez suivre toute l’affaire en détail sur cet article passionnant (si si, je vous jure) : VLC for Android updates on the Play Store

À partir d’avant-hierFlux principal

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Which Should You Buy in 2024?

Par : Rob Andrews
25 mars 2024 à 18:00

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Which Should You Buy

Buying your first network-attached storage device can be really intimidating! If you have spent the better part of a decade storing your personal or business data on public cloud services or in a drawer full of USB drives, but have now taken the grown-up decision to go ahead and migrate over to your own private network-attached storage (NAS). You might have done this for reasons of cost, centralization or perhaps for security, whatever the reason for your data migration, there is simply no denying that the world of NAS can be a fraction complex and confusing early doors. Like any kind of modern computer appliance, you want to make sure you buy right the first time and when it comes to choosing between two of the latest generations of Synology NAS devices, these two incredibly similar four-bay devices might be two of the most different solutions I have ever compared. The Synology DS423+ is a home and small business-focused compact NAS designed to leverage an affordable price point between reasonable hardware and reasonable software and abilities. The slightly older Synology DS923+ (by 6+ months), on the other hand, has much of a high and even in some places entry enterprise-level focus about its architecture and is needless to say the more expensive of the two. Nevertheless, both of these Synology NAS devices can be picked up for around $450 to $600 (without drives), the contrast between their pricing, are actually very different beasts. Therefore, for users that don’t quite know their AMD embedded from their Celeron integrated processors, or who aren’t sure of the benefits that ECC can bring, today I want to compare the Synology DS423+ and Synology DS923+ and help you decide which one best deserves your data!

Just before we get into the meat and potatoes of this comparison, it is worth highlighting that regardless of whether you buy the Synology DS923+ or DS423+, you are guaranteed to get a system that can perform all of the following:

  • Both units feature x86 processors, which allow a wide degree of app/services to run well and are a good price vs hardware balance
  • Both the DS923+ and DS423+ are constructed of plastic desktop compact chassis, thereby reducing power consumption, noise and heat generated
  • Both can Stream 1080p HD or 4K media, with superior performance natively and mid-range performance in Plex
  • Both the Synology DS923+ and DS423+ NAS support AI-supported photo and ‘thing’ recognition supported to a very high degree from the free branded software included
  • For Business users who currently enjoy the use of Google Workspace or Office 365, both of these NAS provide excellent means to backup your mass cloud accounts (as well as natively sync, dupe and configure rules on the fly)
  • Both the DS423+ NAS and DS923+ NAS support snapshots, for more incremental and version protecting failsafe in efforts to protect you from Malware and Ransomware attacks, by allowing multi-versioning storage history to browse through and restore
  • Both units are DLNA certified so can be accessed, browsed and played from by popular DLNA devices, such as Amazon Firestick, Alexa, Google Home Chromecast, Apple TV, Bose, Sonos, iPads, etc, as well as connectivity between these platforms with IFTTT
  • Both are multi-bay, RAID enabled devices NAS devices that support JBOD, RAID 0, RAID 1, RAID 5, RAID 6 and RAID 10 (as well as Synology Hybrid RAID too for their Plus series range), though it is worth highlighting the DS923+ is the only one that supports an expansion and therefore also can support RAID 5, RAID 6, RAID 10 and SHR-2 over an expansion (more on that later)
  • Both devices run on their own proprietary operating system that can be accessed remotely or locally. These include regular updates to the firmware, security patches, applications and more. Ranging from multimedia, home and multi-tiered backup applications, to more business end tools such as Surveillance software, Virtual Machine deployment and business-class backup and synchronization tools.
  • Both the DS423+ and DS923+ use and can be accessed equally by a multitude of mobile applications such as DS File, DS Video, DS Photo, DSCam and DS Music that are created by and constantly improved by Synology.
  • Both NAS are completely compatible with Windows, Android and Mac systems, as well as acting as a bring between software platforms to share and distribute files for migration and file sync]
  • Both units can be used as a mail and/or business servers, providing excellent 3rd party CRM and first-party CMS systems, as well as the fantastic Synology collaboration Suite of applications Chat, Drive, Mail, Calendar, Office and Active Backup Suite
  • Both systems will support DSM 7.1 or DSM 7.2 out the box, as well as support software updates (security and feature) for many years moving forward
  • Both systems support the Synology Surveillance Station applications, support numerous cameras and arrive with 2 camera licenses with your purchase

But you didn’t come to this comparison page to find out what they had in common, you wanted to know what makes them different and which one best suits your needs, so let’s crack on with this comparison.

