Debian est une distribution Linux populaire.
En effet, elle a donné naissance à bien d’autres distributions Linux comme Ubuntu, Mint, etc.

Aujourd’hui Debian c’est plus de 64 419 paquets, le noyau Linux 6.1 et GNOME 43.
Ce système d’exploitation open source et libre permet de personnaliser votre installation.
Ainsi par défaut, on peut avoir une version très épurée puis installer ce que l’on souhaite.
De ce faite ce Linux s’adresse plutôt aux utilisateurs avancés.

Cet tutoriel complet vous guide pas à pas pour installer Linux Debian 12 (Bookwom).

Comment créer la clé USB d’installation de Debian 12

Debian fournit deux types d’ISO :

• NetInstall : C’est l’installation par internet. Il s’agit d’un fichier ISO léger de 330 Mo. Ce dernier permet d’amorcer l’installation et l’installation de logiciels se fera par internet.
• Image complète : Ce dernier contient tous les logiciels disponibles dans la distrib. A utiliser si votre PC n’a pas de connexion internet.

Ainsi avec la NetInstall, vous pouvez utiliser une clé USB de 1 Go mais une connexion internet est nécessaire.

Avec Rufus

• Télécharger les ISO Debian version 12 (Bookwom)
• Ensuite téléchargez Rufus

• En haut, on sélectionne le lecteur USB
• Ensuite cliquez sur sélection puis naviguer pour choisir le fichier ISO Debian.
• Schéma de partition : GPT si votre PC est récent > 2016 et MBR pour les PC plus anciens.
• Ne touchez pas au reste puis cliquez sur Démarrer.

• Cliquez sur Démarrer et patientez
• Une fois terminée, votre clé USB d’installation de Debian est prête

UNetbootin

Cet outil gratuit permet de créer une clé USB.
Vous n’avez pas à vous soucier de télécharger l’ISO.

En haut dans distribution, sélectionnez Debian.

Ensuite la version de Debian, en général il faut choisir stable_netinstall_x64.

Enfin en bas, sélectionnez le lecteur USB puis cliquez sur OK.
La création de la clé USB bootable s’effectue.

Comme alternative, vous avez aussi l’outil Universal USB Installer.
Plus d’outils sur la page : Utiliser Universal USB Installer pour créer une clé USB bootable

Comment installer Debian 12 sur son PC avec une clé USB

Lancer l’installation de Debian

Une fois la clé USB d’installation de Debian prête, il faut amorcer votre PC dessus.
On parle alors de booter sur la clé USB.

Pour ce faire, suivez l’article : Comment démarrer l’ordinateur sur clé USB

On arrive alors sur le menu de démarrage Debian.
Choisissez Graphical Install.

L’installeur Debian démarre.

Les paramètres d’installation

L’installation débute par quelques paramètres.
On commence par choisir la langue.

Ensuite définissez le lieu géographique.

Enfin la disposition du clavier.

Quelques configurations et vérifications s’effectuent.

Configurer le réseau

Puis on passe à la configuration du réseau.

D’abord on configure le nom d’hôte et le nom de la machine.
C’est le nom qui apparaît lors des accès réseaux à ce PC.

Ensuite le groupe de travail ou domaine.

Créer les utilisateurs

Ensuite on passe à la configuration des utilisateurs avec :

• Le root : c’est l’utilisateur administrateur qui peut modifier le système.
• Un utilisateur administrateur : avec lequel vous allez vous connecter et lancez des opérations systèmes via sudo (substitute user do)

Donc on commence par indiquer le mot de passe root.
Il faut indiquer un mot de passe fort avec au minimum 8 caractères : Comment choisir “un bon” mot de passe fort et sécurisé

puis on créé l’utilisateur standard avec le nom et à nouveau on indique le mot de passe.

Installer Debian : Le partitionnement de disque

Enfin le partitionnement de disque.
Ici il s’agit de créer les partitions qui vont stocker Linux.
Plusieurs cas de figure existent par exemple le Dual-boot pour faire cohabiter Windows et Debian.
Soit sur le même disque, soit chacun sur son propre disque.

Pour ce faire, Debian propose un assistant de partitionnement de disque.
Ce dernier peut utiliser l’espace libre disponible pour installer l’OS.
On peut aussi demander à configurer le disque en entier.
Il faut utiliser cette option si vous avez un disque dur supplémentaire qui peut accueillir l’OS.

Utiliser le disque entier

La méthode la plus simple où on utilise tout le disque.
On sélectionne le disque où installer Linux.

Puis on choisit si on veut tout dans une seule partition ou séparer le /home.

L’installeur Debian affiche alors les partitions de disque qui seront créés

Si cela est correct, confirmez la modification de la configuration du disque en cliquant sur Oui et Continuer

Partition de disque manuelle

Et puis on peut créer les partitions manuelles pour une config aux petits oignons.

Rappelons la structure la plus simple pour Linux au niveau des partitions de disque.
Au minimum, vous devez avoir :

• Une partition avec un point de montage /. Un minimum de 20 Go est conseillé.
• Une partition SWAP. On conseille alors 20% de la mémoire RAM.

On peut créer plusieurs partitions, par exemple si on souhaite dissocier /home de /.

Ainsi en manuel à titre d’exemple, on sélectionne le disque.
Ci-dessous le disque sdb est libre.

puis créer une nouvelle partition.

On définit la taille, pensez à laisser de la place pour la partition SWAP.

Enfin le système de fichiers ext4 par défaut et le point de montage /.
En allant sur la ligne et faisant entrée vous pouvez modifier la configuration.

On recommence en créant une partition de type swap.
Au final, on obtient ceci.

Lorsque tout est correcte, vous pouvez aller sur Terminer le partitionnement et appliquer les changements.
Une confirmation se fait alors.

Debian : Installer le système de base

Puis le système de base s’installe.
Ici les paquets minimums à Debian se mettent en place.

Configuration de l’outil de gestion des paquets

Enfin on arrive à la configuration après l’installation.
Il faut configurer la gestion des paquets et l’utilitaire apt.
Rappelons qu’une présentation de l’utilitaire existe sur le site : Apt Linux : installer et mise à jour de package et distribution

Vous pouvez indiquer si vous désirez utiliser des DVD-Rom.
Si le PC est muni d’internet, sélectionnez non.
En effet, vous pouvez installer les logiciels depuis le net.

On choisir alors l’emplacement géographique.

Enfin on choisit le miroir Debian.
C’est le serveur de dépôt d’où les paquets seront téléchargés.
Vous pouvez laisser celui par défaut.

Puis on indique si la connexion doit s’effectuer à travers un proxy.
Chez vous ce n’est pas le cas.

La configuration de l’outil de gestion des paquets se fait alors.

Puis on peut activer les statistiques sur l’utilisation des paquets.
Par défaut, le choix est sur non.
On peut par la suite modifier la configuration avec la commande : dpkg-reconfigure popularity-contest.

Sélection des logiciels

Enfin on sélectionne les logiciels à installer.
Par exemple l’environnement de bureau à installer, un serveur SSH ou d’impression.

Vous pouvez installer plusieurs environnement de bureau.
Quelques précisions tout de même.

• Gnome et KDE sont pour des ordinateurs récents.
• XFCE et LXDE sont pour des ordinateurs moyens et peu puissants.

Pour des aperçus, se reporter au paragraphe dédié plus bas.

Le téléchargement et l’installation des logiciels démarre.

Installer le programme de démarrage GRUB

La dernière étape se fait par la configuration de GRUB, le chargeur de démarrage Linux.
Il s’agit du chargeur de démarrage qui permet de booter sur Linux.

Sélectionnez oui et cliquez sur Continuer.

Puis sélectionnez le disque principal et Continuer.

Puis la fin de l’installation.

Une fois terminée, Debian est installé et prêt à l’emploi.
Retirez la clé USB d’installation et cliquez sur Continuer pour redémarrer le PC

Premier démarrage de Debian

Lors du démarrage GRUB se lance avec le choix de démarrage.
Dans le cas d’une installation seule, vous ne pouvez choisir que Debian GNU/Linux.

L’OS démarrage et vous arrivez sur la page d’authentification.
On retrouve alors l’utilisateur standard et le mot de passe configuré lors de l’installation.

Un assistant de Bienvenue s’ouvre pour confirmer quelques paramétrages rapides

Le bureau Linux Debian est maintenant accessible.
Votre installation est terminée et le système est prêt à l’emploi.

L’article Installer Linux Debian 12 : le guide complet est apparu en premier sur malekal.com.

Vous ne pouvez pas lire un document Word parce qu’il est rédigé dans une langue étrangère ? Heureusement, il est possible de traduire vos documents (ou le texte sélectionné) sans même quitter l’application Word.

Nous allons examiner quelques-unes des méthodes permettant de traduire vos documents Word dans différentes langues. Certaines de ces méthodes utilisent l’application Word, tandis que d’autres font appel à des services en ligne pour traduire votre document.

Comment traduire un document Word

Avec Microsoft Translator intégré à Office Word

Suivez ces instructions pour traduire un fichier Word avec la fonction de traduction incluse dans le logiciel de bureautique.
Cela va utiliser le service en ligne Microsoft Translator, votre document sera donc envoyé en ligne.
Puis la traduction s’ouvrir sur votre navigateur internet.

• Ouvrez Word
• Cliquez sur le menu fichier > Ouvrir
• Sélectionnez votre fichier Word
• Ensuite allez dans le menu Révision

• Allez dans l’onglet Langue > Traduire > Traduire le document

• Sur la popup d’avertissement, cliquez sur Oui, vous pouvez cocher l’option pour ne plus afficher le message

• Configurez la langue source et la langue de destination
• Cliquez sur OK

• Le fichier traduit s’ouvre au format HTML dans votre navigateur internet

S’il ne passe rien au moment de traduire le texte, essayez ceci :

• Ouvrez le menu Fichier
• Puis Compte tout en bas à gauche

• Dans la partie Confidentialité des comptes, cliques sur Gérer les paramètres

• Descendez dans la partie Expérience utilisateur connectées puis activez sur Expériences utilisateur qui analyse le contenu

Avec Google Translate

Le géant américain de l’internet propose un service de traduction en ligne nommé Google Translate.
Voici comment traduire un PDF avec Google Translate :

• Accédez au service Google Translate : https://translate.google.com/
• Puis cliquez sur l’onglet Documents 1
• En dessous, réglez à gauche la langue source, vous pouvez choisir Détecter la langue si vous ne connaissez pas la langue du document 2
• Puis à droite, la langue de destination 3

• Puis cliquez sur le bouton bleu Traduire

• Une fois le document Word traduit, cliquez sur Télécharger la traduction

• Ensuite téléchargez le fichier DOCX

• Le document Word traduit s’ouvre

Avec DeepL

DeepL est un autre service en ligne très efficace pour traduire de long document.
Voici comment traduire un document Word avec DeepL.

• Accédez au service en ligne DeepL depuis ce lien : https://www.deepl.com/translator/files
• Réglez la langue source et la langue cible
• Puis cliquez sur Sélectionner un fichier
• Parcourez votre disque pour choisir le fichier PDF

• Cliquez sur le bouton Traduire

• Téléchargez le document Word traduit

• Ce dernier s’ouvre avec le texte dans la nouvelle langue

L’article Comment traduire un document Word est apparu en premier sur malekal.com.

