Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

Install Cronicle task scheduler with Nginx proxy

Par : Evi Vanoost
21 décembre 2023 à 12:26

Cronicle is a web-based, multi-server task scheduling and automation platform designed to handle complex job scheduling and workflow management across multiple servers. It offers a user-friendly interface for creating, managing, and monitoring tasks, supporting a wide range of job types, including shell scripts, commands, and custom plugins. With features like real-time logging, error notification, and resource allocation, Cronicle is tailored for both small-scale tasks and large, distributed systems, providing robust and scalable solutions for automated job execution. In this article, I will guide you through the process of installing Cronicle and configuring Nginx as a proxy to provide a seamless and secure web interface.

The post Install Cronicle task scheduler with Nginx proxy first appeared on 4sysops.

Install Windows Subsystem for Linux (WSL) on different Windows editions and Server Core

22 décembre 2023 à 10:07

For some time now, Microsoft has been offering a simplified installation of WSL via the wsl.exe utility. Hence, most guides refer to this method. However, in practice, it is not quite as straightforward because this command does not work on Server Core and is only suitable for WSL 2.

The post Install Windows Subsystem for Linux (WSL) on different Windows editions and Server Core first appeared on 4sysops.

Cron alterative Cronicle: Automating and monitoring tasks with a web interface

Par : Evi Vanoost
25 décembre 2023 à 11:37

Cronicle is a powerful cron alternative for job scheduling. It provides an accessible and feature-rich web interface for creating and monitoring jobs. In a previous article, I have discussed how to install Cronicle. In this post, we will delve into the process of creating jobs and monitoring their execution using Cronicle.

The post Cron alterative Cronicle: Automating and monitoring tasks with a web interface first appeared on 4sysops.

Copying files between Windows and Linux with SCP and PowerShell

Par : Thomas Joos
26 décembre 2023 à 10:06

There are various mechanisms for copying files between Windows and Linux. A proven tool for this purpose is Secure Copy (SCP), and with the porting of PowerShell to Linux, it is suitable for this task, too. The connection runs over SSH in both cases, ensuring that files are transferred encrypted.

The post Copying files between Windows and Linux with SCP and PowerShell first appeared on 4sysops.

Step-ca: Running your own Certificate Authority with ACME support

Par : Evi Vanoost
1 janvier 2024 à 14:06
Step-ca is a Certificate Authority (CA) management tool for Windows, Linux, and macOS designed to simplify the process of creation, management, and revocation of certificates for use with TLS, mutual TLS (mTLS) authentication, document signing, and other X.509 authentication as well as SSH keys through a variety of provisioners.

Prevent VS Code from causing high CPU usage on a remote server

25 janvier 2024 à 15:40
Sometimes, the remote extensions that are installed by Microsoft Visual Code (VS Code) on remote systems can consume high amounts of CPU usage, making it difficult to use the server efficiently. However, my script can help limit the CPU usage of VS Code on a remote server.

Ubuntu : ajouter PPA (dépôt personnel de logiciels)

Par : malekalmorte
27 janvier 2024 à 11:10

PPA (Personal Package Archive) permet aux développeurs d’applications et aux utilisateurs de Linux de créer leurs propres dépôts pour distribuer des logiciels.
Avec PPA, vous pouvez facilement obtenir des versions plus récentes de logiciels ou des logiciels qui ne sont pas disponibles via les dépôts officiels d’Ubuntu.

Dans ce tutoriel, je vous apprend ajouter des dépôts PPA dans Ubuntu.

Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu

Que sont les PPA et comment les trouver

Comme évoqué dans l’introduction, en utilisant un PPA, des développeurs peuvent distribuer des logiciels et des mises à jour directement aux utilisateurs d’Ubuntu.

Vous trouverez des PPA à partir de ce lien : https://launchpad.net/ubuntu/+ppas
Il est aussi possible d’effectuer une recherche Google pour les trouver :

site:launchpad.net ppa

Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu

Avec add-apt-repository (Méthode 1)

La commande apt-add-repository est un outil de ligne de commande utilisé pour ajouter un nouveau dépôt au gestionnaire de paquets APT.
On peut donc l’utiliser pour ajouter une source PPA.

  • La syntaxe est la suivante :
sudo apt-add-repository ppa:<nom de la source PPA>
  • Par exemple, pour ajouter la source ansible :
sudo apt-add-repository ppa:ansible/ansible
  • Parfois, un message informatif s’affiche, il faut valider par Entrée
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu
  • Les sources APT se mettent à jour et vous devriez voir en réception al nouvelle source PPA. Si ce n’est pas le cas, mettez à jour à l’aide de la commande suivante :
sudo apt update
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu
  • Ensuite vous pouvez installer le logiciel, utilitaire avec APT de manière normale :
sudo apt install ansible

La source est ajoutée dans le répertoire /etc/apt/sources.list.d/.
Dans notre exemple, il s’agit du fichier /etc/apt/sources.list.d/ansible-ubuntu-ansible-jammy.list.
Vous pouvez supprimer le fichier pour retirer le PPA.

sudo apt update

En graphique (Méthode 2)

  • Ouvrez Logiciels et mises à jour
Ouvrir Logiciels et mises  à jour dans Ubuntu
  • Allez dans l’onglet Autres logiciels
  • Puis en bas, cliquez sur Ajouter
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu
  • Puis saisissez la source PPA dans Ligne APT
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu
  • La source s’ajoute dans la liste
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu
  • Cliquez sur Fermer
  • Puis cliquez sur Actualiser sur la fenêtre Les informations sur les logiciels disponibles sont obsolètes
Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu

Logiciels et mises à jour donne aussi la possibilité de désactiver ou supprimer un PPA.
Pour le désactiver, décochez le simplement de la liste.
Sinon pour le supprimer définitivement, sélectionnez le et cliquez sur Enlever.

Comment ajouter des sources PPA dans Ubuntu

Manuellement (Méthode 3)

Enfin dans cette dernière méthode, on créé tout simplement le fichier source dans le répertoire APT afin d’y ajouter le PPA voulu.

  • Ouvrez le terminal Ubuntu par la recherche d’application ou par le raccourci clavier CTRL+ALT+T. Plus de détails : Comment ouvrir terminal Ubuntu
  • Créez le fichier de source de dépôts à l’aide d’un éditeur :
sudo nano /etc/apt/sources.list.d/ansible-ubuntu.list
  • Puis ajoutez les informations de la source :
deb-src https://ppa.launchpadcontent.net/ansible/ansible/ubuntu/ jammy main

Liens

L’article Ubuntu : ajouter PPA (dépôt personnel de logiciels) est apparu en premier sur malekal.com.

Ubuntu : masquer automatiquement la barre de lancement (dock) ou barre de menus du haut de GNOME

Par : malekalmorte
28 janvier 2024 à 11:35

Dans ce tutoriel, vous allez apprendre à masquer automatiquement les barres de menus d’Ubuntu.

A gauche, se trouve le dock ou barre de lancement avec les raccourcis de vos applications et favoris.
Vous pouvez cacher celle-ci automatiquement.

En haut, la barre supérieure d’Ubuntu ou barre de menus d’état est pratique, mais vous ne souhaitez peut-être pas qu’elle soit affichée en permanence et qu’elle prenne de la place sur l’écran. Heureusement, vous pouvez la masquer automatiquement, ce qui permet de récupérer de l’espace utile et de réduire les distractions.

Ubuntu : masquer automatiquement la barre de lancement (dock) ou barre de menus du haut de GNOME

Comment masquer automatiquement la barre de lancement (Dock) dans Ubuntu

  • Cliquez en haut à droite sur l’icône ampoule
  • Puis Paramètres
Ouvrir les paramètres Ubuntu
  • Puis allez à gauche dans Apparence
  • Ensuite à droite, descendez dans la section Dock
  • Activez “Masquer automatiquement le Dock
Comment masquer automatiquement la barre de lancement (Dock) dans Ubuntu

Comment masquer définitivement la barre de lancement (Dock) dans Ubuntu

  • Ouvrez le terminal Ubuntu par la recherche d’application ou par le raccourci clavier CTRL+ALT+T. Plus de détails : Comment ouvrir terminal Ubuntu
Ouvrir un terminal sur Ubuntu depuis la liste des applications
  • Puis mettez à jour les informations sur les paquets de votre système :
sudo apt updatе
  • Ensuite, installez GNOME Shеll Extеnsion Managеr :
sudo apt install gnome-shell-extension-manager gnome-shell-extensions
  • Puis ouvrez l’application Extension Manager
  • Désactivez Ubuntu Dock
Comment masquer définitivement la barre de lancement (Dock) dans Ubuntu
  • Le dock disparaît et est automatique masqué dans Ubuntu

Comment masquer automatiquement la barre du haut dans Ubuntu

  • Ouvrez le terminal Ubuntu par la recherche d’application ou par le raccourci clavier CTRL+ALT+T. Plus de détails : Comment ouvrir terminal Ubuntu
Ouvrir un terminal sur Ubuntu depuis la liste des applications
  • Puis mettez à jour les informations sur les paquets de votre système :
sudo apt updatе
  • Ensuite, installez GNOME Shеll Extеnsion Managеr :
sudo apt install gnome-shell-extension-manager gnome-shell-extensions
  • Recherchez Extension Manager dans le menu Applications et ouvrez-le :
  • Passez à l’onglet Browse, recherchez l’еxtеnsion Hidе Top Bar et cliquez sur le bouton Installer.
Comment masquer automatiquement la barre du haut dans Ubuntu
  • Cliquez sur Installer pour confirmer l’installation
Comment masquer automatiquement la barre du haut dans Ubuntu
  • Dès que l’extension Hide Top Bar supérieure est installée, faites glisser n’importe quelle fenêtre près de la barre supérieure pour la masquer :
Comment masquer automatiquement la barre du haut dans Ubuntu

Vous pouvez également personnaliser le comportement de l’еxtеnsion Hidе Top Bar. Pour ce faire, ouvrez le Gestionnaire d’extensions GNOME, passez à l’onglet Installé et cliquez sur l’icône en forme de roue dentée à côté de l’extension Cacher la barre supérieure :

Vérifiez les paramètres fournis et modifiez-les en conséquence :

Comment masquer automatiquement la barre du haut dans Ubuntu

L’article Ubuntu : masquer automatiquement la barre de lancement (dock) ou barre de menus du haut de GNOME est apparu en premier sur malekal.com.

Commande diff sur Linux : utilisation avec des exemples

Par : malekalmorte
11 février 2024 à 09:52

La commande Linux diff permet de comparer deux fichiers ligne par ligne et d‘afficher la différence entre eux. Cet utilitaire de ligne de commande répertorie les modifications à apporter pour rendre les fichiers identiques.

Lisez la suite pour en savoir plus sur la commande diff et ses options à l’aide d’exemples faciles à suivre.

Commande diff sur Linux : utilisation avec des exemples

Quelle est la syntaxe de la commande diff

Voici la syntaxe de la commande diff :

diff [option] file1 file2

Lorsque l’on travaille avec diff, il est essentiel de savoir comment interpréter la sortie, qui se compose de :

OptionDescription
-c or --contextDifférences de sortie en mode contextuel
-u or --unifiedDifférences de sortie en mode unifié (plus concis)
-i or --ignore-caseEffectuer une comparaison insensible à la casse
–ignore-all-spaceIgnorer les espaces blancs lors de la comparaison des lignes
–briefLa sortie se limite à indiquer si les fichiers sont différents, sans plus de détails.
–recursiveComparaison récursive de répertoires
-y or --side-by-sideAfficher les résultats dans un format côte à côte
Les options de la commande diff de Linux

Comparer les fichiers avec la commande diff

Pour comprendre comment utiliser la commande diff, j’ai créé deux fichiers avec une liste de fruits.