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Price and Value

Now, for those of you that are keeping a very close eye on the budget, it will already be clear to you that the Synology DS423+ is the lower-priced NAS of the two, by quite a considerable margin! Arriving, depending on where you are in the world, for around $449 to $499, it will immediately look more appealing to those on a tight budget when compared against the $549 to $599 of the DS923+. And that is before you’ve gone ahead and purchased any storage media too, so that’s saving of $100 to $150 could go a long way to further bolstering your network-attached storage setup. So, if the most important thing to you right now is remaining within a tight budget, then it might be worth seeing to read the rest of this article as when comparing DS423+ and DS923+, we have to look considerably more at the subject of value, not price. Price. Both of these devices arrive with the same software, Synology DSM 7.2, as well as both systems being two drive NAS solutions that support nearly identical ranges of storage media too, but more on that later. In terms of physical size, the range of components, they are pretty darn similar at a casual glance. However, it is in terms of the individual hardware components and scalability where the Synology DS923+ shows its worth, which we will cover shortly in the hardware section. But at least in terms of numerical value, the Synology DS423+ carries the lead. However, the reality isn’t quite that simple:

This is because the Synology DS923+ was released approx than half a year earlier than the DS423+ (Nov 2022 vs April 2023) and because of its wider availability and longer presence in the market, it has been featured in numerous special offers throughout that time. We saw this near $500 NAS on a few considerably impressive special offers throughout Amazon Prime day and other smaller eShop-specific events. So, yes, the DS423+ is the lower-priced NAS of the two, but do make a point of checking your local online retailer to see if the DS923+ is on special offer right now!

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Hardware and Connections

The hardware architecture of the DS423+ and DS923+ clearly have two very different target audiences in mind. The DS423+ has more of a home and multimedia feel about it, while the DS923+ feels substantially more like a business solution. This is reflected in numerous areas such as the distinct differences in CPU, memory specifications, and potential for growth. Even if you were to take into account the affordability of the DS423+, it has to be said that in the majority of hardware available, the DS923+ is significantly more powerful and scalable in practically every way. Here is a brief summary of the key hardware highlights of either system, side-by-side:

Synology DS423+ vs DS923+ NAS Hardware Comparison
Synology NAS
Amazon Price: $479 (Amazon 25/02/24)

$599 (Amazon 25/02/24)

Processor model Intel Celeron J4125 (2019 Gen) AMD Ryzen R1600 (2020 Gen)
processor architecture 64-bit 64-bit
processor clock 4-core 2.0 (base frequency) / 2.7 (burst frequency) GHz 2-core 2.6 (base frequency) / 3.1 (max overclock) GHz
Integrated Graphics Yes (250-750Mhz) No
Hardware encryption engine (AES-NI) Yes Yes
system memory 2 GB DDR4 non-ECC 4 GB DDR4 ECC
Pre-installed memory modules Yes 4GB (4GB x 1) via SODIMM
Total number of memory slots 1 2
Maximum memory capacity 6 GB (2 GB + 4 GB) 32GB (16GB x 2)
The maximum number of disk slots for an expansion unit N/A 7 (DX517 x 1)
M.2 drive bay N/A 2 (NVMe, PCIe 3×1)
Compatible Disk Type
  • 3.5″ SATA HDD
  • 2.5″ SATA SSD
  • 3.5″ SATA HDD
  • 2.5″ SATA SSD
  • M.2 2280 NVMe SSD
Disk hot-plug support* Yes Yes

So first and foremost, we need to discuss the main differences between the CPUs available here. The Intel Celeron found inside the DS423+ is a four-core, four-thread processor with a clock speed of 2.0 GHz that can be burst to 2.7 GHz when needed. However, despite the age of this CPU, which was released towards the end of 2019, it is the integrated graphics of this processor that gives it a slight edge for some users in terms of NAS deployment- especially those looking at multimedia use for their system. For users that are looking at the manipulation of graphical data, or more commonly are using the NAS as a multimedia server and wish to convert dense multimedia into something more manageable locally (for example, converting a dense 4K file into a much smaller and portable version to watch on the phone whilst commuting to work, on the fly), integrated graphics allow the NAS to perform this task with much lower overall resource consumption.

Thanks to it having a more specialized tool to get this job done. The embedded Ryzen R1600 processor on the other hand, lacks the integrated graphics and is a dual-core processor instead of a quad-core. However, it substantially makes up for this by being a much more powerful dual-core processor, with four threads that allow the system to assign system resources in a similar way to that of having multiple cores. Equally, the clock speed is noticeably higher here with the DS923+ CPU having a 2.6 GHz base power that can be burst when needed to 3.1 GHz. It is true that in cases of graphical manipulation or multimedia conversion, the AMD CPU here will be far less efficient and capable. However, in practically every other way, it is superior to that of the J4125 inside the DS423+. And if you are more concerned with traditional file transfer speeds internally and externally, the DS923+ will comfortably be the better-performing NAS.