Les utilisateurs de PC ont la possibilité d’exécuter diverses fonctions sur leur ordinateur à l’aide de raccourcis clavier. Alt Tab est l’un des raccourcis clavier les plus utilisés. Il permet de passer d’un onglet à l’autre et peut s’avérer très utile dans le cadre d’une utilisation multitâche.

Cependant, de nombreux utilisateurs se sont plaints du fait que la touche Alt Tab ne fonctionne parfois pas dans Windows 11/10 lorsqu’ils jouent à des jeux ou exécutent des programmes importants.

Nous avons constaté que ce problème est principalement dû à des paramètres incorrects ou incohérents qui ont été modifiés manuellement ou créés par une application tierce sur votre ordinateur.

Heureusement, il existe un certain nombre de solutions qui ont aidé les utilisateurs de Windows 11/10 à résoudre le problème de la touche Alt Tab qui ne fonctionne pas, et nous allons les passer en revue dans cet article.

Pourquoi la touche Alt Tab ne fonctionne-t-elle pas dans Windows 11/10

Alt+Tab ne fonctionne pas dans Windows 11/10 peut être causé par plusieurs variables. La résolution et la prévention de ce problème peuvent être facilitées par la connaissance de ces causes potentielles. Voici quelques causes courantes de ce problème sur un ordinateur Windows 11 ou 10 :

• Défaillance matérielle : Si vous avez des problèmes avec les touches Alt-Tab, il est probable que votre clavier soit endommagé par la saleté ou qu’il soit tombé en panne. Pour vérifier si le problème vient vraiment de votre clavier ou non, vous pouvez simplement tester le raccourci Alt-Tab sur un autre clavier connecté à votre ordinateur pour voir s’il fonctionne
• Application tierce : Certaines applications de clavier tierces ont la capacité d’interférer avec la fonctionnalité de votre clavier, et cela pourrait être la raison pour laquelle le raccourci Alt-Tab ne fonctionne pas dans Windows 11
• Problème de pilote : Lorsque vous rencontrez le problème de la touche Alt-Tab qui ne fonctionne pas, vous devez savoir que la plupart des problèmes que vous pouvez rencontrer sur votre ordinateur Windows sont souvent dus à des pilotes obsolètes
• Conflits de paramètres : Ce problème peut potentiellement être causé par des paramètres de clavier conflictuels provoqués par l’effet d’une application tierce ou par une modification récente du système

Comment corriger ALT TAB qui ne fonctionne plus

Essayer d’utiliser un autre clavier

Si certaines touches de votre clavier ne fonctionnent pas, cela peut être à l’origine du dysfonctionnement de la touche Alt Tab sur Windows PC. Vous pouvez exclure cette possibilité en essayant un autre clavier. Cela peut être dû à un certain nombre de choses.

En outre, vous pouvez également essayer d’appuyer sur l’autre touche Alt de votre clavier. Si le problème n’apparaît pas lorsque vous utilisez l’autre clavier, vous devrez soit acheter un nouveau clavier, soit demander à un technicien spécialisé de réparer votre clavier actuel.

Activer la fonction Peek

L’activation de la fonction Peek permet de jeter un coup d’œil aux fenêtres en les survolant simplement dans la barre des tâches. Toutefois, certaines personnes qui n’avaient pas activé cette fonction et qui étaient confrontées au problème de la touche Alt qui ne fonctionnait pas ont affirmé que le problème avait été résolu lorsqu’elles l’avaient activée. Si vous ne l’avez pas activée, vous devriez le faire en suivant les étapes suivantes :

• Appuyez sur Windows + R pour ouvrir la boîte d’exécution
• Tapez sysdm.cpl dans la boîte et appuyez sur Entrée

• Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, passez à l’onglet Paramètres systèmes Avancé et sélectionnez Paramètres sous Performances.
• Cochez la case Activer Peek, sélectionnez Appliquer et cliquez sur OK

Faire un démarrage propre de Windows

Pour éviter tout conflit avec une application, vous pouvez démarrer Windows en mode minimal.
Cela vise à désactiver les applications superflus.

Voici comment faire :

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis saisissez msconfig et OK

• Lorsque l’utilitaire Configuration du système s’ouvre, cliquez sur l’onglet Services
• Ensuite, cochez la case Masquer tous les services Microsoft 1
• Puis, cliquez sur le bouton Désactiver tout 2
• Dans la fenêtre Configuration du système, cliquez sur OK 3

• Ensuite, ouvrez le gestionnaire de tâches  et cliquez sur l’onglet Démarrage
• Dans l’onglet Démarrage, sélectionnez chaque élément et cliquez sur Désactiver

• Fermez le Gestionnaire des tâches
• Enfin redémarrez votre PC prendre en compte les modifications du système

Utiliser l’utilitaire de résolution des problèmes

Pour corriger les défailles de pilotes ou problème matériel, vous pouvez utiliser l’utilitaire de résolution des problèmes du clavier fournit dans Windows 11 et Windows 10.

Suivez ces étapes :

• Sur votre clavier, appuyez sur la touche + R
• Dans la fenêtre exécuter, copiez/collez : msdt.exe -i KeyboardDiagnostic
• Puis cliquez sur OK
• Laissez le dépanneur s’exécuter. Il détectera et réparera les problèmes éventuels

• Si l’utilitaire détecte un problème et le résout, tentez ensuite d’utiliser ALT+TAB pour vérifier si le problème est résolu

Déconnecter les périphériques

Les périphériques que vous connectez à votre ordinateur peuvent également être à l’origine de ce problème. Il est donc recommandé de les déconnecter et de redémarrer votre ordinateur par la suite.
Ne laissez que les périphériques externes essentiels tels que le clavier et la souris.
Après cela, testez le fonctionnement de la touche ALT TAB.

Désinstaller les logiciels récemment ajoutés

Ce problème peut être causé par des logiciels liés au clavier que vous venez d’installer sur votre ordinateur, car ils peuvent modifier les paramètres de votre clavier. Pour résoudre ce problème, désinstallez tous les programmes récemment installés qui ont accès aux paramètres de votre clavier.

Voici comment faire :

• Sur votre clavier, appuyez sur la touche + R
• Dans la fenêtre exécuter, saisissez : appwiz.cpl

• Puis triez la liste sur la colonne installé le
• Les dernières applications installées s’affichent, désinstallez les plus récentes

• Testez si les problèmes de fonctionnent ALT+TAB sont résolus

L’article ALT-TAB ne fonctionne plus : 6 solutions est apparu en premier sur malekal.com.

Dans Windows, le raccourci clavier ALT-TAB vous permet de basculer d’une fenêtre à l’autre.
Pour cela, une fenêtre s’affiche avec la liste des applications en cours d’exécution.
Cette fenêtre est personnalisable, par exemple, vous pouvez appliquer variation d’intensité et transparence.

Dans ce tutoriel, je vous guide pour personnaliser Alt-Tab de Windows 11 ou 10.

Comment personnaliser Alt-Tab dans Windows 11 ou 10

Modifier le niveau de transparence de la bordure de l’interface Alt-Tab

Procédez comme suit si vous souhaitez modifier la transparence de la bordure de l’interface Alt-Tab :

• Tapez sur la touche Windows, tapez regedit.exe et appuyez sur la touche Entrée
• Confirmez l’invite de l’UAC
• Puis, à gauche, déroulez l’arborescence suivante HKEY_CURRENT_USER > SOFTWARE > Microsoft > Windows > CurrentVersion > Explorer

• Puis dans le volet de droite, faites un clic droit Nouveau > Valeur D-Word 32 bits

• Nommez cette clé MultitaskingView
• Cliquez avec le bouton droit de la souris sur MultitaskingView et sélectionnez Nouveau > Clé
• Nommez cette clé AltTabViewHost

• Cliquez avec le bouton droit de la souris sur AltTabViewHost et sélectionnez Nouveau > Valeur Dword (32 bits)
• Nommez cette valeur Grid_backgroundPercent
• Double-cliquez dessus et à droite cliques sur Décimale
• Définissez la valeur en pourcentage : 0 signifie 100 % de transparence et 100 % sans transparence

Masquer les fenêtres des applications ouvertes dans Alt-Tab

• Suivez les instructions ci-dessus pour ouvrir l’éditeur du registre.
• Accédez à la clé de registre :

HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\MultitaskingView\AltTabViewHost

• Cliquez avec le bouton droit de la souris sur AltTabViewHost et sélectionnez Nouveau > Valeur Dword (32 bits)
• Nommez la valeur Wallpaper
• Définissez la valeur sur 0 pour afficher les fenêtres derrière Alt-Tab
• Définissez la valeur sur 1 pour masquer les fenêtres derrière Alt-Tab

Diminuer l’arrière-plan du Alt-Tab

Procédez comme suit pour atténuer l’arrière-plan du bureau lorsque vous utilisez Alt-Tab.

• Consultez les instructions ci-dessus pour ouvrir l’éditeur du registre
• Accédez à la clé :

HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\MultitaskingView\AltTabViewHost

• Cliquez avec le bouton droit de la souris sur AltTabViewHost et sélectionnez Nouveau > Valeur Dword (32 bits)
• Nommez-la BackgroundDimmingLayer_percent
• Double-cliquez dessus et à droite cliques sur Décimale
• Définissez la valeur en pourcentage, 100 % correspondant à une gradation complète

Enfin fermez et relancez la session utilisateur ou redémarrer l’explorateur Windows pour prendre en compte les modifications.
Testez si les modifications de l’apparance du ALT-TAB sont pris en compte.

Utiliser Winaero Tweaker pour personnaliser le ALT-TAB de Windows

WinAero Tweaker est un logiciel pour personnaliser Windows.
Vous pouvez modifier des paramètres cachés de Windows dont le son à l’ouverture de Windows.

• Téléchargez et installez WinAero Tweaker :

• Puis à gauche accédez à Appearance puis ALT+Tab Appareance
• A droite, réglez le curseur de Alt+Tab background transparency pour choisir la transparence du fond
• En dessous, le curseur de Dim Desktop pour configurer la variation d’intensité du fond et du contours de la fenêtre ALT-TAB
• Enfin en dessous, il est possible d’activer l’affichage classique du ALT-TAB

Utiliser AltPlusTab pour personnaliser le ALT-TAB de Windows

AltPlusTab est une application proposé par WindowsClub qui permet de personnaliser le ALT-TAB de Windows en quelques clics.
Vous pouvez appliquer variation d’intensité et transparence.

Utiliser Alt-Tab Terminator pour remplacer le ALT-TAB de Windows

Alt-Tab Terminator utilise une autre approche car il remplace tout simplement le ALT TAB de Windows par une boîte qui affiche une liste de toutes les tâches en cours, avec leurs noms et leurs aperçus, et permet à l’utilisateur de rechercher dans la liste et de naviguer à l’aide de la souris et du clavier.

L’article Comment personnaliser Alt-Tab de Windows est apparu en premier sur malekal.com.

Si vous avez du mal à comprendre pourquoi un fichier refuse d’être supprimé ou empêche d’éjecter une périphérique amovible, l’utilitaire gratuit Locksmith inclut dans la suite de PowerToys pourrait être l’utilitaire qu’il vous faut.
Ce nouvel ajout à la suite PowerToys peut vous aider à comprendre le comportement inhabituel d’un fichier en quelques clics.
Il détermine le processus qui utilise, ouvre et verrouille un fichier.

Dans ce tutoriel, je vous guide pour utiliser Fichier Locksmith de PowerToys et comment trouver ce qui utilise et verrouille un fichier dans Windows.

Qu’est-ce que Fichier Locksmith ?

