Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

Comment configurer un VPN Wireguard sur l’UDM Pro SE d’Ubiquiti

Récemment, nous avons vu comment créer un tunnel VPN L2TP/IPsec sur l’UDM. Il y a quelques semaines Ubiquiti à mis à jour l’UDM Pro SE pour lui ajouter WireGuard. Ainsi, vous pourrez maintenant utiliser Wireguard en tant que serveur VPN depuis votre matériel Ubiquiti et sans avoir à bidouiller. Wireguard c’est quoi ? WireGuard est …

Ubiquiti : Comment mettre à jour UniFi Network Application via SSH ?

Hey ! Bonjour à toutes et à tous ! 🤙 Nous voilà de nouveau réunis pour cette fois-ci parler Ubiquiti et plus précisément comment mettre à jour UniFi Network Application via un accès SSH. Pour rappel, la dernière fois, nous avions vu comment mettre à jour un point d’accès via SSH. Introduction UniFi Network Application, …

Ubiquiti : Unifi OS 3.0 disponible pour tous ! (UDM, UDM Pro et UDM Pro SE)

Nous en parlions ensemble il y a quelque temps lorsque je vous ai expliqué comment configurer Wireguard sur mon UDM Pro SE. La mise à jour d’Unifi OS 3.0 était nécessaire et n’était pas encore disponible pour les UDM et UDM Pro. Et bien sachez qu’elle est maintenant en cours de déploiement et que si …

Ubiquiti : Unifi Network 7.4.156 disponible ! (OpenVPN, Port Management, Portail Captif…)

Il y a quelques jours, Ubiquiti a publié une nouvelle mise à jour pour son application Unifi Network. Nous sommes maintenant sur Unifi Network 7.4.156 et cette mise à jour apporte de nombreuses nouvelles fonctionnalités et correction de bugs. Qu’apporte Unifi Unifi Network 7.4.156 ? Je ne vais pas ici détailler ici l’ensemble des nouveautés, …

TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 pour les TPE et PME !

Je vous ai déjà présenté il y a quelques mois la solution SDN de chez TP-Link : Omada. Avec la croissance rapide des réseaux d’entreprise, il est important d’avoir un système de gestion de votre réseau fiable et efficace. C’est là que la solution SDN Omada de chez TP-Link entre en jeu. Cette solution vous …

TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 : Installation et configuration

Récemment, je vous ai présenté l’ER7212PC, une solution réseau SDN 3 en 1 qui vous permettra de gérer le réseau de votre entreprise ou de vos clients très facilement. Nous verrons dans cet article le fonctionnement de ce périphérique et ce que nous pouvons en faire. N’hésitez pas également à jeter un oeil à ma …

Bandwidth+ – Pour ne plus éclater votre bande passante quand vous êtes en partage de connexion sur votre Mac

Par : Korben
19 décembre 2023 à 09:00

Je sais bien qu’en France c’est open-bar niveau bande passante et qu’on peut transférer des téra-octets de données sans aucun souci. Et c’est cool ! Mais dans d’autres pays, ou sur certains Hotspot Wifi, on doit parfois faire comme les accros au chocolat que je suis : surveiller sa consommation.

Pas évident sans l’outil approprié. C’est pourquoi aujourd’hui, je vous propose ce logiciel pour Mac nommé Bandwidth+.

Ce petit utilitaire permet de suivre votre consommation de data, que vous soyez en Ethernet ou sur du wifi. Il se loge dans la barre de menu et ne nécessite aucune configuration complexe. Ça commence à comptabiliser dès que c’est lancé et vous avez ainsi en permanence une vue de ce que vous consommez en temps réel.

Et ce que je peux vous dire c’est que ça part très vite la data… Vous seriez surpris. Je pars souvent à la chasse aux fichiers qui prennent de la place inutilement sur mon disque dur, mais jamais à la chasse à toutes ces applications qui transmettent des datas dans tous les sens.

Bandwidth+ affiche ainsi le cumul de ce qui rentre et de ce qui sort, tel un bon dealer, et surtout, l’outil respecte votre vie privée puisqu’il ne collecte et ne transmet aucune donnée utilisateur. C’est un logiciel minimaliste et sain.

Bref, que vous soyez sur un Wifi « limité » ou que vous vouliez suivre l’utilisation de votre iPhone en mode partage de connexion, c’est un vrai bonheur pour éviter les mauvaises surprises avec votre forfait. Néanmoins, il faut noter que le trafic du réseau local n’est pas ignoré, et par conséquent les sauvegardes Time Machine ou autre sont comptabilisées. Mais le dev prévoit d’améliorer cela dans une version future.

Ce qui serait cool également, c’est que le dev intègre un blocage automatique dès qu’un certain seuil est dépassé. Cela permettrait d’esquiver encore mieux les surcoûts. Affaire à suivre donc.

Si ça vous branche, c’est par ici que ça se passe.

X-Pipe – Le hub pour vos connexions shell et votre gestion de fichiers à distance

Par : Korben
22 décembre 2023 à 09:00

Vous êtes tranquille sur votre ordinateur, en mode « c’est moi le boss du shell » mais à chaque fois que vous voulez vous connecter à distance sur un serveur ou transférer un fichier, c’est parti pour quelques minutes de lignes de commande à taper et de chemins d’accès, d’adresse IP et d’identifiants à retrouver.

Et si on se simplifiait un peu la vie ?

Avec X-Pipe, un logiciel gratuit si vous l’utilisez uniquement avec des outils non commerciaux, vous allez pouvoir centraliser dans une espèce de hub, toutes les connexions à vos machines distantes. Les informations de connexion conservées par Pipe-X sont évidemment chiffrées et stockées uniquement sur votre ordinateur et ce hub va vous permettre de rapidement vous connecter et de rapidement passer d’un environnement à l’autre. Il permet même de créer des raccourcis à mettre sur votre bureau, qui une fois cliqués ouvriront instantanément les connexions d’un groupe dans un terminal.

La particularité d’XPipe est qu’il s’intègre parfaitement avec nos outils existants en déléguant toutes les tâches à nos éditeurs de texte/code préférés et autres outils en ligne de commande.