 

The CPU choices in the DS423+ and DS923+ also result in very different memory architectures in each device, which will undoubtedly result in different scalability in the long term. The DS423+ arrives with 2GB of 2666Mhz memory, soldered to the main controller board, which can be further expanded via an available SODIMM memory slot to 6 GB total. This may be a little disheartening when you find out that the CPU here is actually capable of supporting 8 GB maximum memory. However, due to that initial 2GB memory being fixed internally, you cannot officially exceed 6 GB physically. This shortfall is considerably magnified when you bring into comparison the DS723’s memory structure. It arrives with 4GB of DDR4 3200Mhz memory which can be expanded to a whopping 32 GB total across two available SODIMM slots. Additionally, the system arrives with error-correcting code (ECC) memory, which ensures that data that passes through the memory during write operations will have its integrity checked by a separate module on the memory of the system. If any irregularities or inconsistencies are spotted, that data will be repaired. This goes a long way to reassure any doubts around the integrity of long-term archival data and susceptibility to things like bit rot. This is one of the main reasons why the DS923+ is considered much more of a business solution overall.

Much like the memory choices by Synology in these two NAS devices, the ports and connections of them both are similar, but one is definitely more scalable than the other. Both systems arrive with standard gigabit ethernet connectivity, with two available ports that each will provide up to a maximum 109 megabytes per second. Both systems also arrive with USB 3 connectivity, but it is only 5GB gen 1 USB. However, it is from here onward that the DS723 massively upscales things:

Model ID Synology DS423+ Synology DS923+
Synology NAS
RJ-45 1GbE LAN port* 2 (Supports Link Aggregation / Failover) 2 (Supports Link Aggregation / Failover)
USB 3.2 Gen 1 port* 2 2
eSATA port 0 1
USB Copy Yes (inc. Physical Button) Yes
PCIe expansion N/A 1 x Gen3 x2 LAN card slot
system fan 92 mm x 92 mm x 2 pcs 92 mm x 92 mm x 2 pcs
fan mode
  • full speed mode
  • low temperature mode
  • silent mode
  • full speed mode
  • low temperature mode
  • silent mode
Front panel LED indicators with adjustable brightness Yes Yes
Noise value* 19.8dB(A) 22.9 dB(A)
wake on lan Yes Yes
Power Supply / Transformer 90W 100W
AC input voltage 100V to 240V AC 100V to 240V AC
current frequency 50/60 Hz, single frequency 50/60 Hz, single frequency
Power consumption 28.3 W (access)
8.45 W (disk hibernation)
35.51 W (access)
11.52 W (disk hibernation)

For a start, the DS923+ features an eSATA external port that is used to connect the official Synology 5-bay expansion device, the DX517. This means that while the DS423+ has a maximum long-term capacity of four SATA drives, the DS923+ allows you to expand your storage down the line by an additional five SATA bays (so 9 Bays total). This can be done gradually and this storage can either mirror the original NAS or extend the storage pool across both devices.

Scalability and expandability do not stop there though, with the DS923+ also having the option to add a network adapter upgrade module (the E10G22-T1-MINI) to increase your network bandwidth to 10GbE. This is going to be incredibly useful for users who plan on taking advantage of SSDs or plan on having a much busier network environment between the NAS and multiple users and tasks at any given time. And it doesn’t stop there! Though BOTH systems also features two SSD bays on its base for installing M.2 2280 SSD modules (which can be used for caching or as raw storage pools, depending on which drive you use), the DS423+ is a Gen 2 PCIe lane system, whilst the DS923+ is a Gen 3 system – resulting in double the bandwidth per lane (ultimately, the difference between 500MB/s max per SSD on the DS423+ and 1,000MB/s on the DS923+). This is a feature that, although growing more common across Synology’s NAS portfolio, it is still unavailable on many of their lower tier/affordable systems (such as the DS224+) and, alongside the lack of storage expansion support, the gen2 speeds on these bays will place limits the storage potential long term on the more affordable NAS.

Finally, we need to discuss storage media compatibility, as this has grown to be another thing that has changed the way in which a user can populate their NAS quite a lot in recent years. On the list of storage media that they are prepared to verify as compatible with their systems. Although technically, one could say that any SATA media drive would be compatible with a SATA NAS, there are still a few incredibly isolated examples of compatibility, durability and stability. Synology requires that all drives need to be officially checked and verified before they’re prepared to add them to their list in order to truly guarantee that a user will get the promised Synology experience from their hardware with that media. As questionable as this might sound, the result is that the list of compatible storage media for both of these devices, despite their incredible similarities, is actually pretty darn different. Take a closer look at the slideshow below of compatible HDDs from WD and Seagate on these two NAS systems (from 21st July 2023) and see if you can spot an odd inconsistency:

In the case of the DS423+, we see a smaller pool of supported storage media, as well as a lower list of larger capacity drives being featured also. The DS923+, on the other hand, seemingly has a larger pool of more high capacity drives added and available to it, as well as a larger range of Synology’s own drives available for use with that system that includes the higher end options in the HAT5300 range. Synology has clearly prioritized higher-end drives for more advanced Synology systems, but for those that like to use their system clearly and rigidly within the defined parameters of a brand to maintain their warranty/guarantee, this is going to be a little disheartening to see the smaller pool of verified compatible storage media on the more affordable NAS solution. This is something that may well change over time as more drives are added to verified compatibility lists, but Synology has not exactly been putting their foot on the gas here. Given how close these two systems have been released side by side and the large disparity between their compatibility lists, I can’t see a huge amount of change happening anytime soon. It is absolutely no surprise that the more expensive Synology NAS has a better degree of hardware options in the long term. Though, it should be highlighted that a lot of the real benefits available in the DS723 are optional extras, long-term scalability and upgrades that are not necessarily available in the default model. It could be very easily argued that you are paying for entry to then pay extra for delivering upgrades, SSD upgrades, storage scalability, and increasing your memory years from now. Nevertheless, the fact that the baseline memory is ECC and the AMD CPU is indeed more powerful in most ways, does make up some of that additional cost and ultimately mean that in terms of hardware and connectivity, the DS923+ is the better of the two.

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Software and Services

At the risk of being incredibly repetitious, both of these devices are remarkably similar in what they can do in Synology’s premium DSM software platform, but the scalability and scope provided by the DS923+ inevitably leads to that more expensive system, ultimately giving you just more resources with which DSM can utilize. In terms of the actual range of applications, services supported on either system and scope for use right out of the box, both the DS423+ and DS923+ have got more than enough to run every single available app and tool available in DSM 7.2. Despite their rather modest scale, both systems can run multiple virtual machines, host a fantastically capable surveillance solution with numerous cameras, both can provide an excellent Plex media server experience (with a slight edge to the DS423+ in terms of conversions and transcoding when needed), and in terms of backups, both systems support the full range of services from Hyper Backup and Active Backup Suite. If you are a small business or just a small group of users who are going to be interacting with either of these NAS units fairly regularly, you’re going to have a largely identical experience in either one of these two systems using the baseline default hardware. However, things will change as soon as you start moving into larger simultaneous access, more high-volume application exchanges between the system and client hardware, and the scope of each one of those individual processes growing over time. In terms of the escalation of accessing the services of DSM and long-term future-proofing of a system running at top speed, despite growing requirements and demands of the system, the DS923+ comfortably wins.

Synology NAS Synology DS423+ Synology DS923+
Maximum single volume capacity* 108TB 108TB
Maximum number of storage spaces 64 64
M.2 SSD volume support* Yes Yes
SSD Read/Write Cache (White Paper) Yes Yes
SSD TRIM Yes Yes
Support RAID disk array type
  • Synology Hybrid RAID
  • Basic
  • JBOD
  • RAID 0
  • RAID 1
  • RAID 5
  • RAID 6
  • RAID 10
  • Synology Hybrid RAID
  • Basic
  • JBOD
  • RAID 0
  • RAID 1
  • RAID 5
  • RAID 6
  • RAID 10
file agreement SMB/AFP/NFS/FTP/WebDAV SMB/AFP/NFS/FTP/WebDAV
Maximum simultaneous SMB/AFP/FTP connections 500 1000
Maximum number of simultaneous SMB/AFP/FTP connections (with extended memory) 1500 2000
Windows Access Control List (ACL) Integration Yes Yes
NFS Kerberos authentication Yes Yes
Maximum number of local user accounts 2048 2048
Maximum number of local groups 256 256
Maximum number of shared folders 256 512
Maximum Shared Folder Sync Tasks 8 16
VMware vSphere with VAAI N/A Yes
Windows Server 2022 N/A Yes
Citrix Ready N/A Yes
OpenStack N/A Yes
Media Server Yes Yes
DLNA compatible Yes Yes
Synology Photos Yes Yes
face recognition Yes Yes
Snapshot Replication Yes Yes
The maximum number of snapshots supported by a single shared folder 1024 1024
Maximum number of system snapshots 65536 65536
Surveillance Station Yes Yes
The maximum number of cameras supported (camera authorization is required) 40 (including 2 sets of free licenses 40 (including 2 sets of free licenses
Frames per second (FPS) (H.264) 1200 FPS @ 720p (1280×720)
800 FPS @ 1080p (1920×1080)
350 FPS @ 3M (2048×1536)
280 FPS @ 5M (2591×1944)
170 FPS @ 4K (3840×2160)
1200 FPS @ 720p (1280×720)
1050 FPS @ 1080p (1920×1080)
600 FPS @ 3M (2048×1536)
360 FPS @ 5M (2591×1944)
200 FPS @ 4K (3840×2160)
Frames per second (FPS) (H.265) 1200 FPS @ 720p (1280×720)
1200 FPS @ 1080p (1920×1080)
600 FPS @ 3M (2048×1536)
480 FPS @ 5M (2591×1944)
200 FPS @ 4K (3840×2160)
1200 FPS @ 720p (1280×720)
1200 FPS @ 1080p (1920×1080)
1000 FPS @ 3M (2048×1536)
600 FPS @ 5M (2591×1944)
300 FPS @ 4K (3840×2160)
Synology Drive Yes Yes
Recommended number of clients that can sync simultaneously 350 (the number of devices that can be connected at the same time when the recommended number of stored files is reached) 350 (the number of devices that can be connected at the same time when the recommended number of stored files is reached)
Recommended number of files to store 5,000,000 (Applicable to files indexed or belonging to Synology Drive , files accessed through other protocols, please refer to the file service in the above field) 5,000,000 (Applicable to files indexed or belonging to Synology Drive , files accessed through other protocols, please refer to the file service in the above field)
Synology Office Yes Yes
Maximum number of users 1200 1200
Video Station Yes Yes
Virtual Machine Manager Yes Yes
Recommended number of virtual machines 2 (see more) 4 (see more)
Recommended number of Virtual DSMs (licensing required) 2 (including 1 set of free licenses) 4 (including 1 set of free licenses)
VPN Server Yes Yes
Maximum number of connections 40 40
Synology High Availability Yes Yes
log center Yes Yes
Number of logs received per second 800 800
Backup folders and packages Yes Yes
backup the whole system Yes Yes
Remark Full system backup requires DSM 7.2 or later. Full system backup requires DSM 7.2 or later.
Maximum number of Hybrid Share folders 10 10