Fichier Locksmith est un ajout relativement nouveau à la suite d’outils PowerToys. Il s’agit d’une extension du shell Windows utilisée pour vérifier les fichiers utilisés à un moment donné. Il vous permet également de vérifier quels processus du système utilisent ces fichiers.

Si vous n’avez pas encore essayé PowerToys et les utilitaires qu’il propose, vous pouvez le télécharger à partir du Microsoft Store. Fichier Locksmith n’a été ajouté à l’application que lors d’une mise à jour fin 2022. Si vous ne le voyez pas dans votre version actuelle de PowerToys, cliquez sur l’onglet Général et sélectionnez Vérifier les mises à jour.

S’il s’agit de votre premier compteur avec PowerToys, consultez la rubrique Comment en faire plus avec Windows à l’aide de PowerToys pour obtenir des conseils de débutant.

Comment trouver ce qui utilise un fichier avec Fichier Locksmith de PowerToys

Vous pouvez vérifier un seul fichier ou analyser tous les fichiers d’un dossier.
Si un dossier comporte des sous-répertoires, ceux-ci seront également examinés.

Fichier Locksmith devrait être activé par défaut après avoir été installé PowerToys dans Windows. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez l’activer en ouvrant l’application PowerToys, en sélectionnant l’onglet Fichier Locksmith et en cliquant sur le bouton On.

• Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier + E. Plus de méthodes dans ce tutoriel : Comment ouvrir l’explorateur de fichiers sur Windows
• Cliquez avec le bouton droit sur le fichier/dossier et sélectionnez Afficher plus d’options > Qu’est-ce qui utilise ce fichier ?

• Fichier Locksmith ouvre une fenêtre et commence à analyser le fichier. Tous les processus en cours d’utilisation seront affichés dans la fenêtre
• Arrêtez les processus directement à partir de la fenêtre Fichier Locksmith en cliquant sur le bouton Terminer le processus

• Vous pouvez cliquer sur la flèche pour développer chaque processus listé afin de voir l’ID du processus, l’utilisateur et le chemin d’accès au fichier individuel utilisé
• Pour actualiser la liste des processus dans File Locksmith, cliquez sur le bouton Recharger en haut à droite de la fenêtre ouverte
• Pour voir les processus exécutés par un autre utilisateur, vous devez ouvrir File Locksmith en tant qu’administrateur. Si vous exécutez déjà PowerToys en tant qu’administrateur, cliquez sur le bouton Redémarrer en tant qu’administrateur en haut à droite de la fenêtre File Locksmith

• Comment supprimer un fichier insupprimable, verrouillés ou protégés
• 5 logiciels pour supprimer un fichier ou dossier récalcitrant
• Supprimer un fichier ou dossier en ligne de commandes
• Suppression dossier ou fichier impossible : accès refusé
• Comment retirer les autorisations Trustedinstaller
• Accès refusé pour supprimer sur un dossier ou fichier : La méthode PowerRun
• Fichier Locksmith : trouver ce qui utilise un fichier
• Unlocker : Supprimer fichiers verrouillés, récalcitrants
• UnLock IT : supprimer un dossier vide, introuvable ou accès refusé
• IObit Unlocker : supprimer fichier récalcitrant, verrouillé, protégé
• ThisIsMyFile : déverrouiller, supprimer des fichiers verrouillés ou protégés
• Résoudre le lecteur où Windows est installé est verrouillé sur Windows 10

L’article Fichier Locksmith : trouver ce qui utilise un fichier est apparu en premier sur malekal.com.

Windows 11 est un système d’exploitation multitâches avec notamment la possibilité d’ouvrir plusieurs applications à la fois.
Lorsque l’on travaille avec son ordinateur, il est courant de basculer d’une fenêtre à l’autre pour effectuer les opérations nécessaires sur chacune des application.
Savoir passer d’une fenêtre à l’autre est donc important pour utiliser au mieux son ordinateur.

Dans ce tutoriel, je vous apprends toutes les méthodes pour basculer entre les fenêtres des applications actives dans Windows 11.

Comment basculer entre les fenêtres sur Windows 11 depuis la barre des tâches

Depuis la barre des tâches

La barre des tâches de Windows permet d’épingler les icônes de vos applications pour les ouvrir.
Elle affiche aussi l’icône d’une application en cours d’exécution.
En cliquant sur celle-ci, vous pouvez basculer sur la fenêtre d’une application active.

Alors, comment différencier l’icône d’une application épinglée, d’une application en cours d’exécution ?
C’est simple, l’application active a un trait sous son icône.

Depuis l’afficheur de tâches

L’afficheur des tâches est une fenêtre en plein écran qui affiche les applications ouvertes.
Vous pouvez aussi l’utiliser pour basculer d’une fenêtre à l’autre.

Pour ouvrir l’afficheur des tâches, cliquez sur l’icône des bureaux virtuels.
Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + TAB.

Les applications en cours d’exécution s’affichent, cliquez simplement dessus pour basculer dessous.

Comment basculer entre les fenêtres sur Windows 10 avec les raccourcis clavier

Liste des raccourcis claviers

Pour gagner en productivité, il est possible de passer d’une application à l’autre à l’aide des raccourcis clavier.
Voici la liste avec les explications.

Raccourcis clavier	Description
ALT+Tab	Ouvre le commutateur de tâches avec les vignettes de toutes les applications en cours d’exécution.
MAJ+ALT+TAB	Passer en sélection arrière dans le commutateur de tâches (droite vers la gauche).
CTRL+ALT+TAB	Ouvrir le commutateur de tâche en mode épinglé, c’est-à-dire qu’il va resté afficher à l’écran
+TAB	Ouvre l’afficheur de tâche de Windows
+Num	Ouvrir ou basculer aux applications épinglées par leurs numéros

ALT + TAB

Le raccourci clavier ALT+TAB est certainement la méthode de bascule des fenêtres de Windows la plus connu.

Lorsque vous appuyez une fois dessus, la liste des applications ouvertes s’affichent en ligne.
Maintenez, la touche ALT enfoncée et appuyez sur la touche TAB pour déplacer le focus d’une fenêtre à l’autre.
Choisissez l’application à ouvre à en positionnant le focus dessus et en lâchant la touche ALT.

Windows + Num

Si vous avez des applications préférées que vous avez épinglé sur la barre des tâches, vous pouvez appuyer sur WIN + NUM pour ouvrir ou basculer aux applications épinglées. Si l’application est déjà ouverte, elle devient alors active.

Comment basculer entre les fenêtres sur Windows 11 avec le gestionnaire de tâches

Vous ne le savez peut être pas, mais le gestionnaire de tâches de Windows permet aussi de basculer vers une application ouverte.
Moins courant, mais parfois utile, voici comment faire :

• Ouvrez le gestionnaire de tâches par un clic droit sur le menu Démarrer ou utilisez le raccourci clavier + X
• puis Gestionnaire des tâches. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier CTRL+MAJ+ESC

• Dans la liste des applications, développez le processus de l’application
• Puis faites un clic droit dessus et Basculer vers

• L’application s’ouvre alors en avant plan

L’article Windows 11 : basculer entre les fenêtres est apparu en premier sur malekal.com.

La distribution Linux Debian plutôt destinée à des utilisateurs confirmés peut s’installer à côté de Windows 10/11.
Le fait d’installer plusieurs système d’exploitation sur un même PC se nomme Dual-Boot.
Il est alors tout à fait possible d’installer Linux Debian à côté de Windows 10/11 sur votre PC.

Ce tutoriel vous guide pas à pas pour installer Debian 12 en dual-boot avec Windows 10/11.

Comment Installer Debian 12 en dual-boot avec Windows 10/11

Préparer la partition de disque pour installer Debian

Tout d’abord, on prépare le disque afin d’installer Debian dessus.
Dans cet exemple, nous n’avons qu’un seul disque avec Windows 10/11 installé.
Il est alors possible de réduire la partition Système de Windows 10/11 pour créer ensuite la partition de disque à destination de Debian.

Bien entendu, cela est à adapter selon votre configuration de stockage.
Réfléchissez bien avant de toucher aux partitions de disque.

• Faites un clic droit sur le menu Démarrer
• Puis cliquez sur Gestion du disque. Plus de détails : La gestion du disque de Windows

• Nous avons donc notre disque 1 avec la partition système EFI, la partition système C et enfin la partition de récupération. Nous allons réduire la taille de la partition C afin de créer 15G d’espace libre

• Faites un clic droit sur la partition C puis réduire le volume

• Dans quantité d’espace à réduire, saisissez 15 Go. Si vous avez un disque plus important, vous pouvez donner plus de place à la partition de disque Debian.

• Validez par entrée et la gestion de disque de Windows 10/11 fait le reste pour créer l’espace non alloué.

Pour les cas plus complexe, suivez cet article complet :

Créer la clé USB d’installation de Debian

Télécharger les ISO de Debian

Il existe plusieurs méthodes pour créer la clé USB d’installation de Debian.

• avec UNetbootin : l’outil télécharge l’ISO et créer la clé USB
• Depuis le site : vous téléchargez l’ISO et vous créez la clé USB avec l’outil de votre choix. Vous pouvez alors télécharger en HTTP ou BiTTorent.

Debian fournit deux types d’ISO :

• NetInstall : C’est l’installation par internet. Il s’agit d’un fichier ISO léger de 330 Mo. Ce dernier permet d’amorcer l’installation et l’installation de logiciels se fera par internet. L’ISO est de la forme debian-11.0.0-amd64-netinst.iso.
• Image complète : Ce dernier contient tous les logiciels disponibles dans la distrib. A utiliser si votre PC n’a pas de connexion internet.

Le site met à disposition les fichiers ISO et images Debian pour créer la clé USB avec votre logiciel de création de clé USB bootable préféré.

Créer une clé USB d’installation Debian avec Unetbootin

Mais pour les débutants, vous pouvez utiliser Unetbootin qui se charge de télécharger l’ISO automatiquement pour ensuite créer la clé USB d’installation.

• Télécharger UNetbootin
• En haut dans distribution, sélectionnez Debian

• Ensuite la version de Debian, en général il faut choisir stable_netinstall_x64

• Enfin en bas, sélectionnez le lecteur USB puis cliquez sur OK.
• La création de la clé USB bootable s’effectue.

Comme alternative, vous avez aussi l’outil Universal USB Installer.
Plus d’outils sur la page :

Notamment vous pouvez utiliser Rufus qui est très simple car il vous permet de choisir entre un BIOS UEFI ou MBR.

Démarrer le PC sur la clé USB d’installation de Debian

Une fois la clé USB Debian prête, il faut amorcer votre PC dessus.
On parle alors de booter sur la clé USB d’installation de Debian

Pour ce faire, suivez l’article :

• On arrive alors sur le menu de démarrage Debian
• Choisissez Graphical Install

Toutes les étapes de l’installation de Debian sont décrites dans cet article.
La seule différence se fait au niveau du partitionnement de disque.
En effet, il faut indiquer sur quelle partition de disque installer Debian.

Voici dans les grandes lignes les étapes à suivre :

1. Paramètres de langues, clavier et réseau
2. Créer les comptes utilisateurs
3. Détection et partitionnement de disque
4. Installer le système de base
5. choisir et installer les logiciels additifs
6. Installer le programme de démarrage GRUB
7. Terminer l’installation

Partitionner son disque pour installer Debian en Dual-boot

C’est au moment du partitionnement de disques, qu’il faut faire attention et prendre son temps.