Pour comparer les deux fichiers :

diff fichier1.txt fichier2.txt

La sortie :

1c1
< Pomme
---
> Pastèque
4d3
< Pastèque
5a5
> Pomme
Comparer les fichiers avec la commande diff sur Linux

1,3d0, 4a2,3 et 5a5 sont des ordres de modification. Chaque commande de modification contient les éléments suivants, de gauche à droite :

  • Le numéro de ligne ou la plage de lignes du premier fichier
  • Un caractère de changement spécial
  • Le numéro de ligne ou la plage de lignes du deuxième fichier

Le caractère de modification peut être l’un des suivants :

  • a – Ajouter les lignes
  • c – Modifier les lignes
  • d – Supprimer les lignes
  • Les lignes précédées d’un < sont des lignes du premier fichier
  • Les lignes précédées de > sont des lignes du deuxième fichier

La commande de modification est suivie des lignes complètes qui sont supprimées (<) et ajoutées au fichier (>).

Expliquons la sortie :

  • 1c1 – Remplacer (modifier) la ligne 1 du premier fichier par la ligne 1 du deuxième fichier.
    • < Pomme – La ligne du premier fichier à remplacer
    • > Pastèque – Par quoi vous devez remplacer
  • 4d3 – La quatrième ligne (4) du premier fichier doit être supprimée (d). Si ce n’est pas le cas, elle apparaîtrait à la ligne 3 du deuxième fichier
    • < Pastèque – Les contenu à supprimer (désigné par d3)
  • 5a5 – A la ligne 5 du premier fichier, vous devez ajouter (a) les lignes 5 du second fichier.
    • > Orange – Le contenu à ajouter

Comment utiliser la commande Linux diff avec des exemples

Format contextuel avec l’option -c

Lorsque le format de sortie contextuel est utilisé, la commande diff affiche plusieurs lignes de contexte autour des lignes qui diffèrent entre les fichiers.

L’option -c indique à diff de produire une sortie au format contextuel :

diff -c fichier1.txt fichier2.txt

La sortie :

*** fichier1.txt	2024-02-09 10:06:21.028281860 +0100
--- fichier2.txt	2024-02-10 09:47:00.080707442 +0100
***************
*** 1,5 ****
! Pomme
  Orange
  Banane
- Pastèque
  Poire
--- 1,5 ----
! Pastèque
  Orange
  Banane
  Poire
+ Pomme
Comparer les fichiers avec la commande diff sur Linux

La sortie commence par les noms et les horodatages des fichiers comparés, et une ou plusieurs sections décrivant les différences. Chaque section se présente comme suit :

***************
*** numéros-lignes-à-partir--fichier ****
  lignes-a-partir-fichier...
--- numéros-ligne-fichier-destination ----
  lignes-fichier-destination...
  • numéros-lignes-à-partir–fichier et numéros-ligne-fichier-destination – Les numéros de ligne ou la plage de lignes séparées par des virgules dans le premier et le second fichier, respectivement
  • A-partir-ligne-fichier et Aux-lignes-fichier-destination – Les lignes qui diffèrent et les lignes de contexte :
  • Les lignes commençant par deux espaces sont des lignes de contexte, c’est-à-dire les lignes qui sont les mêmes dans les deux fichiers
  • Les lignes commençant par le symbole moins (-) sont les lignes qui ne correspondent à rien dans le second fichier. Lignes manquantes dans le second fichier
  • Les lignes commençant par le symbole plus (+) sont les lignes qui ne correspondent à rien dans le premier fichier. Lignes manquantes dans le premier fichier
  • Les lignes commençant par le point d’exclamation (!) sont les lignes qui sont modifiées entre deux fichiers. Chaque groupe de lignes commençant par ! dans le premier fichier a une correspondance dans le second fichier

Expliquons les parties les plus importantes du résultat :

  • Dans cet exemple, nous n’avons qu’une seule section décrivant les différences
  • *** 1,5 **** et — 1,5 —- indique l’étendue des lignes du premier et du second fichier qui sont incluses dans cette section
  • Les lignes Orange, Banane, Poire sont les mêmes dans les deux fichiers. Ces lignes commencent par un double espace
  • La ligne – Pastèque du premier fichier ne correspond à rien dans le second fichier. Bien que cette ligne existe également dans le second fichier, les positions sont différentes
  • La + Pomme du second fichier ne correspond à rien dans le premier fichier
  • Ligne ! Pomme du premier fichier est modifiée entre les fichiers

Format unifié avec l’option -u

Le format de sortie unifié est une version améliorée du format contextuel et produit une sortie plus petite.

Utilisez l’option -u pour demander à diff d’imprimer la sortie dans le format unifié :

diff -u fichier1.txt fichier2.txt

La sortie :

--- fichier1.txt	2024-02-09 10:06:21.028281860 +0100
+++ fichier2.txt	2024-02-10 09:47:00.080707442 +0100
@@ -1,5 +1,5 @@
-Pomme
+Pastèque
 Orange
 Banane
-Pastèque
 Poire
+Pomme
Comment utiliser la commande Linux sur Linux

La sortie commence par les noms et les horodatages des fichiers et une ou plusieurs sections qui décrivent les différences. Chaque section se présente sous la forme suivante :

  • @@ from-file-line-numbers to-file-line-numbers @@ – Le numéro de ligne ou l’intervalle des lignes du premier et du deuxième fichier inclus dans cette section.
  • line-files – Les lignes qui diffèrent et les lignes de contexte :
  • Les lignes commençant par deux espaces sont des lignes de contexte, c’est-à-dire les lignes qui sont les mêmes dans les deux fichiers.
  • Les lignes commençant par le symbole moins (-) sont les lignes qui sont supprimées du premier fichier.
  • Les lignes commençant par le symbole plus (+) sont les lignes qui sont ajoutées au premier fichier.

Ignorer la casse avec l’option -i

Comme toutes commandes Linux, l’utilitaire diff est sensible à la casse.

Utilisez l’option -i pour ignorer la casse :

diff -ui fichier1.txt fichier2.txt
Comment utiliser la commande Linux sur Linux

L’article Commande diff sur Linux : utilisation avec des exemples est apparu en premier sur malekal.com.

9 alternatives à Ubuntu

Par : malekalmorte
13 février 2024 à 07:44

Ubuntu est une distribution Linux populaire pour débuter sur Linux.
Il offre une interface graphique intuitive, ce qui la rendait aussi facile à installer et à configurer que Windows et Mac.

Cela dit, les temps ont changé et il existe des tonnes de distributions Linux conçues pour une utilisation de bureau, qui sont stables, fiables, conviviales et, dans certains cas, plus riches en fonctionnalités qu’Ubuntu.
Si vous cherchez des alternatives à Ubuntu à découvrir, vous êtes sur la bonne page.

Les alternatives à Ubuntu

9 alternatives à Ubuntu

Trois variantes d’Ubuntu

La popularité d’Ubuntu tient à sa large base d’utilisateurs, à ses nombreux tutoriels et à la disponibilité de ses logiciels. Si vous souhaitez modifier son apparence et sa convivialité sans perdre ces avantages, vous pouvez opter pour les différentes “saveurs” d’Ubuntu. Dans le cadre du projet Ubuntu, chaque variante conserve la base d’Ubuntu mais utilise un environnement de bureau différent.

Ubuntu lui-même utilise une version fortement personnalisée de l’environnement de bureau GNOME, parfois critiqué pour son caractère encombrant et restrictif. Ainsi, si vous souhaitez un système léger, Xubuntu avec Xfce est idéal. Kubuntu, avec KDE Plasma, s’adresse quant à lui aux utilisateurs expérimentés qui apprécient la personnalisation. Et pour un équilibre entre légèreté et esthétique moderne, Lubuntu avec LXQt est un excellent choix.

La distribution Linux LUbuntu

Manjaro Linux : distribution Linux conviviale et accessible

Manjaro est une distribution Linux libre et gratuite basée sur le système d’exploitation Arch Linux. Elle est connue pour sa convivialité et son accessibilité, ce qui en fait un bon choix pour les débutants comme pour les utilisateurs expérimentés de Linux.
Ses principales caractéristiques sont les suivantes : processus d’installation intuitif, détection automatique du matériel, modèle stable de rolling-release, possibilité d’installer plusieurs noyaux, scripts Bash spéciaux pour la gestion des pilotes graphiques et configuration étendue du bureau. Manjaro Linux propose Xfce comme bureau principal, ainsi que KDE Plasma, MATE, GNOME et une édition Net minimaliste pour les utilisateurs plus avancés.

Le bureau de Manjaro Linux

Elle est facile à installer et offre une forte convivialité.

Manjaro Linux : distribution Linux conviviale et accessible

Manjaro : https://manjaro.org/

Linux Mint : un passage de Windows en douceur

Linux Mint est une distribution basée sur Ubuntu dont l’objectif est de fournir une expérience de bureau classique avec de nombreux outils pratiques et personnalisés et un support multimédia optionnel prêt à l’emploi.
Elle ajoute également un bureau et des menus personnalisés, plusieurs outils de configuration uniques et une interface d’installation de paquets basée sur le web. Linux Mint est compatible avec les dépôts de logiciels Ubuntu. Outre sa version basée sur Ubuntu, le projet produit également une édition “Debian” distincte (appelée LMDE), basée sur la dernière version stable de Debian.

Le bureau de Linux Mint

Vous disposez également d’une application Paramètres intuitive qui est quelque peu similaire au Panneau de configuration de Windows. L’application Gestionnaire de logiciels offre une interface simple et intuitive pour rechercher, installer et mettre à jour des applications sur votre système.
L’application d’accueil de Linux Mint vous aide à configurer le système.
Page principale des paramètres système de Linux Mint affichant tous les paramètres système disponibles.
Gestionnaire de logiciels Linux Mint pour l’installation et la mise à jour de logiciels.

Linux Mint - une distribution Linux facile d'utilisation

C’est une bonne alternative à Ubuntu avec un passage en douceur si vous venez de Windows.
De plus, Il existe de nombreuses ressources, des forums, des guides détaillés et une communauté utile et accueillante pour aider les nouveaux venus à apprendre les ficelles du métier et à passer en douceur à Linux.

Linux Mint : https://www.linuxmint.com/

Pop!_OS : conviviale et stable

Pop!_OS est une distribution Linux basée sur Ubuntu et dotée d’un bureau GNOME personnalisé.
Cet OS est conçu pour que le bureau soit le moins encombré possible, sans distraction, afin de permettre à l’utilisateur de se concentrer sur son travail. La distribution est développée par le revendeur d’ordinateurs Linux System76.

Plus précisément, l’environnement de bureau est COSMIC qui est un GNOME personnalisé appelé COSMIC, optimisé pour la facilité d’utilisation et la productivité.Cela se présente avec une barre des tâches et des raccourcis mais pas de menu Démarrer. Des fenêtre flottantes avec des listes d’application et un moteur de recherche est disponible.
Les applications sont triées par catégories, ainsi, cela reste assez simple d’utilisation.

La priorité est à la performance et cette distribution Linux est optimisée pour des performances fluides et efficaces, même sur du matériel plus ancien.
Elle prend en charge dès le départ les cartes graphiques AMD et NVIDIA, ce qui en fait un bon choix pour les joueurs et les professionnels de la création.

Le bureau de Pop!_OS

C’est est un excellent choix pour les utilisateurs qui souhaitent une expérience Linux conviviale, stable et productive, avec de bonnes performances et un support solide pour les jeux. C’est une bonne option pour les débutants et les utilisateurs expérimentés qui apprécient un système personnalisable et respectueux de la vie privée.

Pop!_OS - distribution Linux

Zorin OS : un clone de Windows

Zorin OS est une distribution Linux basée sur Ubuntu et conçue spécialement pour les nouveaux venus à Linux.
Elle dispose d’une interface utilisateur graphique semblable à celle de Windows et de nombreux programmes similaires à ceux que l’on trouve dans Windows. Zorin OS est également livré avec une application qui permet aux utilisateurs d’exécuter de nombreux programmes Windows.

Elle se focalise dans la facilité d’utilisation avec une interface familière imitant la présentation de Windows ou de macOS (selon votre choix). Cela facilite la transition pour les utilisateurs habitués à ces systèmes d’exploitation.