Mais ce n’est pas tout puisque X-Pipe est également un gestionnaire de fichiers à distance. Cela veut dire que vous pouvez interagir avec le système de fichiers de n’importe lequel de vos serveurs, directement depuis l’outil. En un clic, vous pourrez même lancer une session ou encore éditer des fichiers. Et si un script n’est pas accessible pour des questions de droits, vous pouvez même le lancer directement via sudo.

Et le plus beau là-dedans; c’est qu’il y a même un système de scripting assez évolué qui permet de créer des script réutilisables ou des templates de scripts à lancer sur les systèmes distants.

Pour installer XPipe, il existe des versions d’installation pour les systèmes d’exploitation les plus populaires comme Windows, Linux et MacOS.

Mais aucun souci si vous préférez utiliser des versions portables…

Ou l’installer à l’aide d’une simple ligne de commande sous Windows :

powershell -ExecutionPolicy Bypass -Command iwr "https://raw.githubusercontent.com/xpipe-io/xpipe/master/get-xpipe.ps1" -OutFile "$env:TEMP\get-xpipe.ps1" ";"  "&" "$env:TEMP\get-xpipe.ps1"

ou sous macOS (vous pouvez faire aussi un brew : brew install –cask xpipe-io/tap/xpipe) :

bash <(curl -sL https://raw.githubusercontent.com/xpipe-io/xpipe/master/get-xpipe.sh)

À découvrir ici

Homedale – L’outil qu’il vous faut pour analyser les réseaux Wi-Fi

Par : Korben
27 décembre 2023 à 09:00

Si vous cherchez un moyen simple et agréable d’analyser la qualité des réseaux Wi-Fi autour de vous, afin d’améliorer votre connexion ou tout simplement leur portée en les déplaçant, j’ai l’outil qu’il vous faut.

Cela s’appelle Homedale, et c’est un freeware (gratuit donc) disponible pour macOS et Windows que vous pouvez récupérer ici. Une fois lancé, il scanne l’ensemble des réseaux Wi-Fi qui vous entourent et affiche la force de leur signal. Ensuite, pour chacun des réseaux Wi-Fi détectés, Homedale fournit une multitude d’informations utiles.

Non seulement vous verrez la force du signal exprimée en dBm (unité mesurant la puissance du signal Wi-Fi en décibels par rapport à un milliwatt, où des valeurs plus élevées indiquent un signal plus fort), mais l’application affiche également d’autres données pertinentes telles que le canal utilisé par chaque réseau, ce qui est crucial pour éviter par exemple les interférences avec le Wi-Fi des voisins.

Une autre caractéristique notable de Homedale est sa capacité à vous montrer les normes Wi-Fi (comme 802.11g, 802.11n, etc.) utilisées par chaque réseau. Cette information est particulièrement utile pour identifier les réseaux qui pourraient nécessiter une mise à jour matériel pour améliorer les performances. Vous pourrez également voir un graphique en temps réel de la force du signal, ce qui est extrêmement utile pour déplacer physiquement votre routeur ou votre appareil afin d’obtenir la meilleure réception possible.

De plus, vous apprécierez la possibilité d’exporter les données collectées sous forme de fichier CSV pour une analyse plus approfondie avec vos propres outils. Homedale est également équipé d’une fonctionnalité de géolocalisation qui, lorsque disponible, peut vous aider à localiser physiquement les réseaux Wi-Fi sur une carte. Cela peut être particulièrement intéressant pour les professionnels effectuant des audits de réseau ou pour ceux qui cherchent simplement à optimiser la couverture Wi-Fi dans de grands espaces.

Bref, si ça vous dit d’essayer, Homedale c’est par ici.

Knockr – Facilement mettre en place une séquence de port knocking sur votre serveur

Par : Korben
29 décembre 2023 à 09:00

Connaissez-vous la pratique du port knocking ?

Il s’agit d’une bonne pratique de sécurité informatique qui permet de contrôler l’accès à un serveur en utilisant une séquence de tentatives de connexion à des ports fermés. Cette technique est souvent utilisée pour masquer aux yeux des scanners de ports, des services comme SSH. les services tels que SSH (Secure Shell) des scanners de port automatiques et des attaquants potentiels.

Cette méthode ajoute une couche de sécurité supplémentaire, car les ports nécessaires pour accéder à votre serveur, ne sont pas constamment ouverts et donc visibles.

Si vous voulez mettre ça en place, il y a différentes méthodes, mais l’une des plus faciles, c’est d’utiliser Knockr, un script écrit en Go qui s’installe comme ceci :

go install github.com/solutionroute/[email protected]

Ou comme ceci :

git clone https://github.com/solutionroute/knockr.git
cd knockr
go install

Et qui va vous permettre de spécifier les ports à surveiller ainsi que la durée d’attente entre chaque frappe, le protocole réseau utilisé ou le temps d’attente avant l’émission d’une nouvelle séquence.

Frapper sur trois ports différents

Le comportement par défaut de l’outil knockr est de frapper sur les ports spécifiés en utilisant le protocole TCP avec un délai de 100 millisecondes entre les frappes et un délai d’expiration de 1,5 seconde pour chaque frappe. Pour frapper sur trois ports, 1234, 8923 et 1233, vous utiliseriez la commande suivante, en remplaçant hostname par le nom réseau de votre machine :

knockr hostname 1234,8923,1233

Cette commande enverra un paquet TCP SYN à chacun des ports spécifiés, en attendant une réponse avant d’envoyer le paquet suivant. Si une réponse n’est pas reçue dans les 1,5 secondes, la frappe est considérée comme infructueuse.