Notwithstanding that the system has a much higher clock speed CPU that, despite only being a dual-core processor, features a four thread architecture with DSM, allowing a lot of the spreading of resources normally associated with cores to be made available with vCPU allocation (containers, virtual machines and just natively). Then there is the scope for the larger overall capacity available to be upgraded towards in terms of memory, with the rather modest 6GB of memory on the DS423+ looking quite underwhelming when compared against the whopping 32 GB maximum memory that is scalable on the DS923+. That ultimately adds up to the more expensive NAS system having a better opportunity to grow alongside a more demanding data storage network of connected devices and users over time. And we haven’t even touched on the performance benefit in DSM and all of the first and third party applications when we factor in support of Gen3 SSDs for caching or storage pools in the DS923+, both of which are going to allow much better, long-term utilization and overall, a much smoother experience for a considerably longer amount of time than that of the DS423+. Ultimately, if you think your utilization of the NAS is going to grow steadily and increasingly over time, the DS923+ is the better choice here in terms of software, in and out of DSM.

Synology DS423+ vs DS923+ NAS – Conclusion and Verdict

Unsurprisingly, what we have here is an old-fashioned case of getting what you pay for. The DS423+ is a very solid, and reliable NAS solution and is definitely more than capable of running the bulk of modern NAS hardware needs, also, remaining pretty flexible in the resources available to it on day one to get the job done. Equally, for home users and particularly those seeking a more flexible approach to multimedia, the DS423+ does bring a decent amount of bang for buck when you compare it against the bulk of other Synology solutions in the brand’s portfolio. But it just pales in comparison to the sheer scope of scalability, upgrade options and flexibility long-term that the DS923+ provides. And regardless of whether you’re a business user or a home user that may perhaps be looking to do something more aggressive with their storage down the line, the DS923+ justifies a lot of the extra expense, simply by the weight of it having that ECC memory, twice the default memory on day 1, Gen3 SSD NVMe storage options, expandability, 10G as an optional extra and the scale of how far you can upgrade the memory. As mentioned earlier, we have to at least acknowledge that a lot of these advantages that the DS923+ presents compared with the DS423+ are ones that you will only really take advantage of if you spend a little bit more money, but having the option for that scalability down the line for many users is going to be worth the investment on day one. Side by side, in most cases, the DS923+ will comfortably outperform the DS423+ even in the default model, so you still aren’t losing out just because you’re paying extra for upgrade options you may not use later down the line.

Synology NAS
Amazon Price: Synology DS423+ NAS

$479 (Amazon 25/02/24)

Synology DS923+ NAS

$599 (Amazon 25/02/24)

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Android 15 va bloquer certaines apps obsolètes, êtes vous concernés ?

Android 15 devrait être la mise à jour qui sonne le glas de certaines applications obsolètes. En effet, Google aurait comme projet de rendre impossible l'installation des apps ou jeux créés pour Android 6.0 (Marshmallow) lors du déploiement de sa nouvelle itération de l’OS.

L’article Android 15 va bloquer certaines apps obsolètes, êtes vous concernés ? est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

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Android 15 : date de sortie, nouveautés de Google, téléphones compatibles… tout ce que l’on sait

25 mars 2024 à 11:45

La sortie d'Android 15 est attendue pour la fin de l'année 2024, mais ce printemps Google présentera les grandes évolutions de son système d'exploitation mobile, durant sa conférence Google I/O. Date de sortie, smartphones compatibles... les premiers éléments de l'O.S. sont déjà connus.

J’ai remplacé mon iPhone par un Samsung à 100 euros

23 mars 2024 à 16:11

Remplacer un iPhone 14 Pro par un modèle qui vaut 10 % de son prix, voici le défi auquel je me suis prêté pendant une dizaine de jours. Une idée absurde ? Oui, mais beaucoup moins que ce que j'imaginais.