Le bureau de Zorin OS (Linux)

Dans l’ensemble, Zorin OS se distingue comme une distribution Linux conviviale et personnalisable, en particulier pour ceux qui viennent de Windows ou macOS. Son interface familière, ses logiciels préinstallés et ses options de personnalisation en font un concurrent de taille pour divers profils d’utilisateurs à la recherche d’une expérience Linux accessible et agréable.
L’objectif ultime de la distribution est de fournir une alternative Linux à Windows et de permettre aux utilisateurs de Windows de profiter de toutes les fonctionnalités de Linux sans complications.

Notez qu’il existe une version Zorin OS Lite, pour les PC plus anciens.

Zorin OS - Distribution Linux

Zorin OS : https://zorin.com/

Fedora

Fedora Linux (anciennement Fedora, anciennement Fedora Core) est une distribution Linux développée par le projet Fedora soutenu par la communauté et appartenant à Red Hat. Fedora Linux contient des logiciels distribués sous une licence libre et gratuite et vise à être à la pointe de ces technologies.
Cet OS a la réputation de se concentrer sur l’innovation, d’intégrer très tôt les nouvelles technologies et de travailler en étroite collaboration avec les communautés Linux en amont. Le bureau par défaut de Fedora Linux est l’environnement de bureau GNOME et l’interface par défaut est le GNOME Shell. D’autres environnements de bureau, dont KDE, Xfce, LXDE, MATE et Cinnamon, sont disponibles.
Le projet Fedora distribue également des variantes personnalisées de Fedora appelées Fedora spins.
Celles-ci sont construites avec des ensembles de logiciels spécifiques, offrant des environnements de bureau alternatifs ou ciblant des intérêts spécifiques tels que les jeux, la sécurité, la conception, l’informatique scientifique et la robotique.

Le bureau de la distribution Linux Fedora

C’est un excellent choix pour les utilisateurs qui souhaitent avoir accès aux logiciels les plus récents, qui apprécient les valeurs du logiciel libre et qui aiment personnaliser leur expérience. Il s’agit d’une option stable et puissante pour divers scénarios d’utilisation, mais assurez-vous d’être à l’aise avec le modèle de publication en continu et le potentiel de mises à jour occasionnelles avant de vous lancer. Si vous êtes débutant, envisagez de commencer par des alternatives plus conviviales, mais gardez Fedora à l’esprit au fur et à mesure que vous gagnez en expérience.

Fedora : https://fedoraproject.org/

MX Linux : pour les PC moins puissants

MX Linux, une distribution Linux orientée bureau basée sur la branche “Stable” de Debian, est une entreprise coopérative entre les communautés antiX et l’ancienne communauté MEPIS Linux. Utilisant Xfce comme bureau par défaut (avec des éditions séparées KDE Plasma et Fluxbox également disponibles), il s’agit d’un système d’exploitation de poids moyen conçu pour combiner un bureau élégant et efficace avec une configuration simple, une grande stabilité, des performances solides et un encombrement moyen.
Sa conception légère et l’utilisation efficace des ressources en font un outil adapté aux machines moins puissantes.
L’interface conviviale et les logiciels préinstallés facilitent la prise en main, même pour les novices en matière de Linux.

Le bureau de MX Linux

Pour résumer, MX Linux se distingue comme une distribution Linux conviviale, stable et efficace, ce qui en fait une option convaincante pour différents profils d’utilisateurs. Que vous soyez un débutant à la recherche d’une expérience Linux confortable ou que vous recherchiez un système fiable pour du matériel plus ancien, MX Linux mérite d’être exploré.

MX Linux - une distribution Linux pour PC de configuration moyenne

MX Linux : https://mxlinux.org/

EndeavourOS

EndeavourOS est une distribution Linux basée sur Arch Linux. Le projet vise à être le successeur spirituel d’Antergos – en fournissant un environnement de bureau facile à installer et préconfiguré sur une base Arch. EndeavourOS propose des options d’installation en ligne et hors ligne. L’installateur hors ligne, Calamares, utilise le bureau Xfce par défaut. L’installateur en ligne peut installer des composants logiciels optionnels, y compris les environnements de bureau les plus populaires.
De ce côté là, vous avez le choix parmi les environnements de bureau tels que KDE Plasma, GNOME, Xfce, LXDE, LXQt, Budgie, i3, et bien d’autres pour répondre à vos besoins et préférences spécifiques.
De plus, contrairement à Arch, EndeavourOS propose un installateur graphique convivial, ce qui simplifie le processus d’installation pour les débutants.

Le bureau de EndeavourOS Linux

EndeavourOS trouve un équilibre entre la puissance et la personnalisation d’Arch Linux et une approche plus accessible. C’est un excellent choix pour les utilisateurs qui veulent bénéficier des avantages d’Arch sans la courbe d’apprentissage abrupte, en particulier s’ils sont à l’aise avec les connaissances de base de Linux et prêts à apprendre. Si vous êtes à la recherche d’une expérience Arch conviviale pour les débutants, c’est peut-être une bonne option, mais envisagez de commencer par d’autres distros orientées vers les débutants si vous êtes complètement novice en matière de Linux.

La distribution Linux EndeavourOS, une alternative à Ubuntu

EndeavourOS : https://endeavouros.com/

Garuda Linux : pour les gamers

Garuda Linux est une distribution roulante basée sur le système d’exploitation Arch Linux. Contrairement à Arch Linux, Garuda Linux est livré avec un installateur graphique (Calamares) pour une installation facile, et d’autres outils graphiques avancés pour la gestion de votre système. Garuda est une distribution orientée vers les performances, avec de nombreuses améliorations. Parmi les nombreux réglages, citons l’utilisation de zram, un gouverneur de processeur performant, ainsi qu’un logiciel de gestion de la mémoire personnalisé. Garuda Linux s’est efforcé d’assurer la stabilité du système en incluant l’utilitaire de sauvegarde Timeshift.

Garuda Linux, pour les gamers, alternative à Ubuntu

Il s’agit d’un choix convaincant pour les utilisateurs qui recherchent une expérience puissante et personnalisable basée sur Arch avec des fonctionnalités conviviales. Elle est particulièrement attrayante pour les joueurs qui apprécient les optimisations préconfigurées. Toutefois, si vous êtes totalement novice en matière de Linux, commencez par des distributions adaptées aux débutants.

Garuda Linux, pour les gamers, alternative à Ubuntu

Garuda Linux : https://garudalinux.org

Autres alternatives à Ubuntu

Vous cherchez d’autres distributions Linux cool à découvrir ?
Consultez aussi cet article :

Liens

L’article 9 alternatives à Ubuntu est apparu en premier sur malekal.com.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Par : malekalmorte
17 février 2024 à 08:37

LinuxFx (aussi appelé Windowsfx) est une distribution Linux qui reprend l’aspect graphique et présentation de Windows 11.
Un des problèmes lorsque l’on bascule de Windows à Linux est que l’on perd ses habitudes car l’environnement de bureau est différent.
Ce n’est pas le cas, avec LinuxFx qui ressemble à Windows 11 et permet un passage à Linux en douceur.

Voici une présentation de LinuxFX, avec les avantages et inconvénients, afin de se faire une idée.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Qu’est-ce que LinuxFX

LinuxFX est une distribution Linux brésilienne basée sur l’architecture Ubuntu LTS. Elle est connue pour son interface conviviale, ses outils puissants et son orientation vers le multimédia et les jeux.
Grâce avec l’environnement de bureau WxDesktop, l’interface graphique est très proche de Windows 11.

De plus, elle est compatible avec les applications Windows grâce à Wine et fonctionne également avec les applications Android. Ce Linux est très stable, solide comme un roc et très sûr. Il n’a pas besoin de TPM ni d’aucune autre exigence pour fonctionner et est compatible.

Le site officiel : https://www.linuxfx.org/

Quelles sont les caractéristiques de LinuxFX

Les caractéristiques générales

  • Interface semblable à celle de Windows 11 : Utilise un environnement de bureau KDE Plasma personnalisé pour ressembler à Windows 11, ce qui le rend intuitif pour les utilisateurs de Windows
  • De nombreux thèmes Windows 11 (Sombre ou Clair) disponibles
  • Powertoys.control pour configurer le système avec une interface proche des paramètres de Windows 11
  • Fournit avec OnlyOffice qui ressemble beaucoup à Microsoft Office
  • Logiciels préinstallés : comprend des applications Windows populaires telles que Microsoft Edge, Teams, Skype, PowerShell, Office Online et OneDrive, garantissant la familiarité et la fluidité du flux de travail. Vous pouvez en installer des nouveaux grâce au logiciel Discover
  • Prise en charge des applications Android : Permet d’exécuter des applications Android dans l’environnement Linux, ce qui élargit les fonctionnalités et la disponibilité des applications
  • ChatGPT et Steam sont est installés
  • Les navigateurs internet Chrome et Edge sont disponible par défaut
LinuxFx : Une distribution Linux qui ressemble à Windows

Un bureau qui ressemble à Windows 11

Après l’installation, l’utilisateur est tout d’abord séduit par le bureau et le fond d’écran sur le thème de Windows 11. Il est clair que les développeurs ont vraiment travaillé sur ce projet en gardant à l’esprit les utilisateurs qui sont fans du nouveau système d’exploitation Windows 11 de Microsoft.
On retrouve donc la barre des tâches avec à gauche les widgets, au centre le bouton du menu Démarrer et applications ouvertes et en raccourcis. Enfin sur la droite, la barre de notifications avec des icônes systèmes et l’horloge.

Le menu Démarrer reprenant celui de Windows 11 avec les applications épinglées et les recommandations.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Bien sûr, il est aussi possible d’afficher la liste des applications depuis le menu Démarrer.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Les widgets et la météo sont aussi disponible depuis la barre des tâches.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Dolfin, le gestionnaire de fichiers de KDE Plasma, reprend aussi l’aspect de l’Explorateur de fichiers de Windows 11. Le volet de gauche est disponible pour naviguer dans les dossiers personnelles (Documents, Images, Vidéos, …).
Ce dernier gère les onglets par défaut.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Enfin un autre aspect importer à noter est que les paramètres de LinuxFx reprennent aussi l’aspect de ceux de Windows 11.
Là aussi, un volet avec les menus de gauche et les paramètres sur la droite.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Enfin, des thèmes supplémentaires sont aussi disponible pour basculer en mode sombre (Dark Mode).

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Prise en charge des applications Windows

La distro offre une grande variété d’applications adaptées à l’exécution d’applications Windows (.exe et .msi) sur une machine qui fonctionne à la base sous Linux.
Par exemple, il est extrêmement simple d’installer notepad++ dans LinuxFx.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Mais Winetricks peut aider l’utilisateur à utiliser certains logiciels, mais ne peut en aucun cas se substituer à un système d’exploitation complet dans lequel les applications sont spécifiquement conçues pour fonctionner.

De plus, le système est livré avec un lanceur d’applications Android (LinuxFX Android) qui permet d’utiliser des applications Android sur le bureau. Il est recommandé, si l’utilisateur final doit de toute façon utiliser un logiciel propriétaire, de le laisser utiliser Microsoft Windows, l’environnement original dans lequel il est censé être exécuté.

Une large gamme d’applications pré-installées

Cependant, en dehors de l’aspect et de la convivialité, la distribution a une suite d’applications assez importante à offrir. Lors de la connexion, on peut observer que deux navigateurs (tous deux propriétaires par nature) sont préinstallés. On trouve aussi Edge, le propre de Microsoft, et l’autre, Chrome de Google.
Outre les applications open-source, la distribution peut également se targuer d’offrir une suite bureautique OnlyOffice comprenant un équivalent de Word, Excel, PowerPoint.
La messagerie par défaut est Thunderbird.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

L’utilisateur peut aussi installer n’importe quelle application Linux, grâce à Discover.
Discover est un installateur graphique d’applications et un gestionnaire de paquets inclus dans l’environnement de bureau KDE Plasma. Il vous permet de parcourir, de rechercher et d’installer des applications, des jeux et des outils à partir de diverses sources telles que les dépôts officiels, les Flatpaks et les Snaps.

LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11

Quelles est la configuration matérielle requise pour Linuxfx ?

Configuration minimale requise

CPU2 core CPU,
Mémoire RAM2 Go RAM
Espace disque30 GB HD
Configuration minimale requise pour installer Linuxfx

Configuration matériel recommandée

CPU4 core CPU, 4GB RAM
Mémoire RAM4GB RAM
Espace disque64GB SSD
Configuration minimale recommandée pour installer Linuxfx

Comment installer LinuxFx sur son PC

La copie de fichiers et l'installation de Linuxfx

Conclusion et alternative

Une bonne distribution Linux pour débuter.
Toutes fois les défendeurs du libre n’apprécieront certainement pas, qu’un Linux embarque des applications Microsoft ou de Google.

A noter qu’il existe aussi Wubuntu (Windows Ubuntu) qui est très proche, tant sur la présentation, que le contenu.

Wubuntu (Windows Ubuntu)  - une autre distribution Linux qui ressemble à Windows 11

Liens

L’article LinuxFx : un Linux qui ressemble à Windows 11 est apparu en premier sur malekal.com.

Formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu (Linux)

Par : malekalmorte
27 novembre 2018 à 15:28

Après notre article qui explique la nomenclatures des partitions de disques sur Linux, voici comment formater un disque dur, SSD ou une clé USB sur Linux et plus précisément sur Ubuntu.
Le but est de préparer le système de fichiers afin de pouvoir utiliser le périphérique et y stocker vos fichiers ou documents.

Linux supporte beaucoup de systèmes de fichiers comme ext4, XFS, BtrFS, F2FS ou UDF mais aussi ceux de Windows NTFS ou FAT.
Il est donc possible de formater une clé USB ou une partition de disque qui sera utilisable à la fois sur Linux Ubuntu ou Windows.

Voici toutes les méthodes pour formater une partition de disque ou clé USB sur Linux Ubuntu.

Formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu (Linux)

Comment formater une partition de disque ou clé USB sur Linux

Avec l’utilitaire de disque (Méthode 1)

La partition de disque doit exister, si ce n’est pas le cas, suivez ce guide pour en créer : Créer, supprimer, redimensionner, formater des partitions de disque sur Ubuntu

  • Exécutez l’utilitaire de disque graphique d’Ubuntu, pour cela, saisissez disque dans la recherche des applications
Ouvrir application Disque sur Ubuntu
  • A gauche, la liste des périphériques de stockage s’affiche cela peut-être un disque dur interne ou une clé USB
  • Sélectionnez le disque dur, SSD ou clé USB que vous souhaitez formater
Comment formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu
  • Sélectionnez la partition à formater puis cliquez sur la roue crantée afin d’ouvrir un menu déroulant
  • Depuis le menu déroulant, sélectionnez formater
Comment formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu
  • En haut, saisissez le nom du volume
  • Puis en dessous le type de système de fichiers :
    • Ext4 si vous n’utilisez que Linux. Vous pouvez chiffrer le disque avec LUKS pour plus de sécurité
    • NTFS : si vous êtes en Dual-Boot Windows et Linux
    • FAT pour encore plus de compatibilité avec Windows et Linux. Toutefois, les performances seront moins bonnes
  • Cliquez sur Suivant en haut à droite
  • L’option Effacer permet de choisir entre un formatage rapide et formate haut niveau, plus d’informations : Formatage de disque, formatage rapide, formatage bas niveau
Comment formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu
  • Une page récapitulative s’ouvre alors puis cliquez sur le bouton formater en haut
Formater une partition de disque ou clé USB sur Linux
  • Puis le mot de passe administrateur (root) est alors demandé.
  • Saisissez ce dernier puis cliquez sur le bouton s’authentifier.
Formater une partition de disque ou clé USB sur Linux
  • Le formatage de la partition de disque s’effectue alors

Ubuntu supporte d’autres systèmes de fichiers comme xFAT, XFS, BtrFS, F2FS ou UDF.
Pour formater un volume dans avec ce type de FS, vous devez sélectionner autre dans le premier écran pour obtenir la page de formatage personnalisé.
Consultez la fin de ce guide pour obtenir des détails sur ce type de système de fichiers.

Formater en xFAT, XFS, BtrFS, F2FS ou UDF sur Ubuntu

Avec GParted (Méthode 2)

Si vous n’aimez pas l’utilitaire de disque d’Ubuntu, vous pouvez utiliser l’excellent utilitaire de disque open source Gparted.
Il permet très facilement de formater une partition de disque notamment il supporte aussi HFS+ et JFS.

Vous devez installer Gparted qui n’est pas présent par défaut dans Ubuntu. Pour cela, utilisez Software d’Ubuntu ou dans un terminal avec APT :

sudo apt install gparted
Installer Gparted sur Ubuntu
  • Lancez l’utilitaire depuis la recherche des applications d’Ubuntu
  • Puis en haut à droite, sélectionnez le disque sur lequel travailler
Formater un disque dur, SSD ou clé USB sur Ubuntu (Linux) avec GParted
  • Depuis la liste des partitions de disques, faites un clic droit et “formater en” puis sélectionnez le type de fichiers
Formater un disque dur, SSD ou clé USB sur Ubuntu (Linux) avec GParted

En ligne de commandes dans un terminal avec mkfs (Méthode 3)

Linux fournit tout ce qu’il faut pour formater une partition en ligne de commandes puis un terminal.
La commande est mkfs qui est aussi décliné en différents sous-commandes selon le type de fichiers que l’on souhaite utiliser :

  • mkfs.ntfs : formate en NTFS
  • mkfs.fat : formate en FAT
  • mkfs.ext4 : formate en ext4
  • etc

On spécifie la partition de disque à formater, pour lister les disques et leurs partitions, vous pouvez utiliser fdisk ou lsbk :

fdisk -l
lsblk

Ensuite on utilise par exemple la commande mkfs.ntfs pour formater une partition de disque en NTFS.
Ici par exemple ce sera la partition /dev/sdb2 :

sudo mkfs.ntfs /dev/sdb2

On aurait pu très bien utiliser la commande plus générique avec l’option -t pour indiquer le type de système de fichiers :

sudo mkfs -t ntfs /dev/sdb2
Formater une partition de disque ou clé USB sur Linux

Par défaut, il s’agit d’un formatage haut niveau et donc cela peut prendre beaucoup de temps.

Quelles sont les différences entre les systèmes de fichiers

L’opération de formage de disque créé le système de fichiers afin de pouvoir ensuite stocker des fichiers sur le média de stockage.
Linux supporte différents types de système de fichiers comme ext4 mais aussi ceux de Windows comme NTFS et xFAT ou FAT32.
Cela permet donc d’utiliser une clé USB sur les deux systèmes d’exploitation.
On trouve en trouve aussi beaucoup d’autres.

Système de fichiersDescriptionCompatibilité
Ext4Ext4 (Extended File System 4) est le système par défaut sur Linux dans sa quatrième version.
Il propose la journalisation, de large taille de volume 16 Tio exabyte, peut supporter des fichiers de tailles maximales de 16 Tio, horodatage et une sommes de contrôle (checksum).
Les performances sont relativement bonnes et réduit fortement la fragmentation de fichiers.
Linux
NTFSLe “New Technology File System” est un système de fichiers de journalisation de Microsoft introduit avec Windows NT. Il a succédé à FAT. La seule raison d’utiliser ce système de fichiers est la compatibilité avec les systèmes d’exploitation autres que Linux.Windows / Linux
ExFATExFAT, qui signifie Extended File Allocation Table (table d’allocation de fichiers étendue), est un système de fichiers relativement nouveau conçu pour les dispositifs de mémoire flash tels que les lecteurs USB et les cartes SD.
Il repousse les Limites de taille de FAT jusqu’à 16 exaoctets et les partitions jusqu’à 256 exaoctets, ce qui est bien supérieur aux limites de FAT32 (4 Go pour un seul fichier, 8 To pour une partition).
Il est aussi plus léger que le NTFS, il convient aux périphériques de stockage limités offrant ainsi de bonnes performances en lecture et écriture des données.
Windows / Linux
BtrFSC’est un système de fichiers moderne et avancé de type “copy-on-write” (CoW) conçu pour les systèmes Linux. Il vise à surmonter les limitations des anciens systèmes de fichiers tels que ext4 et offre des fonctionnalités telles que :
Il support les instantanés, les sous-volumes. forte intégrité des données.
Il est plutôt utilisé dans les systèmes RAID.
RAID / Unix / Linux
ReiserFSLe système de fichiers Reiser est le système de fichiers par défaut des distributions SUSE Linux.
Il a été conçu pour résoudre les limitations de ext2 et ext3 notamment en apportant la journalisation.
Ce dernier n’est plus maintenant et donc il n’est plus recommandé pour une utilisation générale.
Linux
XFSXFS est une système de fichiers conçu pour les systèmes Linux.
Il est réputé pour sa grande évolutivité des threads d’E/S et pour ses excellentes performances en matière de traitement des gros fichiers. Il support aussi les sous-volumes.
Le système de fichiers XFS est le système de fichiers par défaut de RHEL, CentOS et d’autres distributions RHEL telles que Oracle Linux, Rocky Linux et AlmaLinux.
Linux
ZFSZFS, à l’origine Zettabyte File System, est un système de fichiers puissant et complexe connu pour son évolutivité, l’intégrité de ses données et ses fonctionnalités avancées.
Il possède les mêmes fonctionnalités que ReiserFS, dont il est considéré comme évolution (Copy-on-write (CoW), , les sous-volumes. forte intégrité des données) mais plus compliqué à installer et maintenir.
Il est généralement utilisé dans les scénarios de RAID.
RAID / Unix / Linux
F2FSF2FS, qui signifie Flash-Friendly File System, est un système de fichiers spécialement conçu pour le stockage sur mémoire flash NAND, que l’on trouve généralement dans des dispositifs tels que les disques durs à état solide (SSD) et les systèmes embarqués.
Il utilise plusieurs technologies pour allonger la durée de vie de SSD comme le Log-structured file system (LFS) pour stocker les données de manière séquentielle au lieu d’une structure arborescente traditionnelle, minimisant les écritures et optimisant le problème d’amplification d’écriture de la mémoire flash.
D’autres technologies comme Nivellement de l’usure ou la Collecte des déchets.
Linux
UDFL’UDF (Universal Disk Format) est un système de fichiers conçu pour les disques optiques tels que les CD, les DVD et les disques Blu-ray. Il offre plus de flexibilité et de fonctionnalités que les anciens systèmes de fichiers pour CD-ROM, en prenant en charge des fichiers de plus grande taille, des noms de fichiers longs et une meilleure correction des erreurs.Linux
Les systèmes de fichiers supportés dans Linux

Liens

L’article Formater une partition de disque ou clé USB sur Ubuntu (Linux) est apparu en premier sur malekal.com.

15 Meilleurs distributions Linux à choisir en 2024

Par : malekalmorte
7 juin 2021 à 09:27

Quelle distribution Linux choisir ?
Lorsque l’on souhaite passer à Linux, c’est certainement la première question que l’on se pose.
Il existe des centaines de distributions Linux et on peut être vite perdu.
Enfin même si on est utilisateur Linux depuis des années, on peut tester et découvrir de nouvelles distributions Linux.

Voici une sélection des meilleurs distributions Linux à choisi en 2024.

13 Meilleurs distributions Linux à choisir en 2021

Qu’est-ce que Linux

Linux, c’est un projet d’un noyau Linux autour d’un ensemble de logiciels libres qui s’installent autour de ce dernier.
Une distribution article tout cela, autour d’un installeur afin d’installer l’OS sur un PC.
Il fournit aussi une aide à travers une documentation et forum d’assistant.