Frapper sur une chaîne de ports avec un protocole et un délai spécifiés

Pour spécifier un protocole et un délai différents entre les frappes, vous pouvez utiliser les options -n et -d, respectivement. Par exemple, pour frapper sur le port 22 (SSH) en utilisant le protocole UDP avec un délai de 200 millisecondes entre les frappes, vous utiliseriez la commande suivante :

knockr hostname 22 -n udp -d 200ms

Frapper sur une chaîne de ports avec un protocole, un délai et un mode silencieux spécifiés

Pour supprimer tout sauf la sortie d’erreur, vous pouvez utiliser l’option -s. Par exemple, pour frapper sur le port 22 (SSH) en utilisant le protocole TCP avec un délai de 200 millisecondes et supprimer toute sortie sauf la sortie d’erreur, vous utiliseriez la commande suivante :

knockr hostname 22 -n tcp -d 200ms -s

Il est recommandé d’inclure le ou les ports que vous vous attendez à être déverrouillés en premier et en dernier dans la chaîne pour observer leur statut avant et après le processus de frappe. Par exemple, si vous avez l’intention de déverrouiller le port 22 (SSH) sur un hôte spécifique, vous pouvez utiliser la commande suivante :

knockr hostname 22,1234,18923,1233,22

Cette commande frappera sur le port 22, attendra la réponse attendue, frappera ensuite sur les ports restants, puis vérifiera à nouveau le statut du port 22. Cela permet de garantir que les ports spécifiés sont bien déverrouillés après le processus de frappe.

Vous l’aurez compris grâce aux exemples :

  • L’option -d spécifie le délai en millisecondes entre les frappes. La valeur par défaut est de 100 millisecondes.
  • L’option -n spécifie le protocole à utiliser pour les frappes. Les valeurs possibles sont tcp et udp. La valeur par défaut est tcp.
  • L’option -s met l’outil en mode silencieux. Cela signifie que seules les sorties d’erreur seront affichées.

À découvrir ici et bonne chance dans vos aventures de port-knocking !

Comment lister et trouver un dossier partagé sur Windows 10/11

Par : malekalmorte
13 janvier 2021 à 14:07

Sur un serveur ou un PC en réseau sur un LAN, on peut avoir plusieurs partages de dossiers.
Avec le temps, on peut oublier que certains dossiers sont partagés.
Comment trouver un partage de dossier ou comment lister l’intégralité des dossiers partagés sur Windows 10 ou Windows 11 ?

Cet article vous donne plusieurs méthodes pour trouver n’importe quel partage de dossier.

Comment lister et trouver un dossier partagé sur Windows 10/11

Comment lister et trouver un partage de dossier sur Windows 10/11

Depuis le réseau de l’explorateur de fichiers

  • Les partages de dossier configurés s’affichent alors, ce qui vous permet de trouver celui qui vous intéresse. Par contre, cela n’indique pas le chemin du dossier partagé

Toutefois cette méthode ne permet pas de lister les partages cachés.
Plus d’informations : Comment créer et accéder à un partage réseau caché sur Windows 10

avec la gestion de l’ordinateur

Ouvrir la gestion de l'ordinateur
  • Puis déroulez à gauche Dossier partagés > Partage
  • Dans le volet de droite, la liste des dossiers partagés s’affichent alors. Vous obtenez à la fois le nom du partage et le chemin du dossier.
Lister et trouver les partages de dossiers sur Windows 10 depuis la gestion de l'ordinateur
Novez que vous pouvez accéder directement à l’interface de gestion des partages de dossier via la commande fsmgmt.msc.

net share

Une autre façon de trouver un dossier partagé sur Windows 10 est d’utiliser la commande net share.
C’est une commande CMD qui vous permet de gérer vos partages de dossiers et fichiers.

net share
  • Vous obtenez alors la liste des dossiers partagés avec le nom de partage et le chemin complet
Lister les services Windows avec la commande net share

PowerShell

Vous pouvez aussi obtenir la liste des dossiers partagés depuis PowerShell.

get-WmiObject -class Win32_Share 
  • Cela affiche la liste des dossiers partagés de Windows 10 avec l’emplacement sur le disque
Lister les services Windows en PowerShell

Il existe aussi un autre cmdlet Get-SmbShare qui donne le même résultat :

Lister les services Windows en PowerShell

Comment lister et trouver un partage de dossier d’un PC distant

Depuis l’explorateur de fichiers avec la découverte du réseau

  • Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows 10
  • En bas à gauche, cliquez sur Réseau
  • Si un bandeau jaune qui demande à activer la découverte du réseau s’affiche, acceptez
  • Les PC de votre réseau local LAN s’affiche alors, cliquez sur le PC distant
Comment lister et trouver un partage de dossier d'un PC distant
  • Les partages de dossier réseau s’affichent alors
Comment lister et trouver un partage de dossier d'un PC distant

avec net view

net view est une commande disponible dans l’invite de commandes pour lister les partages d’un PC distant.

Par exemple pour lister les partages du PC NomDuPC :

net view \\NomDuPC

Sur un réseau LAN, le problème est que net view risque de retourner accès refusé car vous êtes connecté sur Windows avec un compte utilisateur différent de celui distant.
Or la commande net view ne permet de spécifier un nom d’utilisateur et mot de passe.

Par contre si le PC fait partie d’un domaine, il faut utiliser l’option /domain :

net view \\NomOrdinateur /DOMAIN NomduDomaine

en Powershell

PowerShell permet aussi de trouver tous les partages d’un PC distant à travers le cmdlet suivant.
On spécifie le nom du PC à travers l’option -computer

get-WmiObject -class Win32_Share -computer NomDuPC

Là aussi sur un réseau LAN, vous risque d’obtenir un accès refusé.

Liens

L’article Comment lister et trouver un dossier partagé sur Windows 10/11 est apparu en premier sur malekal.com.

Comment passer du VPN traditionnel au ZTNA en 9 étapes

Par : UnderNews
2 janvier 2024 à 18:06

Pendant longtemps, les entreprises ont privilégié les VPN pour permettre aux employés de travailler à distance ou en mode hybride et accéder aux ressources informatiques. Mais avec la généralisation du télétravail pendant la pandémie, les vulnérabilités des réseaux privés virtuels (VPN) sont devenues de plus en plus évidentes et par conséquent, une expérience utilisateur médiocre […]

The post Comment passer du VPN traditionnel au ZTNA en 9 étapes first appeared on UnderNews.

Comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10 ?

Par : Anémone
5 janvier 2024 à 06:00

IPv6 signifie « Internet Protocol version 6 ». Créé par l’IETF (Internet Engineering Task Force), ce protocole permet aux équipements informatiques, tels que des ordinateurs, des imprimantes, etc., de communiquer entre eux via Internet. Pour échanger des données, chaque appareil utilise une adresse IP pour son identification.