• Vous arrivez sur la page suivante où il faut choisir “Utiliser le plus grand espace disponible“.

• Puis on vous propose de séparer le /home (dossier utilisateur) de la partition système (le /). L’avantage de cela est que si vous devez réinstaller Debian, vous ne perdez pas vos données

• L’installeur Debian vous propose un partitionnement. Ici il a utilisé l’espace libre créé précédemment pour y placer les partitions de disque pour notre Dual-Boot :
  • La partition racine / en ext4
  • Puis la partition swap
  • La partition home
• C’est exactement ce que l’on souhaite, donc on clic sur Continuer
• Ensuite on confirme les modifications de disque en cliquant sur oui puis Continuer.

• L’installation du système de base s’effectue, laissez faire et patienter

Configuration APT et installation des logiciels

Puis on retombe sur l’utilisation classique de Debian.
Il s’agit ici de configurer APT puis installer les logiciels souhaités.

• Choisissez la source du miroir de l’archive Debian et cliquez sur Continuer

• Laissez vous guider dans la configuration de l’outil de gestion des paquets
• Puis vous devez indiquer si vous souhaitez participer à l’étude statistique sur l’utilisation des logiciels Debian

• Enfin vous devez choisir les logiciels à installer. Par défaut, l’environnement de bureau Debian est proposée mais vous pouvez en ajouter un autre ou remplacer selon vos goûts

• Enfin l’installation des logiciels s’effectue, là aussi, il faut patienter

Installer le chargeur de démarrage GRUB en dual-boot

On arrive à la dernière étape de l’installation du Dual-Boot Debian, Windows 10 : l’installation du chargeur de démarrage GRUB.

• L’installeur Debian détecte un autre système d’exploitation, ici il indique Windows Vista alors qu’il s’agit de Windows 11/10

• Puis il faut choisir le disque où installer le programme de démarrage GRUB. Ici je n’ai qu’un disque donc le choix est facile. Pour rappel :
  • /dev/sda = Premier disque
  • /dev/sdb = Second disque

L’article vous explique la nomenclature des disques et partitions de disque sur Linux : Les partitions de disque sur Linux

• Puis l’installation de GRUB s’effectue

A partir de là l’installation de notre dual-boot Debian et Windows 10 est terminé.
Linux Debian est installé sur votre PC et GRUB est le chargeur de démarrage.

Premier démarrage sur le Dual-Boot Debian / Windows 10/11

Lorsque vous démarrez votre PC, vous tombe sur ce menu GNU GRUB avec :

• Debian GN/Linux pour démarrer le PC sur Debian
• Les options avancées de Debian avec le choix du noyau Linux et le mode recovery (options de récupération)
• le menu Windows 10 pour démarrer le PC sur Windows 10/11

Ainsi le Dual-Boot est fonctionnel puisque l’on peut booter sur un des deux OS.
Debian et Windows sont bien installés l’un à côté de l’autre sur un même PC.

Lorsque l’on démarre sur le PC sur Debian, on peut ensuite accéder aux dossiers de la partition système C de Windows 10.

L’article Installer Debian 12 (Bookwom) en dual-boot avec Windows 10/11 : le guide complet est apparu en premier sur malekal.com.

Parmi les problèmes et erreurs récurrentes lorsque vous jouer à Diablo 4, on trouve trois erreurs lors de la connexion aux serveurs :

Délai de votre demande écoule. Veuillez réessayer. Code 300008

ou :

Un problème est survenu lors de la recherche de serveur disponibles pour cette latence. Code 396022

Ou encore :

Une erreur s’est produite. Code 397500 ou 316719

Cela indique que les serveurs de Battlenet n’ont pas répondu dans le délai imparti (Timeout).
Voici plusieurs solutions pour résoudre ce problème sur Diablo IV.

Quelles sont les sources du code erreur 300008, 396022, 316719 ou 397500 sur Diablo IV

Les probables raisons de l’impossibilité de se connecter aux serveurs de Diablo IV sont les suivantes :

• Les serveurs de Diablo IV rencontre un problème technique temporaire
• Votre pare-feu est mal configuré et bloque l’accès aux serveurs
• Un problème de connectivité comme un problème Wi-Fi ou une lenteur de votre connexion internet
• Le jeu Diablo 4 est corrompu

Comment corriger le code erreur 300008, 396022 ou 397500 sur Diablo 4

Vérifier le statut des serveurs de Diablo IV

En général, le problème est du côté de Battlenet où les serveurs Diablo 4 sont inaccessibles.

Consultez le compte Twitter officiel @Blizzard CS EU FR. Il peut indiquer si une opération de maintenance est en cours ou si un problème perturbe la connexion.

Vérifiez aussi sur Twitter le tag #DiabloIV et les tweets récents.
Lorsque les serveurs de Diablo sont HS, des tweets de plaintes d’internautes sont envoyés.

Le programme Battle.net peut aussi vous signaler si Blizzard rencontre un problème technique lorsqu’il est pris en compte par les équipes techniques.
Dans ce cas, un message du type : “Nous étudions les signalements de problèmes de connexion affectant Diablo IV et nous nous efforçons de les résoudre dès que possible“ peut s’afficher.

Si un incident est en cours, la seule solution est de patienter.

Désactiver le pare-feu Windows Defender

Si le pare-feu de Windows Defender est mal configuré et n’autorise pas votre jeu Diablo IV à accéder à internet, cela peut être la source des erreurs.
Vous pouvez essayer en désactivant le pare-feu Windows.
Pour cela :

• Appuyez sur le raccourci clavier   + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
• Puis copiez/collez la commande suivante pour désactiver le firewall Windows :

Set-NetFirewallProfile -Profile Domain,Public,Private -Enabled False

Pour le réactiver, utilisez la commande suivante :

Set-NetFirewallProfile -Profile Domain,Public,Private -Enabled True

• Tentez de relancer une partie Diablo 4 et vérifiez si le code erreur est corrigé. Si c’est le cas, assurez vous que l’application Diablo 4 est bien autorisé dans le pare-feu Windows Defender : Autoriser/Bloquer une application pare-feu Windows Defender

Faites un test de débit internet

Votre connexion internet peut rencontrer un problème technique et le débit est trop bas pour permettre la connexion aux serveurs de Diablo IV.
En cas de doute, vous pouvez faire un test de débit.

• Ouvrez le site SpeedTest
• Puis lancez un test de débit et vérifiez que la vitesse est bien confirme au débit annoncé par votre opérateur
• Eventuellement, lancez un téléchargement d’un fichier pour vérifier qu’il n’y a pas de coupure de connexion internet

Si vous rencontrez des problèmes :

• Contactez le support de votre fournisseur d’accès internet pour vous faire un diagnostique de votre connexion internet
• Testez avec un autre mode de connexion, si vous êtes en Wi-Fi, testez en filaire Ethernet. Si cela fonctionne, tentez une mise à jour des pilotes Wi-Fi

Réparer ou réinstaller Diablo 4

Enfin dans le cas où votre jeu Diablo 4 est endommagé, cela peut empêcher la connexion aux serveurs.
Tentez de réparer ce dernier :

• Ouvrez Battle.net
• Faites un clic sur l’icône roue cranté à droite du bouton bleu Jouer
• Dans le menu déroulant, cliquez sur Vérifier et réparer

• Laissez vous guider pour réparer Diablo IV

L’article Diablo 4 : code erreur 300008, 396022, 316719 ou 397500 est apparu en premier sur malekal.com.

WindowTop est une application gratuite avec des limitations pour apporter des améliorations à la gestion des fenêtres de Windows.
Avec cet utilitaire facile à utiliser, vous pouvez ajouter les fonctionnalités suivantes :

• Epingler une fenêtre pour la garder au premier plan
• Apporter de la transparence ou opacité aux fenêtres des applications
• Ajouter une fonction Picture in Picture (PiP) aux vidéos jouées sur votre navigateur WEB, lecteur vidéo ou autres
• Ajouter le mode sombre (dark mode) aux applications qui ne gèrent pas par défaut
• Ancrer les applications ouvertes pour du glisser/déposer rapides

Dans ce tutoriel, je vous montre comment utiliser WindowTop.

Comment installer WindowTop

Trois méthodes différentes sont disponibles pour télécharger et installer WindowTop :

• Par le setup ou en mode portable :

• Depuis Microsoft Store via ce lien :

• Enfin, vous pouvez aussi l’installer via winget en utilisant la commande suivante :

winget install --id=gileli121.windowtop  -e

Comment épingler une fenêtre au premier plan avec WindowTop

La première fonction pratique de WindowTop est de pouvoir placer une fenêtre en avant plan.
Celle-ci va alors s’afficher par devant les autres et rester donc en permanence visible.
Voici comment épingler une fenêtre en avant plan :

• Passez la souris sur la barre de titre
• Une flèche verte s’affiche, allez dessus pour ouvrir la barre d’outils
• Cliquez sur l’icône devant

• L’application est épingle pour rester devant toutes les autres fenêtres. Cela est signifiée par un halo rouge

• Pour aller plus vite, vous pouvez épingler et désépingler une application par le raccourci clavier ALT+Z

Comment ajouter de la transparence et opacité aux fenêtres des applications

Vous pouvez très facilement modifier l’opacité des fenêtres pour ajouter un effet de transparence.
Voici comment faire :

• Ouvrez la barre d’icônes de WindowTop
• Puis cliquez sur Opacité

• Automatiquement, l’opacité de la fenêtre est réduite et devient transparente

• Le raccourci clavier pour ajouter ou retirer l’opacité est ALT+A
• Lorsque vous laissez la souris sur l’icône Opacité, vous pouvez définir le niveau en pourcentage

Comment ajouter le mode sombre à une application

Vous utilisez le mode sombre de Windows 10 ou le mode sombre de Windows 11 mais malheureusement, certaines applications ne gère pas ce mode.
Pas de panique, grâce à WindowTop vous pouvez passer n’importe quelle fenêtre en mode sombre.

• Ouvrez les paramètres de l’utilitaire via un clic droit sur l’icône dans la zone de notification et paramètres
• A gauche, cliquez sur le menu barre d’outils
• Puis dans Boutons, activez Régler l’obscurité

• Depuis la barre d’outils, cliquez sur Foncé

• La fenêtre de l’application passe automatiquement en mode sombre

Il n’existe pas, par défaut de raccourci clavier pour activer/désactiver le mode sombre mais vous pouvez en configurer un dans les paramètres de raccourcis clavier.

Comment ancrer ou rétrécir une fenêtre d’application

WindowTop va ancrer automatiquement les fenêtres des applications actives.
Cela se traduit par une icône de l’application qui s’affiche en permanence.
Dans les paramètres, vous pouvez définir l’emplacement, qui par défaut sur le côté droit.

En passant la souris dessous, un aperçu de la fenêtre de l’application s’affiche.
Cette ancrage vous permet de basculer sur une fenêtre par simple clic.
Elle gère aussi le glisser/déposer. Par exemple, vous pouvez glisser/déposer une image ou d’un texte dans une application qui gère ce format de fichiers.

En outre, l’utilitaire possède une fonction rétrécir qui permet de réduire une fenêtre d’application.
Voici comment l’utiliser :

• Depuis la barre d’outils, cliquez sur Rétrécir ou utiliser le raccourci clavier ALT+Q

• La fenêtre de l’application se réduit alors. Celle-ci est interactive, ce qui vous permet de scroller dans la fenêtre
• Enfin un clic droit permet d’interagir via un menu contextuel

Comment utiliser la fonction Picture in Picture (PiP)

Enfin WindowTop intègre une fonctionnalité de Picture in Picture (PiP).
Cela se traduit par le fait que la vidéo continue d’être joué lorsque vous réduisez une fenêtre.
Ainsi vous pouvez continuer de regarder une vidéo tout en travaillant.