Plus de détails :

15 Meilleurs distribution Linux à choisir en 2023

Ubuntu : la distribution pour les débutants

Lorsqu’on propose de passer à Linux, on se dirige souvent vers la distribution Ubuntu.
Lancée en 2004, par un millionnaire sud africain, la distribution Ubuntu a rapidement su s’imposer à travers la société Canonical.
Elle se base sur Debian et utilise l’environnement de bureau GNOME avec un dock supplémentaire où vous pouvez placer vos favoris et visualiser les applications ouvertes.
Le but est de proposer une distribution simple d’installation et d’utilisation à la portée de tous.

Alternatives : Mint

Ubuntu : la distribution Linux pour les débutants

Nitrux : Esthétique pour les débutants

Nitrux est une distribution de bureau Linux directement basée sur Debian et en partie sur Ubuntu.
Elle utilise le programme d’installation de Calamares et l’environnement de bureau KDE Plasma 5 et des applications MauiKit.
Le but est de proposer une distribution à la fois esthétique mais aussi très fonctionnel.

La distribution prend également en charge et encourage l’utilisation d’AppImages, ce qui facilite l’installation d’applications supplémentaires. Toutes les AppImages sont lancées dans un bac à sable Firejail, ce qui rend Nitrux plus sécurisé dès la sortie de la boîte que votre bureau Linux classique.

Enfin elle inclut des outils d’administration comme NX Desktop (prise en main à distance), NX Firewall et logiciels de sauvegarde pour proposer une distribution sûre.

Ainsi Nitrux se démarque des autres distributions Linux classiques.

Nitrux : Esthétique pour les débutants

Zorin OS : pour les utilisateurs Windows

Voici une distribution avec le projet Zorin OS né en 2008.
Cette distribution s’adresse plutôt aux utilisateurs débutants qui viennent de Windows ou MacOSX même réfractaires au changement.
En effet, grâce à Zorin Appearance, cette distribution Linux reprend la présentation de Windows ou MacOSX.
Cela permet de retrouver la même interface mais sous Linux pour un passage en douceur.

De plus pour toucher un maximum d’utilisateurs, Zorin OS se décline en sous distribution :

  • L’édition Core : pour la plupart des ordinateurs modernes. Inclut des applications utiles pour démarrer avec votre ordinateur.
  • La version Lite : version plus légère pour les anciens PC peu puissants
  • L’édition Education : embarque des logiciels d’éducations pour les écoles
  • Enfin l’édition Ultimate qui est payante : rassemble les logiciels Open Source les plus avancés afin que vous puissiez libérer tout le potentiel de votre ordinateur
Le bureau de Zorin OS (Linux)

Mint : Une distribution pour débutants

Mint est une autre distribution relativement jeune de 2006 basée sur Debian.
Elle vise aussi la simplicité d’utilisation pour proposer une version de Linux pour tous les utilisateurs notamment car un équivalent du menu Démarrer de Windows.

Pour certains Mint est plus facile d’utilisation ou mieux adapté qu’Ubuntu, notamment grâce à son interface qui est plus proche de Windows.
Mint est aussi un peu plus rapide notamment pour les PC peu puissants avec 1 Go de RAM et de 15 Go d’espace de stockage.

Si Ubuntu vous fait peur par son interface, privilégiez alors Mint.

Mint : Une distribution Linux pour débutants

Fedora : Une alternative à Ubuntu et Mint

Fedora est un système d’exploitation open source sponsorisé par Red Hat qui contient des logiciels distribués sous diverses licences. Fedora est la source amont de Red Hat Enterprise Linux, ce qui signifie qu’elle est considérée comme une sorte de terrain d’essai pour le produit phare de Red Hat.

Fedora a été publié pour la première fois le 6 novembre 2003 et tend à se concentrer sur l’innovation, l’intégration de nouvelles technologies et le travail en collaboration avec la communauté Linux en amont afin que le travail soit disponible pour toutes les distributions Linux.

Fedora Linux est toujours le pionnier dans l’avancement des nouvelles technologies et l’adoption de nouvelles fonctionnalités avant toutes les autres distributions Linux.
C’est une très bonne alternative à Ubuntu ou Mint pour essayer Linux.

Fedora : Distribution Linux

GamerOS : pour les gamers

GamerOS est un système d’exploitation qui offre une expérience de jeu hors du commun. Après l’installation, démarrez directement dans Steam Big Picture et commencez à jouer à vos jeux préférés.
Il prend en charge de Xbox 360, Xbox One, DualShock 3 et 4, Switch Pro, contrôleurs Steam et plus (la compatibilité varie selon le jeu)
Enfin cette distribution Linux est également compatible avec la réalité virtuelle, VR.

Si vous voulez Steam dans votre salon, vous avez besoin de GamerOS.

GamerOS : pour les gamers

Pop!_OS : pour les graphistes, développeur ou gamers

Pop! _OS est conçu pour une navigation rapide, une organisation simple de l’espace de travail et un flux de travail fluide et pratique. Votre système d’exploitation doit encourager la découverte et non la gêner.
Cette distribution Linux est plutôt destiné au graphistes, développeurs ou gamers incluant des logiciels tels que OBS Studio, Blender, VS Code et bien d’autres.

Pop!_OS : pour les graphistes, développeur ou gamers

Pop! _OS chiffre votre installation par défaut et est la seule distribution Linux qui permet le chiffrement pré-installé du disque complet prêt à l’emploi.
Une clé de chiffrement privée unique est générée lors de l’installation après avoir reçu votre ordinateur.

Enfin du côté des gamers, il inclut Steam, Lutris et GameHub et propose aussi par défaut les pilotes graphiques AMD, NVIDIA.

Pop!_OS : pour les graphistes, développeur ou gamers

KDE Neon : stable et à jour

KDE Neon est basée sur la version Ubuntu LTS à la base.
Il utilise une version stable d’Ubuntu à long terme comme noyau, et emballe les logiciels les plus chauds fraîchement sortis des fours de la communauté KDE. Calculez en sachant que vous disposez d’une base solide et profitez des fonctionnalités du bureau le plus personnalisable au monde.

Mais le cadre KDE et les applications KDE avec le bureau KDE Plasma sont les dernières nouveautés de l’équipe. La raison principale de cette présentation est qu’elle est parfaite pour vous si vous voulez une distribution de base Ubuntu LTS mais que vous voulez les dernières applications KDE.

En revanche, les versions Kubuntu LTS sont également parfaites. Mais elles ne disposent pas forcément du dernier Framework ou des dernières applications KDE.

Elementary OS : la plus belle

Pour ceux pour qui l’esthétisme est le critère le plus important, Elementary OS est alors fait pour vous.

Avec son environnement de bureau Pantheon construit à l’aide des bibliothèques Vala, GTK + et Granite, le système d’exploitation élémentaire est profondément intégré à ses applications telles que Plank, Epiphany et Scratch.
La dernière version apporte AppCenter pour installer ou maintenir à jour vos applications.
Dans l’ensemble, il peut être utilisé par les expérimentés et les débutants pour effectuer des tâches informatiques quotidiennes.

Cette distribution Linux basée sur Ubuntu va en séduire plus d’un.

Elementary OS : la plus belle

Tails : pour la protection de la vie privée

Tails est un système d’exploitation portable qui protège contre la surveillance et la censure.
C’est une distribution Linux basée sur Debian qui fonctionne avec n’importe quel ordinateur.
On peut aussi l’utiliser en tant que Live USB.

Il force chaque connexion via le réseau Tor pour rester anonyme sur internet.
L’OS stocke tout dans la RAM pour ne laisser aucune trace.
Il est également livré avec de nombreux outils cryptographiques qui vous aident à chiffrer vos e-mails, fichiers et messagerie instantanée.
Il existe également d’autres options pour les esprits axés sur la protection de la vie privée.

Alternatives :

Tails : pour la protection de la vie privée

Manjaro Linux : basée sur Arch

Manjaro est un système d’exploitation conçu par des professionnels qui remplace parfaitement Windows ou MacOS. Plusieurs environnements de bureau sont disponibles via des éditions officielles et communautaires (GNOME, KDE PLASMA, XFCE).

Il est un compagnon efficace pour répondre à vos divers besoins et il est polyvalent pour s’adapter à tous vos besoins. Notre base d’utilisateurs varie des utilisateurs à domicile aux étudiants et enseignants, programmeurs et développeurs, professionnels, amateurs d’art, mélomanes, professionnels du multimédia et bien d’autres.

Le bureau de Manjaro Linux

Alternatives :

MX Linux : la plus populaire

MX Linux a commencé dans une discussion sur les options futures parmi les membres de la communauté MEPIS en décembre 2013.
Le nom «MX» a été choisi pour combiner la première lettre de Mepis avec la dernière d’antiX, symbolisant ainsi leur collaboration.

C’est une distribution Linux orientée bureau basée sur la branche «stable» de Debian.
Utilisant XFCE comme bureau par défaut, il s’agit d’un système d’exploitation de poids moyen conçu pour combiner un bureau élégant et efficace avec une configuration simple, une stabilité élevée, des performances solides et une empreinte de taille moyenne.

Cette distribution Linux propose aussi :

  • Composants de base modulaires pour toutes les fonctionnalités attendues d’un environnement de bureau moderne.
  • Une collection de «MX Tools» puissants et pratiques qui couvrent une gamme d’actions allant des options de démarrage à la gestion du référentiel.
  • Un installateur de package rapide couvrant les applications populaires, MX Test Repo, Debian Backports et Flatpak.
  • Une vaste collection de fonds d’écran, thèmes, conkies et jeux d’icônes pour la personnalisation.
MX Linux  : la plus populaire

Debian : la mère de toutes

Pourquoi ne pas revenir aux sources avec Debian ?

Debian est un projet de distribution Linux qui a vu le jour en 1996.
Depuis les versions se sont enchaînés pour arriver à la version 10.
Elle a donné naissance à de multiples autres distributions dont Ubuntu, Mint, MX Linux et bien d’autres.

Debian est livré avec plus de 50 000 paquets (des logiciels pré-compilés qui sont regroupés dans un bon format pour une installation facile sur votre machine) – le tout gratuitement.
Elle propose un gestionnaire de paquets puissant APT qui permet d’installer, mettre à jour vos programmes mais aussi faire une mise à niveau du système.
GNOME est l’environnement de bureau par défaut mais on peut très facilement installer KDE ou XFCE à la place.
Enfin l’installeur est aussi relativement facile à utiliser pour mettre en place l’OS sur votre PC.

Toutefois on considère Debian plutôt pour une distribution pour utilisateurs intermédiaires.

Debian se décline aussi en version pour les écoles avec DebianEdu.

Debian : la mère de toutes

LinuxFx : Une distribution Linux qui ressemble à Windows

LinuxFX est une distribution Linux brésilienne basée sur l’architecture Ubuntu LTS. Elle est connue pour son interface conviviale, ses outils puissants et son orientation vers le multimédia et les jeux.
Grâce avec l’environnement de bureau WxDesktop, l’interface graphique est très proche de Windows 11.
De plus, elle est compatible avec les applications Windows grâce à Wine et fonctionne également avec les applications Android. Il est très stable, solide comme un roc et très sûr. Il n’a pas besoin de TPM ni d’aucune autre exigence pour fonctionner et est compatible.

  • Interface semblable à celle de Windows 11 : Utilise un environnement de bureau KDE Plasma personnalisé pour ressembler à Windows 11, ce qui le rend intuitif pour les utilisateurs de Windows
  • Powertoys.control pour configurer le système avec une interface proche des paramètres de Windows 11
  • Fournit avec OnlyOffice qui ressemble beaucoup à Microsoft Office
  • Logiciels préinstallés : comprend des applications Windows populaires telles que Microsoft Edge, Teams, Skype, PowerShell, Office Online et OneDrive, garantissant la familiarité et la fluidité du flux de travail. Vous pouvez en installer des nouveaux grâce au logiciel Discover
  • Prise en charge des applications Android : Permet d’exécuter des applications Android dans l’environnement Linux, ce qui élargit les fonctionnalités et la disponibilité des applications
  • Mises à jour régulières : reçoit des mises à jour régulières basées sur Ubuntu LTS, ce qui garantit la stabilité et la sécurité

De plus, la configuration requise est relativement petite avec un processeur 2 GHz dual-core minimal, puis 2 Go de RAM minimale mais 4 Go recommandé. Enfin 25 Go d’espace disque requis avec un SSD recommandé.