L’IPv6 correspond à la version la plus récente du protocole Internet. Il succède à l’IPv4. Malgré les améliorations proposées par cette nouvelle version, l’utilisation de l’IPv6 peut entraîner des problèmes de réseau justifiant sa désactivation.

  • Vous ne pouvez pas télécharger une application à cause de votre connexion Internet ?
  • Vous n’arrivez pas à vous connecter sur un réseau informatique ?
  • Vous perdez votre connexion sans raison apparente ?

Pour tenter de résoudre ces problèmes de connexion et de réseau, découvrez comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10. Dans ce tutoriel, nous présenterons plusieurs méthodes pour désactiver la dernière version du protocole Internet. Mais juste avant, nous prendrons le temps d’expliquer simplement ce qu’est l’IPv6. Allons-y !

Qu’est-ce que l’IPv6 ?

L’adresse IP (Internet Protocol)

Une adresse IP correspond à un numéro unique qui permet d’identifier nos appareils électroniques connectés sur un réseau informatique. Par exemple :

  • les ordinateurs ;
  • les serveurs ;
  • les imprimantes ;
  • les caméras de surveillance ;
  • les smartphones ;
  • les montres connectées ;
  • les réfrigérateurs intelligents ;
  • les aspirateurs robots, etc.

Quelle est la signification de IP ?

C’est l’abréviation de Internet Protocol. Ce protocole assure la communication entre les différents équipements informatiques connectés sur un même réseau. Les adresses IP permettent de transmettre les données entre appareils. Comme nous utilisons une adresse postale ou électronique pour échanger du courrier, ces équipements informatiques ont besoin d’une adresse numérique (IP) pour échanger des informations.

Par exemple, vous souhaitez accéder à un tutoriel sur Le Crabe Info. Pour afficher un article, votre navigateur (Chrome, Edge, Firefox, etc.) a besoin de connaître l’adresse IP du serveur qui héberge le site. Peut-être que vous ne vous en rendez pas compte, car vous tapez simplement des mots clés (crabe info) dans la barre de recherche. Puis, vous cliquez sur une page qui vous affiche un nom de domaine (lecrabeinfo.net). Mais derrière, ce sont des adresses IP qui permettent d’authentifier les serveurs qui hébergent les pages d’un site internet.

Le rôle du DNS

Entre ces deux étapes, votre navigateur fait appel à un service DNS (Domain Name System) qui associe chaque nom de domaine à une adresse IP. Une fois l’adresse récupérée, le navigateur contacte le serveur web qui héberge le site Le Crabe Info et lui demande d’afficher le tutoriel que vous souhaitez consulter sur votre ordinateur.

Les différentes versions du protocole Internet

Inventée dans les années 1970, l’IPv4 se rapporte à la première version du protocole Internet. Cette version est actuellement la plus utilisée. Les adresses dites en IPv4 se présentent sous la forme suivante : X.X.X. X. Chaque X correspond à un nombre décimal situé entre 0 et 255. Par exemple, 28.129.237.85 est une adresse IPv4.

Avec cette version du protocole, le nombre d’adresses disponibles se limite à environ 4 x 109. Avec l’expansion rapide d’Internet ces dernières années, presque toutes les adresses IPv4 ont déjà été allouées. Cette pénurie justifie en grande partie la création de l’IPv6 dans les années 1990, par l’IETF (Internet Engineering Task Force). En effet, cette nouvelle version du protocole Internet permet la disponibilité de plus de 340 x 1036 adresses.

En plus d’augmenter le nombre d’adresses, l’IPv6 améliore les performances du réseau et renforce sa sécurité. Les adresses dites en IPv6 s’affichent sous la forme : X:X:X:X:X:X:X:X, où chaque X représente un nombre hexadécimal. Elles combinent des chiffres allant de 0 à 9 et des lettres entre A et F. Par exemple, c0b1:0000:20a3:85a3:0000:0db8:ac1f:8001 est une adresse IPv6.

Les problèmes rencontrés avec l’IPv6

Mais alors, pourquoi désactiver l’IPv6 ? Malgré les avantages de cette nouvelle version du protocole Internet, il est possible de rencontrer des problèmes justifiant sa désactivation. Voici des exemples de difficultés relevées par les utilisateurs de l’IPv6 sur Windows 10 :

  • vous perdez la connexion d’un wifi ou d’un réseau local ;
  • vous échouez à vous connecter sur un réseau, car certains anciens appareils ne sont pas équipés pour prendre en charge ce protocole ;
  • vous rencontrez des soucis de téléchargement d’une application ou d’un document et votre ordinateur vous demande de “vérifiez la connexion Internet, puis réessayez” ;
  • vous rencontrez des soucis de téléchargement d’une application ou d’un document et votre ordinateur vous demande de “vérifiez la connexion Internet, puis réessayez” ;
  • votre connexion est particulièrement lente ;
  • vous avez des problèmes de résolution de noms DNS (Domain Name System) ;
  • vous n’arrivez pas à accéder à certains sites web bloqués dans votre région, alors que vous êtes en train d’utiliser un VPN, etc.

Dans la partie suivante, nous allons découvrir comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10 pour tenter de résoudre les problèmes que nous venons de mettre en avant !

Comment désactiver IPv6 sur Windows 10 ?

! Attention : la désactivation de l’IPv6 peut vous empêcher de vous connecter sur des appareils ou des réseaux basés sur cette version du protocole. Microsoft déconseille de désactiver la dernière version du protocole Internet. Si ces manipulations ne vous aident pas à résoudre votre problème, pensez à réactiver l’IPv6 (microsoft.com) sur votre PC.