Android 15 ouvre la porte aux smartphones connectés aux satellites

22 mars 2024 à 12:52

La prochaine version du système d'exploitation mobile de Google, Android 15, sera présentée en mai, pour une sortie à l'automne. Il est notamment prévu une prise en charge de la connectivité satellitaire. Comme sur iPhone.

Abandonné en 2014, le smartphone Amazon refait parler de lui

22 mars 2024 à 11:23

Dans sa plainte contre Apple, le Département de la Justice des États-Unis (DOJ) reproche à Apple des faits connus, comme la restriction de certaines fonctionnalités à ses propres services, et d'autres plus contestables. Parmi eux : le fait qu'Apple aurait empêché Amazon de le concurrencer avec son Fire Phone, un produit critiqué dès son annonce.

On en sait plus sur l’arrivée de l’Epic Games Store sur iPhone et Android

21 mars 2024 à 10:48

Grâce à un nouveau règlement européen, le DMA, Epic Games lancera prochainement son magasin d'applications sur iOS et Android, avec le retour de Fortnite sur iPhone. L'entreprise proposera aux développeurs une taxe de 12 %, soit un modèle semblable à celui d'Apple.

Apple, Google, Nintendo : AliExpress baisse le prix des grandes marques et n’y va pas de main morte [Sponso]

Par : humanoid xp
18 mars 2024 à 09:32

Cet article a été réalisé en collaboration avec AliExpress

Jusqu’au 27 mars à 23 h 59, AliExpress lance une flopée de promotions sur une sélection de produits tech de grandes marques. Apple, Samsung, Xiaomi ou Nintendo, de nombreuses références de produits premium voient leur prix chuter drastiquement. Attention, les quantités sont limitées. On vous aura prévenus.

Cet article a été réalisé en collaboration avec AliExpress

Il s’agit d’un contenu créé par des rédacteurs indépendants au sein de l’entité Humanoid xp. L’équipe éditoriale de Numerama n’a pas participé à sa création. Nous nous engageons auprès de nos lecteurs pour que ces contenus soient intéressants, qualitatifs et correspondent à leurs intérêts.

En savoir plus

Android – Comment changer de pays sur Google Play Store ?

15 mars 2024 à 17:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment changer de pays sur Google Play pour accéder au catalogue d'applications Android d'un autre pays. En effet, vous l'ignorez peut-être, mais certaines applications sont disponibles uniquement dans certaines régions, ou à l'inverse, indisponibles dans certaines régions. Par exemple, ceci peut être utile pour un français en voyage à l'étranger ou expatrié dans un autre pays.

Pour contourner cette limitation, que ce soit à partir d'un smartphone ou d'une tablette Android, ou même en effectuant la configuration depuis votre ordinateur, vous devez utiliser un VPN. Il existe différentes solutions sur le marché des VPN grand public. Dans cet article, nous allons utiliser la solution CyberGhost VPN.

L'alternative consiste à utiliser un site permettant de télécharger le package APK de l'application que vous souhaitez obtenir, mais ceci signifie que vous n'utilisez plus le magasin d'applications officiel. Bien que ça puisse fonctionner, sachez que certains packages APK peuvent être infectés par un malware, ce qui expose votre appareil et vos données. De plus, vous n'aurez pas les futures mises à jour de l'application en question. Il est recommandé de changer de pays dans Google Play en passant par un VPN.

Avant de commencer : vous devez savoir une chose importante : vous pouvez changer de pays dans le Google Play Store qu’une fois par an. Votre moyen de paiement et votre solde sont également spécifiques à chaque pays/région.

II. 83% de réduction sur l'abonnement CyberGhost VPN

Sur ce marché, CyberGhost VPN est l'un des leaders et cet article est également l'occasion de vous parler de la promotion actuellement disponible sur l'abonnement. Voici l'offre proposée :

En bref, pour moins de 50 euros, vous pouvez bénéficier de CyberGhost VPN pendant 2 ans et 4 mois ! Sachez qu'un seul et même abonnement peut être utilisé sur 7 appareils différents, en simultané ! Cette offre est valide jusqu'au 7 décembre 2023.

III. À quoi sert le VPN de CyberGhost ?

Au-delà du scénario évoqué dans cet article, sachez que vous pouvez utiliser ce VPN dans différentes situations. Tout d'abord, il vous permettra de naviguer sur Internet de façon plus anonyme, ce qui renforcera la protection de votre vie privée sur le Web. Le trafic à destination d'Internet étant envoyé par l'intermédiaire du tunnel VPN, il est protégé grâce au chiffrement, donc vous pouvez activer le VPN lorsque vous êtes connecté au réseau d'un hôtel, d'un restaurant, d'un train, etc.