Voici un aperçu de ses principales caractéristiques et des raisons potentielles de l’envisager :

Alternative – Wubuntu “Windows Ubuntu” : https://wubuntu.org/

LinuxFx : Une distribution Linux qui ressemble à Windows

Kali : Pentest

Qui n’a jamais rêvé de devenir un grand hacker éthique ?
Kali est une distribution Linux qui regroupe des centaines d’outils de pentest, piratage et intrusions pour tester la sécurité de votre réseau local LAN.
Il s’agit d’outils d’analyses de vulnérabilité, les attaques sans fil, les applications Web, les outils d’exploitation, les tests de résistance, les outils médico-légaux, etc.

Kali est disponible pour PC mais aussi sur Raspberry Pi, Chromebook, BeagleBone, etc.
Il est également disponible pour les smartphones Android avec l’arrivée de Kali NetHunter.

Alternative :

Kali : Pentest

Liens

L’article 15 Meilleurs distributions Linux à choisir en 2024 est apparu en premier sur malekal.com.

Comment mettre en place une installation multiserveur de CrowdSec ?

25 février 2024 à 17:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment effectuer une installation de CrowdSec sur plusieurs machines afin de répliquer les alertes et les décisions entre les différentes instances. Ainsi, lorsqu'un serveur banni une adresse IP, elle est également bannie sur les autres instances CrowdSec synchronisées.

Pour effectuer une installation multiserveur de CrowdSec, toutes les machines doivent avoir une instance CrowdSec installée en local. Ensuite, nous viendrons ajuster la configuration de chaque instance, notamment au niveau de LAPI. Si vous avez plusieurs serveurs exposés sur Internet (un cluster de serveurs Web, par exemple), vous pouvez déployer cette configuration pour que les adresses IP malveillantes soient bannies sur tous les nœuds.

Pour les échanges d'informations, CrowdSec s'appuie sur deux API :

  • Local API ou LAPI : ceci correspond à l'hôte local lorsque l'instance CrowdSec fonctionne de façon autonome
  • Central API ou CAPI : ceci correspond aux instances CrowdSec dans le Cloud, notamment sollicitées pour récupérer les listes d'adresses IP malveillantes communautaires et pour transmettre les signaux à la console CrowdSec.

Ce contenu est disponible au format vidéo :

II. Architecture avec un pare-feu PfSense et des serveurs virtuels

Pour le déploiement, plusieurs scénarios sont envisageables. Vous pouvez utiliser une machine CrowdSec destinée à centraliser toutes les décisions et toutes les alertes, et sur laquelle les autres machines viendront se synchroniser. Il est d'ailleurs possible de s'appuyer sur une base de données, pour des questions de performance.

Aujourd'hui, nous allons déployer un scénario basé sur deux machines :

  • Un pare-feu PfSense, où CrowdSec sera installé et cet hôte sera utilisé pour héberger le rôle de "Local API" pour les trois machines
  • Un serveur Windows Server, où CrowdSec sera installé avec le bouncer windows-firewall

Ici, il n'y a qu'un seul serveur exposé sur Internet, représenté par un serveur Web sous Windows Server, mais il pourrait tout à fait en avoir d'autres (y compris sous Linux). Je vais vous préciser les étapes à effectuer sur les noeuds que l'on pourrait appeler les "clients LAPI".

CrowdSec multi-server PfSense Linux Windows Server

Remarque : dans la vidéo, le scénario est basé sur trois machines, avec un second serveur en DMZ, sous Linux, lui aussi serveur Web et exposé sur Internet également. Référez-vous à la vidéo si nécessaire, selon vos besoins.

III. Point de départ

Ce tutoriel n'abordera pas l'installation de CrowdSec sur les différents hôtes, ni même l'installation des systèmes d'exploitation. Pour cela, référez-vous aux articles suivants :

Quand votre environnement est prêt, vous pouvez passer à la phase de configuration.

IV. Configurer le serveur LAPI central pour CrowdSec

Sur le pare-feu PfSense, nous devons configurer CrowdSec pour qu'il soit en écoute sur une adresse IP du pare-feu, afin de ne pas être accessible uniquement en local. Sans cela, les autres hôtes ne pourront pas venir s'inscrire sur ce serveur LAPI car par défaut l'hôte LAPI est configuré sur l'adresse IP de boucle locale : 127.0.0.1.

Connectez-vous à l'interface d'administration de PfSense, cliquez sur "Services" puis "CrowdSec". Ici, descendez jusqu'à trouver l'option "LAPI host" et remplacez "127.0.0.1" par le nom d'hôte (DNS) de votre pare-feu PfSense, ou l'adresse IP de l'une de ses interfaces. Dans cet exemple, je précise "192.168.200.1" car il s'agit de l'adresse IP de l'interface "DMZ" de mon pare-feu et le serveur Web se situe dans cette zone réseau.

CrowdSec - PfSense en tant que serveur LAPI

Quand c'est fait, sauvegardez la configuration avec le bouton prévu à cet effet.

Il est à noter que cette modification, bien qu'elle soit effectuée via l'interface web de PfSense, pourrait être effectuée en ligne de commande en modifiant le fichier suivant :

/usr/local/etc/crowdsec/config.yaml

D'ailleurs, ce que nous venons d'effectuer en mode web a permis de modifier le fichier de configuration.

Passez à l'étape suivante.

V. Inscrire et autoriser les hôtes sur le serveur LAPI

Le serveur Web sous Windows Server va devoir s'inscrire sur le serveur LAPI CrowdSec, c'est-à-dire notre pare-feu PfSense. Ensuite, nous devrons approuver la demande d'inscription. Cette étape est à effectuer sur chaque serveur qui doit utiliser le serveur LAPI central.

A. Désactiver l'interface LAPI de CrowdSec

À partir du serveur Windows Server, où CrowdSec est installé, vous devez commencer par modifier le fichier de configuration "config.yaml" situé à cet emplacement :

C:\ProgramData\CrowdSec\config\config.yaml

Dans ce fichier, vous devez ajouter la ligne "enable: false" sous "server:", et commenter la ligne "listen_uri" afin de désactiver la LAPI de CrowdSec. En effet, ce n'est plus utile sur ce serveur puisque nous allons solliciter la LAPI de l'instance CrowdSec installée sur le pare-feu PfSense.

Attention à la syntaxe, notamment aux espaces, car YAML est très pointilleux là-dessus.

Windows Server - CrowdSec - Déclarer serveur LAPI distant

Une fois que c'est fait, sauvegardez le fichier.

B. Inscrire les hôtes CrowdSec sur le serveur LAPI

Toujours sur ce même serveur, ouvrez une console PowerShell ou une Invite de commande afin d'inscrire l'hôte sur le serveur LAPI. Exécutez la commande suivante, en adaptant l'adresse IP (et éventuellement le port, si vous l'avez modifié).

cscli lapi register -u  http://192.168.200.1:8080

Si l'on ne précise pas de nom, comme c'est le cas avec la commande ci-dessus, un ID aléatoire sera généré. Si vous souhaitez préciser un nom, afin que ce soit plus parlant, utilisez la commande de cette façon :

cscli lapi register -u  http://192.168.200.1:8080 --machine <nom de la machine>

Vous devez obtenir un résultat semblable à celui-ci :

Windows Server - CrowdSec - Exemple cscli lapi register

Pour prendre en compte l'ensemble des modifications que nous venons d'effectuer, redémarrez le service CrowdSec :

Restart-Service crowdsec

Passez à la suite.

C. Approuver les hôtes CrowdSec

Basculez sur le serveur LAPI, c'est-à-dire sur le pare-feu, afin d'approuver la machine que l'on vient d'inscrire. Connectez-vous à la console, via SSH, par exemple.

Exécutez la commande suivante pour lister les machines :

cscli machines list

Ceci va permettre d'obtenir une liste avec deux machines :

  • La machine locale, ici "pfsense"
  • La machine distante que l'on vient d'inscrire, identifier par le nom "3f8ba55c46b54537aadaac7c5b7717a44wNuYECMrmksQ9Mm" (car je n'ai pas précisé de nom ; j'ignorais l'option permettant de nommer la machine à ce moment-là)

Désormais, il faut valider / approuver cette nouvelle machine en attente. Pour cela, exécutez la commande suivante :

cscli machines validate <nom de la machine>
cscli machines validate 3f8ba55c46b54537aadaac7c5b7717a44wNuYECMrmksQ9Mm

En principe, vous devriez obtenir un message de confirmation, comme celui-ci :

CrowdSec - cscli machines list and validate

Passez à la suite.

VI. Déclarer les nouveaux bouncers

A. Ajouter un bouncer et obtenir une clé d'API

Toujours sur le serveur LAPI, à savoir PfSense, nous allons devoir déclarer la machine distante comme étant un bouncer. Ceci signifie qu'elle aura la permission de venir déclarer de nouvelles alertes et décisions pour bloquer des adresses IP malveillantes.

La commande suivante permet de déclarer un bouncer nommé "SRV-WS2022". Vous pouvez reprendre le nom d'hôte de votre machine.

cscli bouncers add <nom de la machine>
cscli bouncers add SRV-WS2022

Comme le montre l'image ci-dessous, nous obtenons une clé d'API pour cet hôte :

CrowdSec - Déclarer un hôte en tant que bouncer

Cette clé d'API va lui permettre de s'authentifier sur le serveur LAPI en tant que bouncer.

B. Configurer le bouncer sur l'hôte

Retournez sur le serveur distant. Pour ma part, c'est le serveur Web sous Windows Server. L'objectif va être de configurer le bouncer Windows Firewall installé sur cette machine pour qu'il déclare les décisions sur le serveur LAPI central, plutôt qu'en local. Ceci implique d'installer le bouncer sur le serveur, au préalable.

Éditez le fichier suivant :

C:\ProgramData\CrowdSec\config\bouncers\cs-windows-firewall-bouncer.yaml

Dans ce fichier, vous devez modifier deux options :

  • api_endpoint
  • api_key

Elles sont mises en évidence sur l'image ci-dessous.

Pour l'option "api_endpoint", vous devez indiquer l'adresse IP (ou le nom d'hôte) ainsi que le port de votre serveur LAPI central (soit le PfSense).

Pour l'option "api_key", vous devez indiquer la clé d'API obtenue précédemment via la commande "cscli bouncers add".

Ce qui donne :

Quand c'est fait, redémarrez le service Windows correspondant au bouncer Firewall :

Restart-Service cs-windows-firewall-bouncer

Du côté de PfSense, si nous regardons l'onglet "Bouncers" présent sur la page de statut de CrowdSec, nous pouvons voir deux bouncers valides ! Il y a le bouncer présent en local sur PfSense et notre hôte distant sous Windows Server.

CrowdSec - Multi-serveurs avec PfSense

La configuration est prête, vous allez pouvoir la tester...

VII. Tester la configuration

Pour tester cette configuration, nous allons devoir simuler un comportement malveillant. Dans le cas présent, mon serveur Web Windows Server est accessible grâce à une règle de NAT (car le reverse proxy n'est pas configuré sur le pare-feu) créée sur le pare-feu PfSense.

À l'aide d'une machine distante, je vais accéder à ce site Web qui est celui par défaut de IIS. Il s'agit d'un Lab et l'interface WAN de mon PfSense a l'adresse IP "192.168.1.60", donc j'effectue un scan Web sur cette adresse IP à l'aide de l'outil Nikto.

Ci-dessous, l'action est effectuée à partir d'une machine Kali Linux. Ce scan effectué par Nikto est bruyant et devrait alerter rapidement CrowdSec.