Voici comment faire :

• Ouvrez la vidéo en streaming depuis votre navigateur internet ou votre lecteur vidéo
• Lancez la vidéo
• Puis réduisez la fenêtre comme expliqué dans le paragraphe précédent

• Redimensionnez la fenêtre réduite en plaçant le curseur de la souris sur le côté

• La vidéo continue d’être joué sur la fenêtre réduite en mode PiP

L’article WindowTop : épingler une fenêtre au premier plan, transparence, opacité et PiP est apparu en premier sur malekal.com.

Vous connaissez probablement le raccourci clavier ALT+TAB dans Windows pour basculer d’une fenêtre d’application à l’autre.
Alt-Tab Terminator est une alternative au commutateur de basculement de fenêtre de Windows.
Il permet le basculement entre les applications et apporte plus de fonctionnalités que le commutateur de tâches de Windows 10 ou Windows 11.
Il affiche les aperçus de fenêtre avec des fonctionnalités de gestion des tâches pour contrôler les applications en cours d’exécution, ce qui en fait une alternative parfaite.

Dans ce tutoriel, je vous présente Alt-Tab Terminator, comment l’installer et l’utiliser.

Alt-Tab Terminator : Alternative le ALT-TAB de Windows

Comment télécharger et installer Alt-Tab Terminator

• Téléchargez Alt-Tab Terminator depuis ce lien :

• Puis exécutez l’installeur (setup), laissez vous guider pour terminer l’installation

• Une icône s’ajoute sur le bureau de Windows pour exécuter ce dernier

Par défaut, Alt-Tab Terminator remplace les raccourcis clavier ALT+TAB et Win+TAB.
Vous pouvez donc utiliser ces derniers pour basculer d’une fenêtre à l’autre avec l’utilitaire.

Comment utiliser Alt-Tab Terminator

L’interface de Alt-Tab Terminator est très simple.
Il liste donc les applications et fenêtres ouvertes.
Chaque fenêtre active se trouve dans la liste de gauche avec le titre et l’icône de l’application : passer la souris dessus pour prévisualiser la fenêtre ou cliquez dessus pour basculer sur la fenêtre.
Un moteur de recherche est aussi fourni pour trouver une fenêtre à partir de son titre. Cela est utile lorsque vous ouvrez énormément d’application.

L’utilitaire peut aussi interagir avec les fenêtres.
Pour cela, faites un clic droit sur la fenêtre, on trouve alors les actions habituelles avec un raccourci clavier :

• Fermer F4 : Ferme l’application qui ne sera plus active dans le système
• Réduire F5 : Réduire la fenêtre de l’application qui ne sera plus visible à l’écran
• Maximiser / agrandir F6 : Agrandit la fenêtre à la taille maximale de l’écran
• Restaurer F7 : Restaure la disposition de la fenêtre dans l’état précédent
• Terminer F8 : Terminer le processus de la fenêtre active. L’application ne sera pas fermé proprement
• Exécuter F9 : Ouvre une nouvelle instance de l’application

Enfin utiliser le bouton croix donne la possibilité de fermer l’application.

Personnaliser le raccourci clavier ALT-TAB

• En cliquant sur l’icône
  
  en haut à gauche, vous pouvez accéder à quelques paramètres.
• Vous pouvez définir la taille de la fenêtre de ALT-Terminator mais aussi activer/désactiver le remplacement des raccourcis clavier ALT+TAB et WIN+TAB.

• Vous pouvez activer les raccourcis clavier pour prendre des actions à l’intérieur du terminateur ALT+TAB. Veuillez cliquer sur l’icône de la barre et choisissez Paramètres.
• Dans la nouvelle fenêtre, définissez les raccourcis requis sous l’option

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PowerToys est un ensemble d’utilitaires gratuits de Microsoft qui ajoute beaucoup de nouvelles fonctionnalités à Windows 11/10.
Cela en modifiant le comportement de Windows 11 et Windows 10 grâce à de nouvelles fonctions.
Le but étant de gagner en productivité.

Ce tutoriel vous présente PowerToys : Comment l’installer et comment l’utiliser et enfin comment utiliser les outils proposés.

Qu’est-ce que PowerToys : présentation générale

PowerToys est donc un ensemble d’outil qui permet d’étendre les fonctionnalités de Windows.
Microsoft développe ce dernier en open source et ajoute de nouveaux modules régulièrement.

L’interface se présente avec un menu de gauche avec les outils.
A chaque fois, le bouton Paramètres permet de modifier les réglages de ces derniers.

Voici les outils actuels proposés par PowerToys.

• Toujours visible : pour placer une fenêtre toujours au premier plan
• Awake pour maintenir votre PC toujours éveillé
• Color Picker : outil de sélection de couleurs afin de récupérer les couleurs d’une application
• FancyZones est un gestionnaire de fenêtres qui facilite la création de dispositions de fenêtres complexes et le positionnement rapide de fenêtres dans ces dispositions
• Fichier Locksmith : Extension d’interpréteur de commandes Windows permettant de savoir quels processus utilisent les fichiers et répertoires (verrouillage de fichiers)
• Extensions de l’explorateur de fichiers améliorer les fonctions au clic droit de l’explorateur de fichiers de Windows et aperçus
• Editeurs du fichiers HOSTS : permet d’éditer le fichier HOSTS de Windows
• Image Resizer est une extension Windows Shell pour redimensionner rapidement les images. Avec un simple clic droit dans l’Explorateur de fichiers, redimensionnez une ou plusieurs images instantanément
• Keyboard Manager vous permet de personnaliser le clavier pour être plus productif en remappant les touches et en créant vos propres raccourcis clavier. Ce PowerToy nécessite Windows 10 1903 (build 18362) ou version ultérieure
• Utilitaires de souris : apporte des améliorations dans la souris de Windows comme le surlignage de souris, saut de souris, réticules de souris
• Coller en tant que texte brut : Copier/coller sans mise en forme avec du texte brut
• Aperçus : améliorer les aperçus des fichiers
• PowerRename s’ajoute au menu contextuel pour faire du recherche / remplacer de manière avancé
• PowerToys Run vous aide à rechercher et à lancer votre application instantanément avec un espace alt simple et à commencer à taper
• Accents rapides : taper des caractères accentués facilement
• Aperçus du registre : un petite utilitaire pour visualiser et éditer les fichiers du registre Windows (fichier REG)
• Règle d’écran : afficher la taille en pixel
• Shortcut guide s’affiche lorsqu’un utilisateur maintient la touche Windows enfoncée pendant plus d’une seconde et affiche les raccourcis disponibles pour l’état actuel du bureau
• Extracteur de texte : Un moyen rapide de copier du texte n’importe où sur l’écran
• Désactiver le son de la visioconférence pour couper le son de son microphone ou de sa webcam

Comment installer PowerToys

Vous pouvez le télécharger et l’installer depuis ce lien :

• Puis téléchargez PowerToysUserSetup-<version>-x64

• Laissez vous guider, cela va installer Microsoft Windows Desktop Runtime s’il n’est pas présent dans le système

Sachez aussi que PowerToys est aussi disponible dans Winget.
Voici la commande pour l’installer :

WinGet install powertoys

Enfin on le trouve aussi dans chocolatey :

choco install powertoys

Comment utiliser PowerToys pour ajouter des fonctionnalités à Windows 11 et Windows 10

Premier démarrage

Une fois installé, le programme est actif et lance au démarrage de Windows.
La pluspart des fonctionnalités s’active via des raccourcis clavier.
Il faut aller regarder dans les paramètres, quelles sont les raccourcis clavier pour chaque fonctionnalité.

PowerToys ajoute aussi une icône s’ajoute dans la zone de notification.
En double cliquant dessus, vous accédez à la liste des fonctionnalités avec les explications, les paramètres et raccourcis clavier.

Par exemple, ci-dessous, le copier/coller de texte brut se fait via le raccourci clavier +ALT+V.

Enfin un simple clic sur l’icône du systray donne accès à des icônes raccourcis.

Voici un descriptif de quelques une des meilleurs améliorations apportées par l’utilitaire.

Toujours visible

PowerToys vous permet de rendre une application toujours visible, au premier plan.

• Passez le focus sur l’application et utilisez le raccourci clavier +CTRL+C
• L’application reste alors visible en permanence, elle est marquée par un cadre bleu plus foncée

• Utilisez à nouveau le raccourci clavier pour retirer le mode toujours visible

Color Picker

Color Picker est un outil de sélection de couleurs à l’échelle du système.
Il vous permet de sélectionner les couleurs d’une applications pour les copier automatiquement dans le presse papier de Windows 10.

• Cliquez sur Lancer color Picker ou utilisez la combinaison +MAJ+C
• Puis cliquez sur l’emplacement où vous souhaitez récupérer la couleur

• Vous récurez alors la couleur avec les codes hexadécimaux, RGB ou HSL

FancyZones

FancyZones vous permet de changer la disposition des fenêtres pour gagner en productivité.
Ce module de PowerToys vous donne la possibilité d’agencer les fenêtres de vos applications très facilement.

On utilise la touche Windows + Maj +% pour l’activer.
Vous choisissez alors la disposition de fenêtre à appliquer.
On peut en créer et en personnaliser.

Puis on l’applique avec touche Windows + Flèche de gauche ou droite.

Dans les paramètres vous pouvez modifier la combinaison de touches ains ique le comportement des zones.

Shortcut Guide

L’utilitaire Shortcut Guide de PowerToys permet d’accéder plus facilement à certaines fonctionnalités de Windows 10.
Vous laissez appuyer sur la touche Windows et le menu suivant apparaît.
Cela liste certaines touches raccourcis de Windows 10.

Utilisea la combinaison de touche Win + ? pour ouvrir shortcurt Guide.
Vous obtenez alors la liste des touches raccourci.

Les paramètres de Shortcut Guide sont assez limités mais vous ouvez régler l’opacité de la page précédente.

Pour rappel Windows 10 possède beaucoup de raccourcis clavier.

PowerRename

PowerRename de PowerToys est une extension Windows Shell pour le renommage en bloc avancé utilisant la recherche et le remplacement ou les expressions régulières.
On y accède donc par le menu contextuel du clic droit.
Plus d’informations dans ce guide complet :

Extensions de l’explorateur de fichiers

Les modules complémentaires de l’explorateur de fichiers sont actuellement limités aux ajouts du volet de visualisation pour l’Explorateur de fichiers. Le volet de visualisation est une fonctionnalité existante de l’explorateur de fichiers. Pour l’activer, il vous suffit de cliquer sur l’onglet Affichage dans le ruban, puis de cliquer sur “Volet d’aperçu”.

PowerToys permettra désormais de prévisualiser deux types de fichiers: Markdown (.md) et SVG (.svg)

Pour en bénéficier, il faut ouvrir une session en administrateur intégré, pour l’activer :

Image Resizer

Image Resizer de PowerToys est une extension du Shell de Windows qui ajoute la possibilité de redimensionner des images à la volée.

• Sélectionnez vos images puis faites un clic droit Redimensionner des images

• La boite de dialogue Image Resizer s’ouvre alors.
• Vous choisissez ensuite la taille des images à appliquer.