Par ailleurs, le VPN peut s'avérer utile pour du P2P, mais aussi pour accéder à des catalogues de contenus d'autres pays (par exemple, le catalogue de streaming de Netflix US). Enfin, sachez qu'à partir du moment où le VPN est actif, certains flux sont filtrés, donc vous bénéficier d'une protection pour bloquer certains logiciels malveillants et éliminer la publicité (attention, il y a des exceptions, notamment sur YouTube).

CyberGhost VPN peut être utilisé sur différents types d'appareils : PC, smartphones, tablettes, smart TV, consoles de jeux, etc...

Pour en savoir plus sur CyberGhost, lisez notre précédent article :

IV. Android : accéder à un autre catalogue sur Google Play

Actuellement, l'appareil Android est associé à un compte Google dont le pays est la France. Nous allons modifier le pays rattaché à ce compte pour basculer sur les États-Unis.

A. Se connecter au VPN

La première étape consiste à se connecter à un VPN, sur un serveur aux États-Unis, pour simuler notre présence sur le sol américain. Vous devez donc installer CyberGhost VPN sur votre appareil Android et vous connecter à votre compte.

Au sein de l'application CyberGhost VPN, choisissez le pays correspondant à celui que vous souhaitez définir dans Google Play et lancez la connexion. Pour ma part, ce sera "États-Unis". Une fois que la connexion VPN est active, le bouton Power est jaune et vous avez une adresse IP VPN.

Laissez le VPN actif et suivez la suite de cette procédure.

B. Effacer les données de Google Play Store

La seconde étape consiste à supprimer les données de l'application Google Play Store. Il s'agit bien des données de cette application, ce qui n'aura pas d'impact sur les applications installées sur votre appareil.

À partir des paramètres de votre appareil, accédez à la liste des applications.... Et appuyez sur "Google Play Store". Ici, appuyez sur "Espace de stockage et cache" puis supprimez les données via les deux boutons "Effacer du stockage" et "Effacer du cache". Selon votre version d'Android et la marque de votre appareil, l'intitulé de ces options peut varier.

Quand c'est fait, vous pouvez passer à l'étape suivante.

C. Changer le pays dans le Play Store

Ouvrez l'application Google Play Store sur votre appareil, toujours en étant connecté au VPN. Appuyez sur votre avatar en haut à droite, puis sur le bouton "Paramètres". Ensuite, appuyez sur "Préférences du compte et de l'appareil" et vous devriez voir des informations sous "Pays et profils". Ici, il y a notamment une phrase intitulée "Accéder au Play Store de ce pays : États-Unis". Vous l'aurez compris, le Play Store vous propose de changer de pays.

Puisque nous sommes "connectés" au Play Store d'un autre pays, nous pouvons que le classement des meilleures applications est différent de celui de la France. Par exemple, nous avons l'application de Walmart, une chaine de supermarché populaire présente en Amérique. Désormais, nous pouvons installer ces applications, y compris celle de Walmart qui, en principe, n'est pas accessible depuis la France.

Android - Google Play Store - Changer Pays - Exemple Walmart

Dans certains cas, il est possible que l'application Play Store vous oblige à ajouter un moyen de paiement afin de pouvoir basculer sur un autre pays. Ceci est problématique si vous souhaitez effectuer ce changement ponctuellement... Pour contourner ce prérequis qui peut s'avérer embêtant, vous devez vous connecter au VPN dans le pays cible, et créer un nouveau compte Google à partir de là. Ainsi, ce nouveau compte sera associé à ce pays et vous pourrez toujours utiliser votre compte principal sur votre appareil.

V. CyberGhost VPN : quelques chiffres et informations clés

Si vous avez encore quelques minutes devant vous et que vous souhaitez en savoir plus sur la solution CyberGhost, vous pouvez lire cette partie de l'article !

CyberGhost VPN a été créé en 2004 et cette solution a été lancée par CyberGhost SA, une entreprise basée à Bucarest, en Roumanie. Depuis quelques années, CyberGhost VPN appartient à Kape Technologies PLC, une entreprise spécialisée dans la fourniture de logiciels destinés aux consommateurs et axés sur la protection de la vie privée. Aujourd'hui, CyberGhost VPN revendique 38 millions d'utilisateurs à travers le monde.

Avant que l'on rendre dans le vif du sujet, voici quelques informations importantes :

  • Tarif de l'abonnement : 2,03€ par mois
  • Nombre d'appareils avec un seul abonnement : 7 appareils différents (en même temps)
  • Satisfait ou remboursé : Vous avez 45 jours pour tester le service et demander un remboursement
  • Applications : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, ainsi qu'Android TV, Fire TV Stick et certains routeurs
  • Nombre de serveurs : plus de 10 600 serveurs répartis dans 100 pays
  • Protocoles VPN pris en charge : OpenVPN, IKEv2, WireGuard
  • Mode P2P : oui
  • Killswitch : oui
  • Filtrage DNS pour éliminer les publicités : oui
  • Attribution d'une adresse IP dédiée : oui (payant)
  • Avis Trustpilot : 4.4 sur 5 avec plus de 19 300 avis

VII. Conclusion

En suivant cette procédure, vous devriez être en mesure de changer de pays dans le Google Play Store grâce à l'utilisation d'une connexion VPN. Pensez à bien activer le VPN avant de chercher à modifier la configuration du Play Store.