En effet, nous pouvons constater qu'il y a bien eu une décision prise par CrowdSec : bloquer l'adresse IP correspondante à mon hôte Kali Linux. Le résultat ci-dessous est issu de la machine Windows Server.

CrowdSec multi-server - Adresse IP bannie

Nous pouvons voir qu'il y a eu plusieurs alertes générées :

CrowdSec - Lister les alertes LAPI

Mais, comment savoir si c'est le pare-feu ou le serveur web qui a pris la décision de bloquer cette adresse IP ?

Pour cela, nous pouvons regarder les détails de l'alerte. Par exemple, l'alerte avec l'ID numéro 4 correspondant à du "http-xss-probbing". Pour cela, nous devons exécuter la commande suivante :

cscli alerts inspect 4

Dans les détails, nous pouvons voir la ligne "Machine :" accompagnée par un nom d'hôte. Ici, j'obtiens un ID de machine (souvenez-vous, la machine n'a pas été nommée lors de son inscription initiale). Cet identifiant correspond bien à mon serveur Web, donc c'est ce serveur qui a bloqué l'adresse IP.

Nous pouvons le vérifier en faisant la correspondance entre cet ID et celui visible dans la liste des machines :

cscli machines list

Voici le résultat en image :

CrowdSec - Inspecter une alerte et identifier hôte source

Remarque : nous pouvons également ajouter l'option "-m" aux commandes "cscli alerts list" et "cscli decisions list" pour ajouter une nouvelle colonne avec l'ID de la machine.

Du côté de l'interface Web de PfSense, cette adresse IP est également bannie ! La décision est bien synchronisée entre tous les hôtes. Ainsi, les deux machines vont bloquer tous les flux en provenance de cette adresse IP malveillante.

CrowdSec - Synchronisation des décisions

VIII. Conclusion

Grâce à ce tutoriel basé sur uniquement deux hôtes, nous voyons bien le potentiel et l'intérêt de CrowdSec dans une architecture multiserveur, notamment lorsqu'il y a plusieurs serveurs exposés sur Internet. Le fait de coupler les serveurs avec le pare-feu permet de bannir les adresses IP malveillantes directement en entrée du réseau, ce qui est intéressant pour protéger notre infrastructure.

Sachez que malgré la présence d'une authentification, tous les flux échangés entre les hôtes sont effectués en clair puisque le protocole HTTP est utilisé. Il s'agit de flux interne, entre le serveur en DMZ et le pare-feu, donc c'est acceptable. Toutefois, si vous envisagez d'utiliser un serveur LAPI externe ou qui implique que des flux vont transiter sur Internet, vous devez faire évoluer la configuration pour basculer les connexions en HTTPS.

The post Comment mettre en place une installation multiserveur de CrowdSec ? first appeared on IT-Connect.

Dconf dans Linux : configurer le système

Par : malekalmorte
24 février 2024 à 10:49

Dconf est le système de configuration de bas niveau utilisé par l’environnement de bureau GNOME. Il s’agit essentiellement d’une base de données, où les différentes configurations sont stockées sous forme de clés avec leurs valeurs. Les clés de la base de données peuvent être inspectées, modifiées ou vidées à l’aide de l’utilitaire dconf ou de l’outil graphique dconf-editor.

Dans ce tutoriel, vous allez apprendre ce qu’est dconf et quel est son utilité.
Nous allons aussi voir la commande dconf pour gérer les clés dconf, comment les sauvegarder et les restaurer et comment maintenir l’état de la base de données en synchronisation avec un fichier de configuration.
Enfin, je vous parlerai aussi de dconf-editor, un éditeur graphique pour modifier la configuration dconf.

Dconf dans Linux : configurer le système

Qu’est-ce que dconf

Dconf est une base de données de paramètres utilisée dans Gnome3 et les systèmes similaires (tels que Unity et XFCE). Dconf est le prédécesseur de Gconf qui était utilisé dans Gnome2.
Il fournit un système de configuration utilisé par l’environnement de bureau.

Dconf agit donc comme une base de registre, un peu similaire à celle de Windows mais optimisé pour une lecture rapide.
Le fichier de configuration est de type GVariant Database dont les données sont fournies se présente essentiellement une table de hachage.

Il fonctionne aussi sous la forme d’un service (/usr/libexec/dconf-service) avec une architecture client/serveur partielle en s’appuyant sur D-Bus. Le système de messagerie D-Bus permet aux applications de communiquer entre elles sous Linux
Enfin il présente aussi sous la forme d’une commande dconf qui permet de gérer cette base de données.

L’utilisation principale de dconf est de :

  • stocker la configuration de l’utilisateur
  • fournit un profil de configuration matérielle et logicielle du système, que le système dconf collecte. Les profils dconf vous permettent de comparer des systèmes identiques pour résoudre des problèmes matériels ou logiciels

La compréhension de ce système peut aider les utilisateurs à comprendre comment apporter diverses modifications et corrections à leur système.

Où se trouvent les fichiers dconf dans Linux

Toutes les préférences sont stockées dans un seul grand fichier binaire.
La superposition des préférences est
est possible en utilisant plusieurs fichiers (par exemple, pour les valeurs par défaut du site). Le verrouillage est également pris en charge. Le fichier binaire
pour les valeurs par défaut peut optionnellement être compilé à partir d’un ensemble de fichiers clés en texte clair.

Essentiellement, on trouve donc deux emplacements dconf :

  • ~/.config/dconf/user est la base de données binaire utilisée par Dconf pour stocker la configuration utilisateur
  • /etc/dconf stocke la base de données et le configuration des profiles

Comment utiliser la commande dconf

Les commandes

CommandeDescription
helpAfficher l’aide de la commande
readLire la valeur d’une clé
listListe le contenu d’un répertoire
writeModifier la valeur d’une clé
resetRéinitialise la valeur d’une clé ou d’un répertoire
compileCompile une base de données binaire à partir des fichiers de clés
updateMettre à jour les bases de données du système
watchSurveiller les modifications d’un chemin d’accès
dumpDécharger un sous-chemin entier sur la sortie stdout
loadRemplir un sous-chemin à partir de stdin
Liste des commandes dconf

Avant de pouvoir utiliser dconf, vous devez comprendre la structure de la base de données.

Une clé est stockée dans un schéma avec un chemin de la manière suivante :

SCHÉMA[:CHEMIN] CLÉ

Par exemple la clé picture-uri se trouve dans le schéma org.gnome.desktop.background.
La commande dconf sépare les schémas par des /

Comme alternative, il existe la commande gsettings.

Liste des clés dconf

Pour lister les clés de la base de données dconf, on utilise l’option list suivi de la clé.

 dconf list <clé>

Par exemple, pour lister le contenu racine :

 dconf list /

Une clé commence et se termine forcément par le caractère /
Autre exemple pour lister le contenu de la clé /apps/update-manager/ :

dconf list /apps/update-manager/
Liste des clés dconf

Récupérer la valeur d’une clé

Pour récupérer la valeur d’une clé stockée dans la base de données dconf, nous pouvons utiliser la commande read de l’utilitaire dconf. Prenons un exemple.
Imagions que vous souhaitez connaître l’arrière-plan configuré dans GNOME.
Vous pouvez alors lire la valeur de la clé suivante :

dconf read /org/gnome/desktop/background/picture-uri

Cela retourne alors le chemin complet de l’image en fond d’écran :

'file:///usr/share/wallpapers/DebianTheme/contents/images/2560x1600.svg'
Récupérer la valeur d'une clé avec la commande dconf

Modifier la valeur d’une clé

Bien entendu, il est aussi possible de modifier une valeur d’une clé, cela grâce à la commande write.
Si on reprend l’exemple précédent, vous pouvez modifier l’arrière-plan en modifiant l’image stockée comme valeur dans la clé dconf.

Pour cela, utilisez la syntaxe suivante.

dconf write /org/gnome/desktop/background/picture-uri "'/home/mak/Téléchargements/cropped-2544-1161-1338574.jpeg'"

Vous devez respecter la syntaxe des types GVariant.
Pour cela, reportez-vous à la documentation suivante : https://docs.gtk.org/glib/types.html

Modifier la valeur d'une clé avec la commande dconf

Sauvegarde et restauration d’une base de données dconf

Enfin, il est possible de sauvegarder et rester la configuration dconf.
Cela peut être utile avant toutes modifications.
Pour exporter les clés dconf, utilisez la commande dump.

Ici pour exporter les clés complètes vers le fichier dconf_backup.txt :

dconf dump / > dconf_backup.txt

Pour importer et restaurer les clés dconf, on utilise la commande load :

 dconf load / < dconf_backup.txt

dconf-editor : éditeur graphique pour dconf

Les fichiers de base de données du système, situés dans /etc/dconf/db, ne peuvent pas être modifiés car ils sont écrits au format GVDB. Pour modifier les paramètres du système à l’aide d’un éditeur de texte, vous pouvez modifier les fichiers clés qui se trouvent dans les répertoires de fichiers clés.

Dconf-editor est un programme GUI utilisé pour effectuer diverses modifications dans la base de données Dconf.

Vous pouvez l’installer avec APT pour les distributions de type Debian, Ubuntu, Linux Mint, etc

sudo apt install dconf-editor

Du côté de Fedora, avec dnf :

sudo dnf install dconf-editor

Vous pouvez le lancer depuis un terminal ou exécuter l’application Éditeur dconf.

dconf-editor : éditeur graphique pour dconf
  • Sur le côté gauche de la fenêtre se trouvent diverses catégories telles que apps, ca, com, desktop, org, et system. Chacune d’entre elles contient de nombreuses sous-catégories
  • La partie droite de la fenêtre affiche les paramètres de la catégorie ou de la sous-catégorie sélectionnée. Dans cette partie de la fenêtre, les utilisateurs peuvent modifier les paramètres. En bas de la fenêtre, l’utilisateur trouvera diverses informations sur le paramètre sélectionné
dconf-editor : editer les entrées dconf dans Linux

Voici une liste et une description de chacune des catégories/schémas principaux.
Comme le montre la capture d’écran ci-dessus, les sous-dossiers de dconf diffèrent selon si l’application est exécutée avec l’utilisateur courant ou en tant que root.

  • apps – les paramètres pour des applications spécifiques
  • ca – paramètres relatifs à Dconf lui-même
  • com – les paramètres spécifiques/communs au système actuel
  • desktop – les paramètres du système de bureau (comme Gnome, iBus, etc.)
  • gnomes – les paramètres de GNOME
  • gkt – Les paramètres de GTK
  • org – les paramètres appartenant aux applications ou aux sous-systèmes de diverses organisations ou groupes se trouvent ici. Par exemple, de nombreuses applications sont développées par les développeurs de Gnome et les développeurs de Freedesktop, qui ont donc chacun une catégorie dédiée à l’ensemble de leurs logiciels.
  • system – les paramètres du système appartiennent à ce schéma

Bien entendu, certaines distributions Linux peuvent avoir des sous-catégories que d’autres systèmes n’ont pas. Tout dépend des logiciels installés et de leurs versions.

Voici par exemple la liste des clés et valeurs de /org/gnome/desktop/background/.

Utiliser l'éditeur dconf-editor pour accéder à la configuration dconf

On peut alors modifier une valeur très facilement (ici picture-uri) comme vous pouvez le voir, une description est indiquée.
Cliquez sur Appliquer pour enregistrer les modifications.

Utiliser l'éditeur dconf-editor pour accéder à la configuration dconf

Utiliser le moteur de recherche

Maintenant, pour rechercher une entrée spécifique ou naviguer vers un chemin particulier dans l’éditeur dconf, nous cliquons sur l’icône de recherche et tapons le chemin complet dans la barre d’adresse :

Ensuite, par exemple, nous naviguons vers le chemin /org/gnome/desktop/datetime/ et cherchons la bascule automatique du fuseau horaire :

Utiliser le moteur de recherche avec dconf-editor

Ensuite, nous activons la bascule automatique du fuseau horaire, et nous cliquons sur l’icône de rechargement pour appliquer les changements :

Utiliser le moteur de recherche avec dconf-editor

Ainsi, les changements reflètent les paramètres de fuseau horaire de notre système.