Depuis le Panneau de configuration

  1. Entrez dans les Paramètres de Windows, puis allez dans Réseau et Internet.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Accéder aux paramètres de Windows
  2. Dans les paramètres de réseau avancés, cliquez sur Centre Réseau et partage.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Aller dans les paramètres de réseau
  3. Sélectionnez votre réseau actif (Wi-Fi ou Ethernet). Dans cet exemple, je clique sur le réseau public Wi-Fi (Evelyne).
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Ouvrir le réseau Wi-Fi
  4. L’état de votre réseau s’affiche. Appuyez sur Propriétés.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Ouvrir les propriétés du réseau actif
  5. Pour désactiver l’IPv6, vous devez décocher la ligne Protocole Internet version 6 (TCP/IPv6). Validez ce changement en cliquant sur Ok.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Désactiver IPv6 dans les paramètres
  6. Répétez cette même procédure sur toutes les interfaces réseau pour lesquelles vous souhaitez désactiver l’IPv6.
  7. Redémarrez votre PC pour activer les modifications.
Bravo : vous avez réussi à désactiver la dernière version du protocole Internet depuis les paramètres de Windows 10 ! 👏

Avec Powershell

  1. Appuyez simultanément sur les touches Win ❖ + X et ouvrez Windows PowerShell (admin).
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Ouvrir PowerShell en tant qu'administrateur
  2. Une demande d’autorisation s’ouvre, cliquez sur Oui.
  3. Pour récupérer les noms des réseaux où l’IPv6 est activé, tapez
    get-netadapterbinding

    et appuyez sur Entrée⏎.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Récupérer le nom du réseau

  4. Comme vous pouvez le constater sur votre écran, l’identifiant du composant IPv6 correspond à
    ms_tcpip6

    Gardez-le de côté pour l’étape suivante.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Identifier le nom du réseau

  5. Ensuite, affichez la liste des adaptateurs réseaux prenant en charge la version 6 du protocole Internet en écrivant
    get-netadapterbinding -ComponentID ms_tcpip6

    et appuyez sur Entrée⏎. Identifiez l’interface réseau pour laquelle vous souhaitez désactiver l’IPv6. Par exemple, le Wi-Fi.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Afficher les réseaux avec l'IPv6

  6. Tapez
    disable-netadapterbinding -Interfacealias “Wi-Fi” -ComponentID ms_tcpip6

    puis cliquez sur Entrée⏎. Pensez à adapter le nom du réseau.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Désactiver l'IPv6 du réseau Wi-Fi

  7. Vous souhaitez désactiver la dernière version du protocole Internet sur une autre interface réseau ? Reprenez la même procédure et changez simplement le nom du réseau.
  8. Pour vérifier la désactivation de l’IPv6 sur un ou plusieurs réseaux, tapez de nouveau
    get-netadapterbinding -ComponentID ms_tcpip6

    et faites Entrée⏎. Regardez au niveau de la colonne Enabled. Si False est affiché, alors la version 6 du protocole Internet du réseau est bien désactivé.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - L'IPv6 du réseau Wi-Fi est désactivé

  9. Pensez à redémarrer votre ordinateur pour activer ce changement.
Félicitations : vous savez comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10 ! 👍

Par l’Éditeur du registre de Windows

! Attention : soyez prudent lors de cette procédure. Une erreur dans l’éditeur du registre peut nécessiter la réinstallation complète de votre système d’exploitation et vous faire perdre toutes vos données. Par mesure de précaution, pensez à faire une sauvegarde de vos informations avant de modifier le registre de Windows.
  1. Pour accéder à l’Édtieur du registre de Windows, appuyez simultanément sur les touches Win ❖ + R. Dans la fenêtre Exécuter, tapez regedit et cliquez sur Ok.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Ouvrir le registre de Windows
  2. Une demande d’autorisation s’ouvre, cliquez sur Oui.
  3. Dans le menu de gauche de l’Éditeur du Registre, déroulez le dossier HKEY_LOCAL_MACHINE, puis celui SYSTEM > CurrentControlSet > Services.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Accéder aux dossiers du registre
  4. Faites défiler les dossiers jusqu’à celui intitulé Tcpip6 et déroulez-le. Ensuite, accédez au dossier Parameters.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Continuer d'accéder aux dossiers du registre
  5. Passez sur la partie droite de la fenêtre. Si le fichier DisabledComponents n’apparaît pas, vous allez devoir le créer. Pour cela, cliquez sur l’onglet Edition. Placez votre curseur sur Nouveau et sélectionnez Valeur DWORD (32 bits).
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Créer élément DisabledComponents
    Tapez DisabledComponents, puis appuyez sur Entrée⏎.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Création de l'élément DisabledComponents
  6. Pour désactiver l’IPv6 sur votre ordinateur, ouvrez DisabledComponents.
  7. Option 1 : la désactivation de la dernière version du protocole Internet.
    Pour désactiver l’IPv6 sur toutes les interfaces réseau, entrez ff. Et cliquez sur Ok.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Désactiver l'IPv6 depuis le registre
    Option 2 : privilégier l’IPV4 à l’IPv6.
    Pour éviter le dysfonctionnement de certains services, Microsoft déconseille de désactiver totalement l’IPv6. Habituellement, Windows favorise l’IPv6 par rapport à l’IPv4. En cas de problèmes de connexion ou de réseau, inversez la priorité entre les différentes versions du protocole IP en tapant 20. Faites Ok.
    Comment désactiver l'IPv6 sur Windows 10 - Préférer l'IPv4 à l'IPv6
  8. Redémarrez votre ordinateur pour activer cette nouvelle configuration.
Super : la désactivation de la dernière version du protocole Internet ou l’utilisation privilégiée de l’IPv4 par rapport à l’IPv6 est effective ! 👍

Adresse IP : autres liens utiles ?

Source

Configurer une adresse IP fixe (statique) dans Windows 11

Par : malekalmorte
5 janvier 2024 à 12:26

Par défaut, Windows 11 est configuré pour se se connecter à l’internet à l’aide d’une adresse IP dynamique.
Pour cela, la box internet ou le routeur fournit une adresse IP à travers le serveur DHCP.
Mais il est également possible d’attribuer ou de définir une adresse IP fixe.

Bien que la plupart des utilisateurs ne ressentent pas le besoin de modifier cette configuration, la définition d’une adresse IP statique sur un ordinateur Windows 11 peut s’avérer nécessaire dans certains cas.
Dans ce tutoriel, je vous donne toutes les étapes pas à pas pour configurer une adresse IP statique dans Windows 11.