Voici un autre tutoriel pour rendommensionner une image ou photo :

Keyboard Manager

Le gestionnaire de clavier (KBM) de PowerToys est un remappeur de clavier qui permet à un utilisateur de redéfinir les touches de son clavier.
Le module Keyboard Manager vous permet donc de changer la correspondance des touches de votre clavier.

Par exemple ci-dessous, on fait correspondre la touche T à D.
Lorsque vous appuyez sur T, cela donne un D.

Utilitaires de souris

Les utilitaires de la souris ajouteront à terme un ensemble complet de nouveaux utilitaires liés à la souris et conçus pour améliorer la fonctionnalité de la souris et du curseur sur les systèmes Windows.

• Rechercher ma souris
• Surligneur de curseurs de souris
• Saut de souris pour parcourir de longue distance avec le curseur
• Réticules de pointeurs de souris

PowerToys Run

PowerToys Run de PowerToys est un lanceur rapide pour les utilisateurs expérimentés qui a des capacités supplémentaires sans sacrifier les performances.
Il fonctionne avec des plug-ins qui permettent par exemple de rechercher dans les clés du registre Windows ou effectuer une opérations mathématiques via la calculatrice.

Appuyez sur Alt + Espace et commencez à saisir le début de l’application ou document à ouvrir.

Le bandeau exécuter s’ouvre et vous bénéficiez d’une recherche d’application ou documents pour trouver plus facile le logiciel à ouvrir ou un document spécifique.

La combinaison de touches est configurable dans les paramètres.

Plus bas vous pouvez activer ou désactiver des plugins si besoin.

L’article PowerToys : ajouter des fonctionnalités à Windows 10, 11 est apparu en premier sur malekal.com.

Les utilisateurs particuliers ou les entreprises utilisent des logiciels soumises à des licences.
Les éditeurs ou développeurs peuvent aussi réutiliser des bibliothèques soumises à des licences.
Il existe de nombreux types de licences logicielles, avec des conditions, des accords d’assistance, des restrictions et des coûts différents. Les utilisateurs doivent comprendre les principes de base des licences logicielles, afin de s’assurer qu’ils comprennent bien leurs responsabilités et qu’ils respectent les conditions et les limitations légales.

Dans cet article, je vous explique ce qu’est une licence logicielle, j’énumère sept types de licences courantes, je vous explique aussi pourquoi elles sont importantes et nous donnons des conseils pour vous aider à les utiliser dans votre carrière.

Qu’est-ce qu’une licence logicielle

Une licence de logiciel est un contrat entre l’entité qui a créé et fourni une application, le code source sous-jacent ou un produit connexe et son utilisateur final. La licence est un document textuel destiné à protéger la propriété intellectuelle du développeur du logiciel et à limiter toute réclamation à son encontre pouvant résulter de son utilisation.

Les licences de logiciels sont importantes car elles protègent la propriété intellectuelle des développeurs. Les licences peuvent également fournir aux développeurs une voie de recours juridique claire lorsque les utilisateurs ne respectent pas les stipulations des accords de licence. Les licences de logiciel visent à garantir que toutes les parties qui créent et utilisent le logiciel peuvent en bénéficier. Ces licences permettent également de définir dans quelle mesure un utilisateur peut exploiter le logiciel, y accéder et en modifier le code source, grâce aux licence utilisateur final (CLUF) qui définissent les grandes lignes juridiques des droits d’un utilisateur à installer et à utiliser le logiciel après l’avoir acheté.

Enfin ces licences peuvent toucher un ou plusieurs utilisateurs.
On distingue alors :

• Licence mono-utilisateur – Le logiciel est concédé sous licence à un seul utilisateur et souvent à un seul ordinateur
• Licence multi-utilisateurs – Cette licence vous permet d’installer un programme sur plusieurs ordinateurs utilisés par plusieurs utilisateurs. Il s’agit généralement d’un nombre déterminé d’utilisateurs. Par exemple, une licence multi-utilisateurs pour cinq utilisateurs permet à cinq personnes d’utiliser le programme
• Licence de site – Un programme peut être installé sur un nombre illimité d’ordinateurs, à condition qu’ils se trouvent à l’emplacement de la licence de site. Les licences de site sont généralement destinées aux écoles et aux entreprises

Les licences ouvertes, libres, open sources et les licences fermées

On distingue globalement deux types de licences : les licences ouvertes ou libres et les licences fermées.

Les éditeurs de logiciels commerciaux proposent en général des licences fermées.
Elles sont très restrictives et vous n’avez le droit de rien faire que d’utiliser le logiciel.
Par exemple, vous n’avez pas le droit de distribuer ou de copier le logiciel ou encore d’étudier son fonctionnement.
Pour protéger leurs logiciels, des d’activation sont mis en place.
Cela peut prendre la forme d’une clé ou fichier de licence que l’on obtient lors de l’achat, l’utilisateur doit alors l’intégrer. Cela peut aussi prendre la forme d’une activation en ligne.
Contourner ces activations et donc la licence d’utilisation se nomment cracker un logiciel.
Enfin ce type de licence, se fait en général, par l’acception de la licence utilisateur final (CLUF) lors de l’installation du logiciel.

Toutefois, un autre point de vue soutient que cela confère un niveau de contrôle inutile aux éditeurs de logiciels. En empêchant les détenteurs de licences de copier et de modifier le code source d’un logiciel, les éditeurs de logiciels propriétaires étouffent l’innovation et freinent la croissance potentielle des nouvelles technologies.
Cette position a inspiré la création de licences qui accordent aux utilisateurs le droit d’étudier, de modifier et de partager le code source du logiciel à leur guise. Les logiciels sous licence de ce type sont généralement connus sous l’une des deux appellations suivantes : logiciel libre ou logiciel ouvert.

Quelques licences logiciels à connaître

Licence du domaine public

Une licence de domaine public est la forme la plus ouverte de licence que peut avoir un logiciel.
Une licence de domaine public n’impose aucune restriction d’utilisation, ce qui permet aux utilisateurs de créer des produits personnels et professionnels à l’aide du logiciel sans compensation financière pour son concepteur.
Les logiciels dotés d’une licence de domaine public sont souvent des logiciels libres, ce qui permet aux utilisateurs d’adapter ou de développer le code du logiciel afin d’en personnaliser l’utilisation ou de créer un nouveau progiciel.

GNU/LGPL – Licence publique générale amoindrie de GNU (LGPL)

La GNU Lesser General Public License ou LGPL est une licence logicielle publiée par la Free Software Foundation.
La LPGL est une variante de la GNU General Public License (GPL) qui permet aux développeurs d’utiliser des bibliothèques open-source dans le code de leur logiciel sans publier le code source qu’ils ont utilisé pour créer leurs composants.

En vertu d’une licence LGPL, les développeurs ont le droit d’intégrer des liens vers des bibliothèques à code source ouvert dans leur propre logiciel. Le code résultant peut être concédé sous n’importe quel autre type de licence – même propriétaire – lorsque les projets sont compilés ou liés de manière à inclure une bibliothèque sous licence LGPL.

La mise en garde est que si une partie de la bibliothèque est copiée dans le code ou modifiée, les termes de la licence LGPL originale s’appliqueront au code développé qui utilise la bibliothèque.

Permissive

Les licences permissives contiennent des restrictions minimales sur la manière dont le logiciel peut être modifié ou redistribué. Elles sont également connues sous le nom de “licences de type attribution”, car elles n’exigent généralement que la conservation des informations relatives au droit d’auteur dans un fichier de notification lors de la distribution du logiciel.
Ce type de licence est similaire aux licences du domaine public mais est plus restrictif car il peut être assorti de certaines conditions de protection de la propriété intellectuelle. Cette licence exige généralement que vous conserviez les informations relatives aux droits d’auteur du logiciel sous licence dans votre distribution.

Cette catégorie de licence logicielle est le type de licence open source le plus populaire.
Les exemples les plus connus de cette catégorie sont la licence Apache, la licence BSD et la licence MIT, la plus courante.
On trouve aussi Licence Creative Commons.

Copyleft faible

La licence publique générale amoindrie de GNU est connue comme une licence de type “gauche d’auteur faible“.

Elle est conçue pour permettre l’établissement de liens avec des bibliothèques open source avec peu d’obligations. Si un logiciel lie dynamiquement une bibliothèque sous licence LGPL, l’ensemble du travail peut être distribué sous n’importe quelle licence, même une licence propriétaire, avec des exigences minimales. L’établissement de liens statiques et/ou la modification de la bibliothèque sont plus compliqués. Et l’utilisation du composant sous licence LGPL d’une autre manière s’accompagne d’obligations en matière de gauche d’auteur.

D’autres licences à gauche d’auteur faibles (y compris la MPL, la CDDL et Eclipse) se situent entre la licence permissive (propriétaire) et la licence à gauche d’auteur.

Copyleft

Les licences copyleft sont également connues sous le nom de licences réciproques ou de licences restrictives.

Les licences copyleft sont des licences réciproques ou restrictives, et bien qu’elles soient similaires à une LGPL, une licence copyleft comporte plus de stipulations à suivre.
Selon les termes d’une licence copyleft, le code sous licence peut être modifié ou distribué dans le cadre d’un projet logiciel si le nouveau code est distribué sous la même licence logicielle.

Cela signifie que si le code inclus dans le produit logiciel a été spécifié pour un “usage personnel uniquement”, le nouveau produit distribué doit porter cette même désignation/restriction.

Cela peut contribuer à créer un monde de développement plus ouvert, car ces nouveaux travaux deviennent leur propre source d’inspiration ou d’aide pour d’autres qui créent des produits, qu’ils publient également sous la licence copyleft

Commerciales ou propriétaires

De tous les types de licences logicielles, ce sont les plus restrictives.
La plupart des licences propriétaires réservent tous les droits du développeur ou de l’éditeur lors de la publication du logiciel, interdisent aux utilisateurs de modifier ou de redistribuer le logiciel ou son code et obligent les utilisateurs finaux à accepter le contrat de licence utilisateur final (CLUF) d’un logiciel sous licence propriétaire s’ils veulent utiliser le logiciel. Ce type de licence protège les intérêts du développeur plus que tout autre type de licence.

Double

Un détenteur de droits d’auteur peut choisir de proposer son logiciel sous différentes licences à différents utilisateurs. Un modèle commercial de plus en plus courant est celui de la double licence, c’est-à-dire l’utilisation à la fois d’un copyleft ou d’une autre forme de licence ouverte mais restrictive, et d’une licence commerciale. La stratégie consiste à utiliser la licence open source pour permettre aux développeurs de mettre facilement la main sur le code et de l’essayer, tout en respectant les obligations de la licence commerciale.

L’article Qu’est-ce qu’une licence de logiciel : 7 types de licences à connaître est apparu en premier sur malekal.com.

Au moment de la fermeture de Windows avant l’arrêt, un message “task host Window” s’affiche qui bloque la fermeture Windows.
Sur Windows 10 et Windows 11, le message est “fermeture d’une application et redémarrage – task host Windows” alors que sur Windows 7 “1 programme doit toujours fermer (En attente)”  – Fenêtre de l’hôte de tâche“
Vous devez alors forcer l’arrêt de Windows pour que ce dernier se ferme.

Ce tutoriel vous donne plusieurs solutions pour résoudre “task host Window” qui bloque la fermeture et l’arrêt de votre PC en Windows 11, Windows 10 ou Windows 7.