Si vous rencontrez des difficultés, vous pouvez poster un commentaire sur cet article.

Cet article contient une communication commerciale.

The post Android – Comment changer de pays sur Google Play Store ? first appeared on IT-Connect.

Android 15 va vous aider à retrouver votre smartphone perdu même s’il est éteint !

Le prochain système d’exploitation de Google, Android 15, pourrait accueillir une fonctionnalité très intéressante. Grâce à une API inédite, Powered Off Finder, il serait bientôt possible de retrouver son smartphone où qu'il soit. Mieux encore, la localisation marcherait même sans internet et avec le téléphone éteint.

L’article Android 15 va vous aider à retrouver votre smartphone perdu même s’il est éteint ! est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

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Sony Xperia 5 V : ce smartphone doué en photo est à un meilleur prix qu’à sa sortie

13 mars 2024 à 10:19

[Deal du jour] Sony possède une gamme de smartphones performants, mais souvent à un prix élevé. Le Xperia 5 V est un bon modèle et surtout un très bon photophone. Il est en ce moment 150 € moins cher sur Amazon.

WhatsApp améliore la confidentialité avec une maj inédite

Par : Korben
11 mars 2024 à 14:38

Ça y est les gars, WhatsApp continue de nous en mettre plein la vue avec une nouvelle mise à jour bien badass qui va clairement révolutionner notre façon d’utiliser cette app de messagerie qu’on adore tous secrètement (ou pas). La version bêta pour Android 2.24.3.17 vient tout juste de sortir grâce au Google Play Beta Program et croyez-moi, cette update a de la gueule !

La grosse nouveauté qui déboite, c’est que les dev de WhatsApp sont en train de bosser sur une petite phrase bien pratique qui va s’afficher dans vos conversations pour vous rappeler que vos échanges sont chiffrés de bout en bout. Ça a l’air de rien comme ça, mais c’est clairement un plus pour la confidentialité et la tranquillité d’esprit.

Pour l’instant, cette fonctionnalité est encore en développement, donc pas la peine de la chercher partout dans votre app, même si vous installez la dernière bêta. Mais les petits gars de chez WABetaInfo nous ont quand même dégoté un screenshot en avant-première pour nous mettre l’eau à la bouche.

Comme vous pouvez le voir sur cette capture d’écran, WhatsApp va rajouter une jolie petite phrase sous le nom de votre contact ou de votre groupe, avec même un petit cadenas pour faire genre c’est ultra secure. Un vrai régal pour les yeux et pour votre parano légendaire, avouez !

Alors bien sûr, techniquement vos conversations étaient déjà chiffrées de bout en bout hein, pas de panique. Mais cette phrase, c’est juste un rappel visuel, pour vous rassurer et vous montrer que WhatsApp en a clairement quelque chose à carrer de votre vie privée. C’est beau putain (oui j’en fais des caisses).

Bon après faut pas s’emballer non plus, cette indication ne va pas rester affichée en permanence. D’après les tests de WABetaInfo, le message va disparaître au bout de quelques secondes pour laisser place à votre bon vieux « last seen ». Mais c’est toujours ça de pris !

Alors quand est-ce qu’on pourra enfin profiter de cette innovation de malade sur nos smartphones Android ? Bah pour l’instant c’est un peu le mystère, vu que la fonctionnalité est encore en développement. Mais vu la vitesse à laquelle WhatsApp nous pond des updates en ce moment, ça ne devrait plus trop tarder.

En attendant, si vous voulez absolument frimer auprès de vos potes en leur montrant cette nouveauté en avant-première, vous pouvez toujours vous inscrire au programme bêta de WhatsApp sur le Play Store. Mais bon, faudra pas venir pleurer si votre app plante toutes les 5 minutes hein !

En tout cas, cette update montre bien que WhatsApp est à fond sur la sécurité en ce moment. Entre ça et l’arrivée des sauvegardes chiffrées sur Google Drive, on peut dire que la confidentialité est clairement devenue le cheval de bataille de l’app. Et franchement, c’est plutôt une bonne nouvelle vu les scandales à répétition sur les fuites de données et autres joyeusetés du genre.

Bon après, on va pas se mentir, WhatsApp appartient quand même à Facebook hein. Donc niveau respect de la vie privée, y’a encore du boulot. Mais au moins, avec des initiatives comme celle-là, on a l’impression que les choses bougent un peu dans le bon sens. C’est toujours ça de pris !

Bon allez, sur ce je vous laisse, j’ai un max de conversations WhatsApp à chiffrer moi. Prenez soin de vous les amis, et n’oubliez pas : avec WhatsApp, vos petits secrets sont (presque) bien gardés maintenant !

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