Configurer une adresse IP fixe (statique) dans Windows 11

Comment définir une adresse IP fixe dans Windows 11

Trouver l’adresse IP à configurer

La première étape consiste à noter l’adresse IP du modem/routeur (adresse du serveur DHCP) ainsi que l’adresse du masque de sous-réseau.

ipconfig /all
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11

Configurer l’adresse IP fixe

  • Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
Ouvrir paramètres Windows 11
  • A gauche, allez sur Réseau et Internet
  • Puis à droite, cliquez sur Propriétés
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11
  • Dans Attribution d’adresse IP, cliquez sur Modifier
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11
  • Activez le commutateur IPv4
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11
  • Dans l’écran modifier les paramètres IP, configurez :
    • L’adresse IP, vous pouvez mettre la même que celle retournée par ipconfig ou une autre de la même forme jusqu’à .255 dans la dernière tranche
    • Le masque de sous-réseau, passerelle et DNS préféré exactement comme dans ipconfig
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11
  • Cliquez sur Enregistrer. Windows 11 va alors utiliser cette nouvelle configuration IP. Vous pouvez vérifier la prise en compte avec ipconfig. La ligne DHCP activé doit être sur non
Comment définir une adresse IP statique dans Windows 11

L’article Configurer une adresse IP fixe (statique) dans Windows 11 est apparu en premier sur malekal.com.

Les hackers ukrainiens se vengent contre les Russes en perturbant le réseau internet

11 janvier 2024 à 14:39

Un opérateur internet russe a subi une cyberattaque lancée par des hackers ukrainiens. Ces derniers se vengent après la panne interne en décembre provoquée par les pirates du renseignement russe.

Partage Windows : Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à

Par : malekalmorte
16 janvier 2024 à 08:18

Windows vous permet de configurer un partage réseau pour accéder à des dossiers distants.
Cela est pratique pour ouvrir ou copier des fichiers d’un PC à un autre au sein d’un réseau local LAN.

Mais au moment d’accéder à un partage réseau distant, une erreur réseau se produit avec un message “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage” s’affiche.
L’accès au partage est refusé et impossible.

Dans ce tutoriel, je vous donne la marche à suivre pour résoudre les problèmes d’autorisations pour accéder à un partage Windows.
Ce guide s’applique à Windows 11 et Windows 10.

Comment résoudre "Vous n'avez pas l'autorisation d'accéder à" sur un partage Windows

Comment résoudre “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à” sur un partage Windows

Voici les quatre points de configuration à vérifier.

Changer le profil réseau en privé

Les PC de votre réseau local doivent être configurés dans le profil réseau privé.
Vérifiez cette configuration :

Ouvrir les propriétés de la carte Ethernet sur Windows 10
  • Dans les paramètres, cliquez sous Propriétés en dessous de Ethernet
Ouvrir les propriétés de la carte Ethernet sur Windows 10
  • Ensuite dans les paramètres réseaux, dans la partie profil réseau, choisissez entre Public et Privé
Modifier le profil réseau (Public / Privé) sur Windows 10
  • Fermez la fenêtre Paramètres et vous avez terminé. Le changement est immédiatement appliqué et utilisé par Windows

Plus de détails :

Configurer le même groupe de travail sur tous les PC

Vos PC doivent aussi être dans le même groupe de travail, par défaut, il s’agit de WORKGROUP.

  • Faites un clic droit sur le menu Démarrer
  • Puis Système
Ouvrir le menu Système de Windows 10/11
  • Puis cliquez sur Renommer ce PC
  • Dans la fenêtre Nom de l’ordinateur, en bas allez sur Modifier
  • Enfin saisissez le nom du groupe de travail. Par défaut, vous devez avoir WORKGROUP
Changer le groupe de travail sur Windows 10
Changer le groupe de travail sur Windows 11

Créer les mêmes compte utilisateur sur chaque PC

Un autre point important est que les comptes utilisateurs doivent être identiques sur chaque PC.
En effet, lorsque vous vous connectez à un partage réseau, Windows envoie les identifiants sur le PC serveur. Si ce dernier ne reconnaît pas le nom d’utilisateur et mot de passe alors il refuse l’accès avec le message “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage“.

Voici comment configurer les comptes utilisateurs Windows :

  • Sur votre clavier, utilisez le raccourci clavier + R
  • Puis saisissez netplwiz et OK
Ouvrir netwpliz depuis la fenêtre Exécuter
  • Vérifiez que la liste des utilisateurs est identique
  • Si vous avez des utilisateurs différents, utilisez le bouton Ajouter pour créer un nouvel utilisateur présent sur l’autre PC
  • En plus du nom d’utilisateur identique, le mot de passe doit être identique. S’il s’agit d’un compte Microsoft vous n’avez rien à faire, par contre pour un compte local, vous pouvez réinitialiser le mot de passe pour avoir le même mot de passe sur chaque PC
Changer le mot de passe d'un compte utilisateur pour résoudre "Vous n'avez pas l'autorisation d'accéder à \\partage"

Vérifier les autorisations du partage

Enfin dernière vérification, les autorisations du partage réseau doivent autoriser vos comptes utilisateurs à accéder au partage.

  • Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier + E. Plus de méthodes dans ce tutoriel : Comment ouvrir l’explorateur de fichiers sur Windows
  • Faites un clic droit sur le dossier partagé
  • Puis Propriétés
  • Allez sur Partage avancé
  • Puis en bas cliquez sur Autorisations
  • L’utilisateur avec lequel vous vous connectez au PC distant doit être présent avec les autorisations de lecture à minima. Si les aspects d’autorisation n’ont pas d’importance, alors configurez le partage pour avoir “Tout le monde” avec Modifier
Vérifier les autorisations du partage pour corriger "Vous n'avez pas l'autorisation d'accéder à \\partage"

Après ces vérifications, testez si l’erreur Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage” est résolue.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à demander de l’aide sur le forum.

L’article Partage Windows : Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à est apparu en premier sur malekal.com.

Bloquer des sites WEB sur Windows (7 façons)

Par : malekalmorte
3 janvier 2020 à 18:00

Vous souhaitez bloquer l’accès à certains sites WEB sur Windows.
Cela peut être des sites de réseaux sociaux tels que Facebook, X/Twitter, YouTube ou autres afin de rester concentrer sur votre travail ou vos études et éviter les distractions.

Ce tutoriel vous donne plusieurs méthodes pour bloquer des sites WEB sur Windows, Google Chrome, Edge et Mozilla Firefox.