Qu’est-ce que taskhost et pourquoi ce blocage ?

task host pour Processus hôte pour Tâches Windows est un processus système de Windows (taskhost.exe), ce dernier gère l’exécution de processus tiers.
Lorsque taskhost s’affiche à la fermeture de Windows, cela est probablement lié à une opération qui est en cours d’exécution et qui n’est pas terminé.
Par exemple, cela peut-être liée à l’installation d’une mise à jour de Windows ou une opération de Windows Update.
Une application qui effectue des opérations dans Windows peut aussi afficher ce message taskhost.

La fenêtre de l’hôte des tâches empêche l’arrêt de votre ordinateur en cas de problème avec les mises à jour automatiques de Windows ou si vous essayez de l’arrêter alors qu’une installation critique ou un programme contenant des données non sauvegardées est en cours d’exécution.
Il est également possible que certains paramètres du système, tels que le démarrage rapide, contribuent au problème.

Quelques sources de ce blocage TaskHost :

• Des mises à jour sont en attente d’installation et peuvent parfois provoquer ce message
• Vous avez arrêter votre ordinateur juste après avoir ouvert la session Windows. Certains éléments du démarrage étaient encore en cours au moment d’arrêter Windows
• Windows est trop encombré et est lent, cela peut jouer sur la réactivité du système et provoquer un blocage de la fermeture de Windows

Comment résoudre Task host bloque l’arrêt de Windows 11 ou Windows 10

Fermer tous les programmes ouverts et en cours d’exécution

Assurez-vous qu’aucun des programmes que vous avez essayé d’installer mais que vous avez oubliés n’est encore en cours d’exécution sur votre ordinateur. Vous rencontrerez probablement ce problème si vous essayez d’éteindre votre ordinateur au milieu d’une installation. Il en va de même si vous essayez d’éteindre votre ordinateur sans sauvegarder les données non enregistrées d’une application.

Par conséquent, revenez en arrière à partir de cette fenêtre, laissez l’installation se terminer ou fermez-la, enregistrez les données non sauvegardées, fermez l’application et éteignez votre appareil.

Lorsque la fermeture des programmes en cours d’exécution ou des applications dont le travail n’a pas été enregistré échoue, vous devez exclure les problèmes liés à Windows Update. Les quelques correctifs suivants vous aideront à y parvenir.

Vérifier si des mises à jour sont en attente d’installation

Vérifiez que des mises à jour ne sont pas en attente d’installation.
Si c’est le cas, installez toutes les mises à jour.

Sur Windows 10 :

• Ouvrez les paramètres de Windows 10
• Puis Mise à jour et Sécurité
• Vérifiez si des mises à jour sont en attente d’installation, si c’est le cas, installez les

Sur Windows 11 :

• Ouvrez les paramètres de Windows 11
• A gauche, cliquez sur Windows Update
• Puis à droite, vérifiez si le message “Vous êtes à jour” est présent
• Lancez une recherche des mises à jour si nécessaires

Désactiver la tâche planifiée RAC

Si pas mieux, tentez de désactiver la tâche planifiée RAC.
Pour cela :

• Sur votre clavier, utilisez le raccourci clavier + R
• puis saisir taskschd.msc et cliquez sur OK. Pour plus de détails, suivez ce tutoriel : Comment ouvrir les tâches planifiées, planificateur de tâches sur Windows 10, 11

• Déroulez l’arborescence suivante des tâches planifiées de Windows : Bibliothèque du planificateur de tâches > Microsoft > Windows > RAC
• A droite, sur RacTask, faites un clic droit puis Désactiver

• Redémarrez l’ordinateur pour prendre en compte les modifications puis testez si Task Host bloque encore Windows

Désinstaller la dernière mise à jour de Windows

L’étape suivante consiste à désinstaller toutes les mises à jour récentes qui ont été installées automatiquement afin de s’assurer qu’elles ne sont pas à l’origine du problème. Notre guide sur la désinstallation des mises à jour dans Windows 10 et 11 vous montrera comment procéder.

Utiliser l’utilitaire de résolution des problèmes

Si les quatre solutions ci-dessus ne permettent pas de résoudre le problème, vous pouvez lancer le programme de dépannage de Windows Update, qui recherche automatiquement les problèmes liés à Windows Update et les corrige automatiquement.

Windows comprend un certain nombre d’outils de dépannage automatisés pour résoudre les problèmes courants.
Il est capable de réinitialiser les composants Windows Update afin de le réparer.
Voici comment utiliser l’utilitaire de résolution des problèmes Windows Update qui résout la plupart des codes erreurs 0X80070057, 0x80070570, 80004005, 0x80073701, 8024a000, ox8024001e, 0x800700d8, …

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis msdt.exe -id WindowsUpdateDiagnostic

• Dans la liste, cherchez Windows Update puis cliquez dessus
• Cliquez sur Exécuter l’utilitaire de résolution des problèmes

• L’outil de dépannage démarre et analyse Windows 10 pour détecter les problèmes et les résoudre

• Laissez vous guider. Un redémarrage de du PC est alors nécessaire pour prendre en compte les changements

• Enfin relancez une recherche de mise à jour afin de vérifier si Windows Update est réparé et si les codes erreurs continuent de s’afficher

Faire une recherche de virus et Logiciels malveillants

Si des logiciels malveillants et notamment des adwares sont en cours d’exécution, ces derniers peuvent causer des problèmes.
Cela peut notamment bloquer la fermeture de Windows.
Il est alors conseillé de vérifier si des virus sont actifs sur l’ordinateur avec Malwarebytes Anti-Malware, reportez-vous au tutoriel suivant pour effectuer une désinfection : Tutoriel Malwarebytes Anti-Malware (MBAM)

Désactiver WpnUserService dans l’éditeur du registre

Si aucune des solutions proposées n’a fonctionné, désactivez WpnUserService dans l’éditeur du registre. WpnUserService prend en charge les notifications locales et push sous Windows. Lorsque vous le désactivez, vous ne recevez plus de notifications push comme celle dont nous parlons.

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows

• Dans le navigateur de l’éditeur du registre, collez le chemin d’accès suivant :
• Ordinateur\HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\WpnUserService
• Cliquez sur la valeur DWORD nommée Start
• Dans le champ de données Valeur, entrez 4

• Fermez toutes les fenêtres et redémarrez votre ordinateur

Il est important de noter que cette solution ne fera que désactiver les notifications ; le processus d’arrière-plan (ou un problème avec Windows Update) à l’origine de cette notification continuera de fonctionner. Quoi qu’il en soit, vous aurez atteint votre objectif : éteindre votre ordinateur sans recevoir cette notification.

Windows Repair

Windows Repair est un utilitaire gratuit qui permet de réparer des composants et fonctionnalités de Windows.

• Téléchargez Windows Repair puis installez le

• Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation

• Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec

• Puis relancez Windows Repair
• Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
• La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes

• Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés

• Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
• L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer.

• Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée.
• Redémarrez le PC en mode normal de Windows

Plus de détails dans ce tutoriel complet :

Comment résoudre Task host bloque l’arrêt de Windows 7

Un correctif existe même, en clair donc, si Windows 7 n’est pas à jour, vous pouvez rencontrer ce problème taskhost.
Vérifiez donc que Windows 7 est bien à jour :

• Vérifier que le service pack 1 est bien installé : Installer le service pack 1 sur Windows 7
• Installer toutes les mises à jour de Windows 7 en attente, si vous rencontrez des problèmes pour installer les mises à jour de Windows 7, suivez la page : Problèmes Windows Update sur Windows 7

Vérifiez aussi que la clé du registre Windows suivante est bien positionnée.

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows

• Déroulez l’arborescence suivante en cliquant sur les + : HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\Session Manager\Memory Management
• A droite, double cliquez sur ClearPageFileAtShutdown et vérifiez que la valeur est à 0. Si ce n’est pas le cas, mettez la à zéro
• Fermez l’éditeur du registre Windows, redémarrez l’ordinateur pour prendre en compte les modifications
• Tentez une fermeture de Windows pour vérifiez si le blocage Task Host perdure

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Windows 10 et Windows 11 mesure en permanence les performances de votre PC.
Celle-ci est mesurée à travers l’indice d’expérience Windows (WEI) dont le score va de 1,0 à 9.9.
Cela donne une idée de la vitesse de votre PC sans utiliser de programmes tiers.

Dans ce tutoriel, je vous guide pour obtenir l’indice de performances de Windows 11 ou Windows 10 de quatre manières différentes
Enfin d’article, je vous donne aussi quelques astuces pour améliorer l’indice de performes de Windows.

Qu’est-ce que l’indice de performances dans Windows

L’indice d’expérience Windows (WEI) utilise l’outil d’évaluation du système Windows (WinSAT) pour mesurer la capacité de la configuration matérielle et logicielle de votre PC et exprime cette mesure sous la forme d’un nombre appelé score de base. Un score de base élevé signifie généralement que votre PC fonctionnera mieux et plus rapidement qu’un PC dont le score de base est plus faible, en particulier lorsqu’il s’agit d’effectuer des tâches plus avancées et plus gourmandes en ressources.

L’indice WEI comprend un sous-score de cinq domaines clés du matériel d’un PC :

• Les évaluations des graphiques de bureau se concentrent sur la façon dont une fenêtre sur le bureau s’affiche et se déplace
• Les évaluations des graphismes de jeux se concentrent sur la capacité 3D de l’ordinateur
• Le débit de la mémoire système (RAM)
• Le débit de lecture séquentielle du disque dur principal
• La vitesse et la capacité de traitement du processeur (CPU)

Le score de base est égal au plus bas des sous-scores et n’est pas une moyenne des sous-scores.
Les sous-scores peuvent vous aider à déterminer les domaines les moins performants de votre système si vous souhaitez mettre à niveau votre matériel.

L’IFE rapporte le score des composants clés du système sur une échelle de 1,0 à 9,9.

Comment mettre à jour l’indice de performances de Windows

Vous pouvez mettre à jour l’indice de performances en utilisant la commande winsat (facultatif).
Voici comment faire :

• Ouvrez une invite de commandes :
  • Comment ouvrir une invite de commandes sur Windows 10
  • Comment ouvrir Windows Terminal sur Windows 11

• Puis passez la commande suivante

winsat formal

• Une fois l’opération terminée, vous récupérez l’accès à l’invite de commandes

Comment obtenir l’indice de performances de Windows

En CMD avec WMIC

• Appuyez sur le raccourci clavier  + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
• Puis passez la commande suivante :

Get-WmiObject -Class Win32_WinSAT

• Après avoir exécuté la commande, vous obtiendrez une liste des indices de performance calculés. La valeur la plus basse (à l’exclusion de WinSATAssesmentState) sera l’indice de performance et sera également affichée dans WinSPRLevel
• • CPUScore – processeur
  • D3DScore – graphiques pour les jeux et les applications 3D (dans les systèmes modernes, presque toujours au maximum, quelle que soit la carte graphique)
  • DiskScore – performances du disque dur ou du SSD
  • GraphicsScore – graphiques de bureau
  • MemoryScore – RAM

Par le moniteur de performances

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis dans le champs exécuter, saisissez perfmon et OK

• Déroulez ensuite Rapports > Système > System Performance

En PowerShell

• Ouvrez Powershell en administrateur :
  • Ouvrir Powershell sur Windows 10
  • Ouvrir Windows Terminal sur Windows 11

Get-CimInstance Win32_WinSat

Par le fichier WinSAT.xml

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis dans le champs exécuter, saisissez %windir%\Performance\WinSAT\DataStore et OK
• Localisez le fichier Formal.Assessment (Recent).WinSAT.xml avec la date la plus récente
• Faites un clic droit dessus, puis Ouvrir Avec > Microsoft Edge

• Recherchez la partie située entre les balises dans le fichier .xml pour voir quels sont les sous-scores WEI et le score de base de votre PC
• SystemScore sera le score de base

Avec un logiciel tiers (Wintoys ou Winaero WEI Tool)

Winaero WEI Tool est une application gratuit pour calculer et obtenir l’indice de performances de Windows.