Les raccourcis clavier

Vous pouvez également utiliser différents raccourcis clavier pour naviguer et interagir efficacement dans l’éditeur dconf.
En haut à droite, cliquez sur l’icône trois points en haut à droite et raccourci clavier.

Les raccourcis clavier dans dconf-editor

Quelques schémas utiles de dconf

Voici quelques schémas de configuration utiles :

  • Diverses applications web peuvent être activées ou désactivées dans Unity sous com.canonical.unity.webapps
  • Sous “org.gnome.desktop.thumbnail-cache“, les utilisateurs peuvent modifier la durée de conservation des vignettes dans le cache
  • Sous /org/gnome/mutter, vous pouvez activer certains paramètres liés à la gestion des fenêtres, tels que la centralisation des nouvelles fenêtres ou le pavage des fenêtres
  • Dans org.gnome.shell.clock se trouvent les paramètres d’affichage de l’horloge. Vous pouvez par exemple afficher les secondes
  • Les paramètres de bureaux multiples se trouvent dans org.gnome.shell.overrides

L’article Dconf dans Linux : configurer le système est apparu en premier sur malekal.com.

Utiliser gsettings avec des exemples dans Linux

Par : malekalmorte
25 février 2024 à 09:51

gsettings est un outil en ligne de commande pour interagir avec la base de données dconf, qui est une base de données clé-valeur utilisée par l’environnement de bureau GNOME pour stocker les paramètres de configuration. La commande gsettings vous permet d’interroger et de modifier les valeurs stockées dans la base de données dconf.
Elle fournit également une validation de schéma pour s’assurer que les valeurs que vous définissez sont du bon type et qu’elles sont conformes aux contraintes définies dans le schéma.

Dans ce tutoriel, je vous montre comment utiliser la commande gsettings avec des exemples afin d’interagir avec la base de données dconf.

Utiliser gsettings avec des exemples dans Linux

La syntaxe de gsettings

CommandesDescription
helpAfficher l’aide de la commande
list-schemasListe les schémas installés
list-relocatable-schemasListe les schémas réadressables
list-keysListe les clés dans un schéma
list-childrenListe les enfants d’un schéma
list-recursivelyListe les clés et les valeurs, récursivement
rangeDemande le domaine de validité de la clé
describeDemande la description de la clé
getRenvoie la valeur d’une clé
setDéfinit la valeur d’une clé
resetRétablit la valeur par défaut d’une clé
reset-recursively Rétablit toutes les valeurs dans un schéma donné
writableTeste si la clé est inscriptible
monitorContrôle les modifications
La liste des commandes de gsettings

Utiliser gsettings avec des exemples dans Linux

Lister les schémas

Pour lister tous les schémas, utilisez la commande list-schemas sans aucun argument.

gsettings list

Pour lister tous les enfants d’un schéma, utilisez la commande list-children en spécifiant le schéma comme ceci :

gsettings list-children org.yorba.shotwell.sharing

Ici la sort est la suivante :

facebook org.yorba.shotwell.sharing.facebook
flickr org.yorba.shotwell.sharing.flickr
gallery3 org.yorba.shotwell.sharing.publishing-gallery3
org-gnome-shotwell-publishing-google-photos org.yorba.shotwell.sharing.org-gnome-shotwell-publishing-google-photos
youtube org.yorba.shotwell.sharing.youtube

Lister récursivement toutes les clés et valeurs

Afficher toutes les clés et valeurs (par défaut si non défini) d’un schéma :

gsettings list-recursively | sort

Vous pouvez aussi utiliser la commande egrep pour filtrer la liste :

gsettings list-schemas | egrep -i "deja|duplicity"

Lister les clés d’un schéma

Pour lister les clés d’un schéma, utilisez la commande list-keys

gsettings list-keys org.gnome.desktop.background

Afficher la valeur d’une clé

Vous pouvez utiliser gsettings pour obtenir la valeur d’une clé particulière en exécutant la commande.

gsettings get <schema> <clé>

Par exemple, pour obtenir la valeur de la clé picture-uri dans le schéma org.gnome.desktop.background, vous devez exécuter la commande :

gsettings get org.gnome.desktop.background picture-uri

Modifier la clé d’une valeur

Vous pouvez également utiliser gsettings pour définir la valeur d’une clé en exécutant la commande :

gsettings set org.schema.exemple <clé> <valeur>

Par exemple, pour définir la valeur de la clé background dans le schéma org.gnome.desktop.background à //cdn.thegeekdiary.com/path/to/image.jpg, vous devez exécuter la commande :

gsettings set org.gnome.desktop.background picture-uri /chemin/de/image.jpg

Afficher le domaine de validité d’une clé

Enfin une clé peut avoir plusieurs types, utilisez la commande range pour connaître ceux attendus :

gsettings range org.gnome.desktop.background picture-uri

Dans cet exemple, cela retourne :

type s

L’article Utiliser gsettings avec des exemples dans Linux est apparu en premier sur malekal.com.

Linux : installer un paquet (logiciel)

Par : malekalmorte
27 février 2024 à 11:00

Sous Linux, il existe plusieurs façons d’installer un paquet (et donc un logiciel). Cela peut être déroutant pour les nouveaux utilisateurs, d’autant plus que les commandes utilisées pour installer les paquets varient en fonction de la distribution de Linux que vous utilisez.

Dans ce tutoriel complet, nous aborderons onze façons différentes d’installer des paquets sous Linux : à l’aide des gestionnaires de paquets commande rpm ou dpkg, de la commande yum, de la commande apt, dpkg, de la commande dnf mais aussi via l’interface graphique.
Ainsi vous serez en mesure d’installer un paquet sur la plupart des distributions Linux telles qu’Ubuntu, Linux Mint, Debian, Fedora, Arch Linux et toutes leurs dérivés !

Comment installer un paquet sur Linux (logiciel)

Comment installer un paquet sur Ubuntu, Linux Mint, Debian, etc

Avec APT

Sur les distributions Linux de type Debian et leurs dérivés, le gestionnaire de paquets est Advanced Packaging Tool (APT.
Il permet de télécharger un paquet et l’installer depuis les dépôts officiels tout en gérant les dépendances.
C’est la méthode la plus facile.

Pour chercher un paquet par un nom, description, etc :

apt-cache search <mot clé>

Ensuite, la syntaxe pour installer un ou plusieurs paquet(s) :

sudo apt install <nom paquet1> <nom paquet2>

Par exemple pour installer VLC, utilisez la commande suivante :

sudo apt install vlc
apt-get install sur Linux

Enfin pour supprimer un paquet ou logiciel, utilisez la commande remove :

sudo apt remove <nom paquet>

Alternatives :

  • Aptitude : Aptitude est un frontal de l’outil APT avec des options supplémentaires
  • Snap : Les snaps sont des paquets fonctionnant sur de nombre distributions Linux différentes, permettant une livraison et un fonctionnement sécurisés des dernières applications et utilitaires

Avec dpkg

Dans certains cas, vous pouvez télécharger des paquets de logiciels directement depuis l’internet dans des formats tels que .deb (basé sur Debian).
Bien que cela soit moins courant, vous pouvez les installer manuellement, mais soyez prudent car ces paquets peuvent ne pas provenir de sources fiables et peuvent potentiellement endommager votre système.

Pour installer un paquet au format .deb, vous devez utiliser la commande dpkg avec l’option -i comme ceci :

sudo dpkg -i <nom du paquet>.deb

Par exemple, si vous avez télécharger le paquet vlc_3.0.20-1+b2_amd64.deb, il faudra utiliser :

sudo dpkg -i vlc_3.0.20-1+b2_amd64.deb
Installer un paquet en ligne de commandes avec dpkg

Comment installer un paquet sur Fedora, RHL Linux, Mageia, et OpenMandriva

Avec Dnf ou Yum

Yum (ou son sucesseur Dnf) est le gestionnaire de paquets sur les distributions de type Redhat comme RHL Linux, Mageia, OpenMandriva ou Fedora. Il permet de télécharger un paquet RPM depuis les dépôts de la distribution pour l’installer tout en générant les dépendances.

Pour rechercher un paquet par un nom, description :

dnf search <mot clé>

Puis pour installer un ou plusieurs paquet(s) :

sudo dnf install <nom paquet1> <nom paquet2>

Par exemple :

sudo dnf install lftp
yum install pour installer des packages

Pour supprimer un paquet ou application :

sudo dnf remove <nom du paquet>

Avec rpm

RPM est l’acronyme de Red Hat Package Manager, bien qu’il soit devenu un terme plus large englobant à la fois le format des paquets et le système de gestion des paquets lui-même.
Il permet d’installer un paquet au format RPM.

La syntaxe est la suivante :

sudo rpm -i <nom du paquet>

Par exemple pour installer le paquet VLC :

sudo rpm -i vlc-3.0.20-9.fc39.rpm

Comment installer un paquet sur Arch Linux avec pacman

Arch Linux et ses dérivés (Bluestar Linux, Manjaro Linux, EndeavourOS, SteamOS, …) utilisent le système de paquets pacman.
Ainsi pour installer un paquet, on utilise la commande pacman avec l’option -S avec la syntaxe suivante :

sudo pacman -S <nom paquet1> <nom paquet2>

Par exemple, pour installer VLC :

sudo pacman -S vlc
Comment installer un paquet sur Arch Linux avec pacman

Comment installer un logiciel sur Linux avec Flatpak

Flatpak veut corriger cela en offrant une plate-forme universelle pour installer, gérer et désinstaller les logiciels sur toutes les distributions Linux. Pas besoin de s’inquiéter des dépendances ou autres.

Lorsque vous vous rendez sur le site d’un éditeur, vous pouvez rencontrer des paquets au format Flatpak.
De plus, il existe aussi le dépôt FlashHub pour télécharger des logiciels avec ce format.

La syntaxe pour installer un paquet au format flatpak est la suivante :

sudo flatpak install <nom du paquet>

Comment installer un paquet en graphique

Logiciels de GNOME

Logiciels de GNOME (ou GNOME Software) est est le centre d’applications logicielles par défaut de l’environnement de bureau GNOME, couramment utilisé dans les distributions Linux telles qu’Ubuntu, Fedora et d’autres.

Il fournit une interface conviviale pour :

  • Installer, mettre à jour et supprimer des logiciels
  • Naviguer et rechercher les applications disponibles
  • Gérer les dépôts de logiciels (sources de paquets de logiciels)
Logiciels de GNOME pour installer des applications

Discover – le center des logiciels KDE

Discover est le centre des logiciels KDE et fonctionne avec toutes les distributions qui supportent AppStream (Ubuntu, Debian, Arch-Linux, OpenSUSE, Red Hat, Fedora, …).Il vous permet de chercher des logiciels par catégorie ou via un moteur de recherche.
Ensuite vous pouvez installer l’application souhaitée.
Bien entendu, il est aussi possible de désinstaller une application.

Discover - installer des paquets et logiciels sur Linux en KDE

Synaptic (pour Debian, Linux Mint, Ubuntu, …)

Synaptic est un gestionnaire de paquets en graphique pour les distributions Linux basées sur Debian comme Ubuntu, Mint et d’autres.
Il fournit une interface graphique conviviale pour la gestion des paquets de logiciels, offrant des fonctionnalités telles que :

  • L’installation, la suppression et la mise à jour de paquets logiciels
  • La recherche de logiciels disponibles
  • Affichage d’informations détaillées sur les paquets installés
  • Gestion des dépendances des paquets (autres paquets nécessaires au fonctionnement du logiciel)
Synaptic : Installer des paquets et logiciels sur Debian, Linux Mint, Ubuntu

L’article Linux : installer un paquet (logiciel) est apparu en premier sur malekal.com.

❌
❌