Comment bloquer des sites WEB sur Windows

7 façons de bloquer les sites internet

Bloquer un site internet avec le fichier HOSTS de Windows

Le fichier HOSTS permet de modifier les résolutions DNS de Windows, il est donc possible de faire pointer une adresse WEB vers une mauvaise IP et ainsi empêcher la connexion.
Pour éditer facilement, le fichier HOSTS de Windows, vous pouvez utiliser le programme Host File Editor.

Depuis Host File Editor, Il vous suffit de saisir l’adresse IP 127.0.0.1 et l’adresse du site que vous désirez bloquer.
Par exemple, ci-dessous, nous avons ajouté.
Il suffit de remplir les champs et de cliquer sur le bouton Save en haut.

127.0.0.1 www.malekal.com

rendant la connexion sur l’adresse impossible.

Bloquer un site internet avec le fichier HOSTS de Windows

D’autres méthodes dans ce tutoriel :

Le contrôle parental Microsoft Family Safety

Voici les fonctionnalités de l’application Famille de Microsoft :

  • Durée d’utilisation des appareils : Définissez des limites de temps sur les appareils, applications et jeux de vos enfants pour équilibrer leur temps d’écran
  • Filtre de contenu : Choisissez le contenu adapté à leur âge et gérez les sites web qu’ils visitent. Vous pouvez bloquer le contenu pornographique ou violent provenant d’internet
  • Limiter le temps écran ou bloquer des applications : Vous pouvez gérer les appareils de manière globales ou définir des limites écran par applications
  • Rapports d’activités : Surveillez sont activité et recevez un rapport hebdomadaire dans votre boîte de réception
Bloquer le contenu pornographique, violent sur internet
  • En bas, vous pouvez ajouter des sites à autoriser ou à bloquer
Bloquer le contenu pornographique, violent sur internet

Bloquer un site internet avec le Firewall Windows

Vous pouvez aussi bloquer l’accès à un site internet avec Windows Defender Firewall.
Pour y arriver, suivez ce tutoriel :

Comment bloquer un site internet dans le Firewall Windows

Block Site – Extension Chrome, Edge ou Firefox de blocage de site

Block Site est une extension pour les navigateurs WEB Google Chrome ou Mozilla Firefox.
Cette application de blocage de site internet permet de bloquer des sites sur des mots clés, catégories ou par l’adresse du site internet.
Il est aussi possible de générer une redirection vers une adresse WEB spécifiques afin d’afficher un message en particulier.
Elle est gratuite avec des limitations.

  • Les liens de téléchargement :
  • Une icône Block Site est ajoutée en haut à droite et permet d’accéder aux options
  • Vous pouvez alors bloquer une site depuis la barre de menu de l’icône
Block Site - une extension pour Chrome, Edge, Firefox pour bloquer les sites internet
  • En allant sur l’icône
  • Un menu Bloquer des sites est disponible avec :
    • Blocage par catégorie
    • Adresse de site
    • Mots-clés
Block Site - une extension pour Chrome, Edge, Firefox pour bloquer les sites internet
  • Voici la page de blocage :
Block Site - une extension pour Chrome, Edge, Firefox pour bloquer les sites internet
  • Le mode focus permet de fixer votre temps de travail et les intervalles de pause.
  • Ajoutez des sites à votre liste de blocage pour éviter les distractions pendant une session.
Block Site - une extension pour Chrome, Edge, Firefox pour bloquer les sites internet

La version payante vous permet de protéger l’extension par un mot de passe et de personnaliser la page de blocage.

FocusGuard – Bloquer des sites et mode de concentration

FocusGuard est une extension gratuite pour Chrome qui agit en tant que bloqueur de sites gratuit pour une productivité accrue.
Si vous voulez un peu de temps pour naviguer en ligne mais que vous espérez éviter une spirale Internet à part entière, le bloqueur de site pourrait être parfait pour vous.
Pour cela, vous pouvez fixer une limite de temps pour les sites distrayants.
Enfin, la liste de blocage personnalisée et protection par mot de passe.

  • Ouvrez l’icône de l’extension
  • Puis cliquez sur Start Session
FocusGuard - Bloquer des sites et mode de concentration
  • A partir de là, les sites de streaming, sociaux sont bloqués. Par exemple, ci-dessous Facebook est inaccessible
FocusGuard - Bloquer des sites et mode de concentration
  • De nombreux paramètres sont disponibles avec notamment la possibilité d’ajouter des sites à bloquer ou en mettre en liste blanche
FocusGuard - Bloquer des sites et mode de concentration

Simple DNSCrypt – Blocage de site internet par DNS

Simple DNSCrypt est un programme qui permet de changer des DNS mais aussi de filtrer les requêtes.
Vous pouvez interdire des domaines entier, mais aussi des mots spécifiques dans le domaine, comme par exemple “sex”.
Pour plus d’informations, reportez-vous au tutoriel Simple DNSCrypt

A partir de là, cela bloque les sites WEB et en interdit l’accès.

PeerBlock – Bloquer les adresses IP

PeerBlock  est un programme capable de bloquer des adresses IP.
Tout programme qui tente d’accéder aux adresses IP listées lui sera interdit.
PeerBlock peut donc bloquer les publicités de n’importe quel logiciel installé.

Plus d’informations, lire le Tutoriel PeerBlock

Bloquer un site web avec PeerBlock

L’article Bloquer des sites WEB sur Windows (7 façons) est apparu en premier sur malekal.com.

SFTPGo – Le serveur SFTP ultime pour vos transferts de fichiers

Par : Korben
17 janvier 2024 à 09:00

Imaginez que vous deviez partager des fichiers avec vos collaborateurs, travailler sur des projets avec des personnes situées aux quatre coins du monde ou simplement sauvegarder vos photos de vacances, mais que vous ne savez pas par quoi commencer ?

Et bien, ne cherchez plus, SFTPGo est là pour vous faciliter la vie.

SFTPGo c’est un serveur SFTP open source, complet et hautement configurable qui supporte HTTP/S, FTP/S ou encore WebDAV. Il prend en charge plusieurs backends de stockage : du système de fichiers local avec ou sans chiffrement, du stockage d’objets S3, du Google Cloud Storage, de l’Azure Blob Storage, et bien sûr, SFTP.

L’outil est gratuit, mais si vous voulez le soutenir ou profiter d’un support technique, il faudra porter la main à la bourse ^^. C’est donc plus Open Bourse qu’Open Source.

Parmi les fonctionnalités offertes, on trouve la possibilité de créer des dossiers virtuels privés ou partagés, des commandes personnalisables, des comptes virtuels stockés, de l’isolement chroot, des autorisations virtuelles par utilisateur et par répertoire, ainsi qu’une API REST, un gestionnaire d’événements, une interface d’administration…etc.

SFTPGo facilite le paramétrage d’une authentification multifacteur personnalisable. Authentification partielle, par utilisateur et avec plusieurs méthodes, incluant l’authentification LDAP/Active Directory et des programmes externes. Il supporte l’administration des utilisateurs, le chiffrement des données, la modification dynamique des utilisateurs, les quotas, la limitation de bande passante et de débit.

Pour sécuriser vos données, SFTPGo propose une limitation du nombre de sessions simultanées avec ou sans filtrage par IP ou dossier. Terminaison automatique des connexions inactives, gestion de liste de blocage, filtrage Geo-IP et il est bien sûr compatible avec Git, SCP, rsync, FTP/S et WebDAV.

Pour vous faciliter la vie, SFTPGo propre aussi des analyses de performance, des logs ultra-précis et un support Infrastructure as Code (IaC) via Terraform. Il est compatible avec Linux, macOS, Windows et FreeBSD et nécessite Go ainsi qu’un serveur SQL. Des binaires et une image Docker officielle sont également disponibles.

SFTPGo est disponible sur plusieurs plateformes, y compris les dépôt Ubuntu, Void Linux, AWS Marketplace, Azure Marketplace et Elest.io. Il est également disponible pour Windows et macOS via des packages tels que winget, Chocolatey et Homebrew. Et il existe des portages pour FreeBSD et DragonFlyBSD.

Voilà, si vous cherchez un serveur SFTP totalement configurable (y’a même un système de plugins) et supportant S3, Google Cloud, Azure et j’en passe, celui-ci est un must-have !

WebDB – Vos bases de données enfin accessibles facilement

Par : Korben
22 janvier 2024 à 09:00

Alexandre, lecteur de Korben.info depuis une bonne dizaine d’années, m’a fait le plaisir de me contacter pour me montrer l’outil qu’il développe depuis maintenant un an. J’ai trouvé ça très cool alors je vais le partager avec vous. Il s’agit d’un IDE totalement open source dédié aux bases de données. Cet outil libre simplifie les interactions que nous avons avec nos bases de données, ce qui rend leur administration et la gestion des données plus intuitives et surtout beaucoup plus facile. Vous allez voir !

Tout d’abord, WebDB simplifie la découverte de serveurs et la connexion à ces derniers, grâce à un système de scan intelligent. Il détecte les ports utilisés pour chaque base de données et permet d’ajouter des hôtes spécifiques à analyser. Cela élimine la corvée de récupérer des mots de passe, car WebDB teste automatiquement des identifiants populaires. Pensez quand même à les changer à un moment pour des questions de sécurité 🙂

En explorant plus profondément WebDB, on découvre que l’exploration de données est beaucoup plus facile et agréable que dans n’importe quel PhpMyAdmin ou autre. En seulement trois clics, on peut comme ça parcourir, mettre à jour ou supprimer des données. Le filtrage des données SQL et NoSQL se fait directement depuis l’explorateur, avec un design optimisé pour les clés étrangères et les ObjectID relationnels. Et ce n’est pas tout : WebDB permet de mettre à jours vos données par lots en utilisant des fichiers JSON. Pratiquement quand vous avez de la quantité à mettre à jour.

Le cœur de l’IDE WebDB réside dans son éditeur de requêtes. Avec de l’autocomplétion pour SQL et les structures spécifiques au serveur, rédiger des requêtes se fait en un clin d’œil. Les requêtes CRUD (create, read, update, and delete) pré-construites sont sauvegardées automatiquement et peuvent être marquées comme favorites.

La modification de colonnes SQL ou de champs NoSQL est également plus intuitive grâce à WebDB. Le logiciel propose tous les types possibles en fonction de la base de données et facilite la modification des colonnes avec des fonctions de casting intelligentes, applicables tant aux bases de données SQL qu’à NoSQL. Cette fonctionnalité permet une grande flexibilité et s’adapte à divers contextes linguistiques.

Voilà… Sinon, WebDB gère également des éléments complexes comme les procédures SQL, les fonctions, et les types de données spécifiques. Il prend en charge les validateurs MongoDB et les contraintes SQL, offrant une compréhension complète de la base de données.

La gestion des relations SQL dans WebDB est également totalement transparente grâce à une vue intuitive. L’outil déduit les relations pour aider à générer des données étrangères et à comprendre la structure de la base de données avec une facilité déconcertante. En plus, le versioning de base de données est une autre caractéristique clé de WebDB. Suivant les modifications et intégrant Git, il permet de revenir facilement à n’importe quelle version antérieure.

L’intégration de ChatGPT dans WebDB apporte également un peu de « cerveau » à l’outil. ChatGPT offre des réponses précises en fonction de la structure de la base de données. Cette fusion entre intelligence artificielle et gestion de données ouvre de nouvelles perspectives pour les utilisateurs, surtout pour les débutants.

Le module ERD de WebDB permet également de visualiser la structure et les relations de la base de données de manière moderne et intuitive. L’exportation de ces diagrammes au format PNG ou SVG se fait en un clic, ce qui vous permettra d’illustrer vos préz ou sites web / documentation super facilement.

Enfin, l’importation et l’exportation de données avec WebDB sont simplifiées, que ce soit au format natif ou JSON, garantissant une compatibilité et des performances optimales.

Vous l’aurez compris, Alexandre a bien bossé et WebDB se présente vraiment comme une solution complète et avant-gardiste pour la gestion des bases de données, accessible et efficace pour tous, que vous soyez total noob ou super expert en base de données.

Je vous invite à tester ça. C’est auto-hébergeable, ça tourne dans Docker, et y’a même une démo en ligne.

❌
❌