L’utilitaire WinToys permet aussi d’afficher le score de performance de Windows.

Comment améliorer l’indice de performances de Windows

Vous pouvez améliorer votre indice de performances du côté logiciels en réduisant au maximum les applications en cours de fonctionnement.
Cela va réduire l’empreinte système, libérer des ressources systèmes.

• Comment accélérer Windows 11
• Comment accélérer Windows 10

La seconde façon d’obtenir un meilleur score d’indice de performance est hardware.
Il s’agit d’upgrader votre PC pour qu’il soit plus performance.

L’article Obtenir et améliorer l’indice de performances de Windows 11/10 est apparu en premier sur malekal.com.

Lorsque vous jouez à Diablo IV, il est possible que vous rencontriez des problèmes de freez.
Des mini blocages, gel et bégaiements qui peuvent même parfois conduire à des plantages du jeu.
En général, c’est pendant les parties de jeux mais parfois pour certains joueurs rencontrent des crashs dès le lancement du jeu ou lors de la sélection du personnage.
Cela peut avoir pour origine une forte utilisation du CPU (processeur) ou des messages “Plus assez de mémoire/out of memory”

Dans ce tutoriel, je vous donne plusieurs solutions pour corriger les problèmes de freez ou plantages dans Diablo 4.

Quelles sont les sources des problèmes de freez ou plantage de Diablo 4

Voici les probables sources des instabilités du jeu :

• Votre PC ne répond pas aux exigeances minimales de Diablo 4
• La qualité de votre connexion internet n’est pas assez bonne. Notamment lorsque vous faites des raids en multi-joueurs
• Il peut arriver parfois que le jeu se mette à freez au bout d’un certains temps de jeu, vous êtes alors obligé de relancer
• Vous lancez le jeu avec des applications ouvertes comme un navigateur internet
• Diablo IV est endommagé, il faut le réparer

Il est aussi possible que le jeu comporte quelques bogues comme sa sortie est récente.
Cela peut toucher certaines configurations.
Blizzard va certainement en corriger au fur et à mesures.
Les constructeurs de carte graphique NVIDIA et AMD peuvent aussi produire des mises à jour de pilotes avec des correctifs.

Comment corriger les problèmes de freez ou plantages sur Diablo IV

Assurez-vous que votre ordinateur répond à la configuration requise pour Diablo IV

Remarque : le jeu essaiera de fonctionner même si le système ne répond pas à la configuration requise. Cela peut entraîner des bogues inconnus, des plantages ou des problèmes de performance qui peuvent ne pas être résolus.

Voici les configurations requises pour jouer à Diablo 4.

Spécifications et configurations minimales PC pour Diablo 4 :

• Système d’exploitation : Windows 10 64 bits
• Processeur : Intel Core i5-2500K ou AMD FX-8100
• Mémoire : 8 GB RAM
• Carte graphique : NVIDIA GeForce GTX 660 ou AMD Radeon R9 280
• DirectX : version 12
• Stockage : SSD avec 45 Go d’espace disponible
• Internet : Connexion haut débit

Spécifications et configurations recommandées PC pour Diablo 4 :

• Système d’exploitation : Windows 10 64 bits
• Processeur : Intel Core i5-4670K ou AMD R3-1300X
• Mémoire : 16 Go de RAM
• Carte graphique : NVIDIA GeForce GTX 970 ou AMD Radeon RX 470
• DirectX : Version 12
• Stockage : SSD avec 45 Go d’espace disponible
• Internet : Connexion haut débit

Désactiver les effets chromatiques

Si vous rencontrez des plantages du jeu dès le lancement ou à la sélection de votre personnage.
Essayez de désactiver les effets chromatiques.
Cela peut aussi parfois aider si vous rencontrez des freez.

Voici comment faire :

• Ouvrez le dossier Documents > Diablo IV
• Double-cliquez sur LocalPrefs.txt
• Modifiez la valeur DisableChromaEffects de 0 à 1

• Relancez Diablo IV pour vérifier si les problèmes de gel ou plantages sont corrigés

Mettre à jour vos pilotes de la carte graphique

Les pilotes de la carte graphique peuvent boguer ce qui provoque des plantages systèmes (BSOD, freez complet, …).
Lorsque cela arrive, il faut réinstaller proprement la dernière version des pilotes graphiques.

Commencez par un nettoyage avec Display Driver Uninstaller :

Puis téléchargez et installez les pilotes de la carte vidéo :

• AMD Radeon : Mettre à jour les pilotes carte graphique
• NVIDIA : Mettre à jour les pilotes de la carte graphique
• Intel HD Graphics : installer/mettre à jour les pilotes

Mettre à jour le BIOS

De la même manière, il peut être judicieux de vérifier si une mise à jour du BIOS est disponible.
Cela peut aussi corriger des bogues et comportement aléatoires du PC qui peuvent s’en ressortir sur Diablo 4.

Pour y parvenir, suivez ce guide complet :

Fermer toutes les autres applications pour résoudre les conflits logiciels et libérer des ressources systèmes

Si vous avez trop d’applications ouvertes, comme des navigateurs internet, cela utilise des ressources systèmes.
C’est source importante de ralentissements du jeu.
Fermez toutes les applications ouvertes et relancez Diablo 4.

Désactiver temporairement les programmes de sécurité

Les logiciels de sécurité peuvent utiliser aussi les ressources systèmes.
Certaines ont aussi un impact sur le fonctionnement général du système, c’est notamment le cas des suites de sécurité ou encore de COMODO.
Si vous avez un antivirus tiers, essayez de le désinstaller pour s’assurer qu’il n’a pas un impact néfaste sur le fonctionnement de Diablo IV.

Quelques tweaks pour régler les problèmes de gels

Voici quelques réglages à essayer afin de résoudre les problèmes de gel de Diablo IV.

• Si vous avez modifié les réglages de la mémoire virtuelle (pagefile.sys), remettez en automatique
• Désactiver GSync dans le panneau de configuration Nvidia
• Baisse de l’horloge du cœur du GPU et de l’horloge de la mémoire de 502 dans MSI Afterburner. Le plus bas possible
• Changer le préréglage de la qualité graphique dans le jeu en Ultra
• Cap FPS à 60 dans le panneau de contrôle Nvidia (peut faire la même chose dans le jeu)
• Testez avec MSI Afterburner Power Limit à 115%
• Changer le pourcentage de résolution à 70% dans le jeu (je ne suis pas sûr de ce que cela apporte)
• Vérifier les températures du PC, s’il surchauffe cela peut être une source de CPU/GPU Throttling

De manière générale, essayez de baisser les détails graphiques du jeu et testez si cela aide à résoudre les freez.

Réparer ou réinstaller Diablo IV

Enfin dans le cas où votre jeu Diablo 4 est endommagé, cela peut être la source des plantages ou problème de fonctionnement.
Tentez de réparer ce dernier :

• Ouvrez Battle.net
• Faites un clic sur l’icône roue cranté à droite du bouton bleu Jouer
• Dans le menu déroulant, cliquez sur Vérifier et réparer

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BackgroundTaskHost.exe (Background Task Host) est un processus système de Windows 11 et Windows 10.
Il est lié à Cortana et avec SearchApp.exe, il est actif lorsque vous utilisez le menu Démarrer et la recherche Windows.
Il fonctionne en arrière-plan et est donc invisible pour l’utilisateur à moins qu’une erreur d’application ne se produise.

Dans ce tutoriel, vous trouverez quelques informations sur ce processus système.

Qu’est-ce que BackgroundTaskHost.exe

backgroundtaskhost.exe fait partie de l’assistant virtuel Cortana de Microsoft pour Windows. Cortana est un assistant virtuel qui peut vous aider lorsque vous utilisez votre PC, à l’instar de Siri d’Apple.
Par exemple, vous pouvez demander à Cortana de vous donner la météo ou de rechercher des fichiers pour vous sur votre PC. À l’origine, Cortana était un personnage IA dans le célèbre jeu Xbox Halo de Microsoft.

Ce processus système est aussi en lien avec SearchApp.exe et d’autres processus pour le fonctionnement du menu Démarre et de la recherche Windows.

Comment vérifier que BackgroundTaskHost.exe n’est pas un virus

BackgroundTaskHost.exe est un processus système qui ne s’exécute pas en arrière-plan de manière continue.
Vous ne devez donc pas voir BackgroundTaskHost.exe dans le gestionnaire de tâches, seulement brièvement lorsque vous utilisez le menu Démarrer ou Cortana.

Si vous avez un doute sur le fichier BackgroundTaskHost.exe qui s’exécute sur votre ordinateur et que vous pensez qu’un virus usurpe le nom de fichier. Vous pouvez vérifier qu’il s’agit bien du véritable processus système inclut dans Windows.

Voici comment faire :

• Ouvrez le gestionnaire de tâches par un clic droit sur le menu Démarrer ou utilisez le raccourci clavier + X
• Cherchez et faites un clic droit sur Background Task Host
• Dans le menu déroulant, cliquez sur l’option Ouvrir l’emplacement du fichier
• Maintenant, vérifiez le répertoire dans lequel se trouve le fichier. S’il est situé dans le répertoire C:\Windows\System32, vous ne devez pas vous inquiéter

Si vous avez un fichier taskhostw.exe dans un autre emplacement, il peut s’agir d’un logiciel malveillant.
En cas de doute, contrôlez le fichier sur VirusTotal.

Résoudre les erreurs BackgroundTaskHost.exe

Lorsque la recherche Windows ou le menu Démarrer ne fonctionne pas correctement, vous pouvez rencontrer des erreurs d’applications de BackgroundTaskHost.exe.
Cela se manifeste par des entrées Application Error dans les journaux Windows.

Voici quelques pistes pour résoudre ces erreurs :

• Désinstaller votre antivirus et tout logiciel de sécurité
• Créez un nouvel utilisateur Windows LOCAL (non Microsoft) et testez dessus si cela résout les problèmes : Comment ajouter un utilisateur sur Windows

Si cela n’aide pas, suivez ces tutoriels :

• Windows 10 : Le menu Démarrer ne répond/s’ouvre pas
• Le menu Démarrer bloqué ou n’ouvre pas dans Windows 11 : 12 solutions

L’article BackgroundTaskHost.exe (Background Task Host) est apparu en premier sur malekal.com.

Dans un précédent article, j’avais abordé les types de licences logiciels : Logiciel open source, freeware, logiciel libre, shareware, propriétaire : les différences
L’article abordait les logiciels libres et les logiciels open sources.
Souvent confondus car le but recherché est essentiellement identique, il existe tout de même une philosophie différente à connaître.

Dans ce guide, je vous explique les différences à connaître entre les logiciels open source et les logiciels libres.

Un peu d’histoire et de contexte

Dans les années 1950, presque tous les logiciels étaient produits par des universitaires et des chercheurs. Ils partageaient les logiciels et le code source sans restriction afin que les utilisateurs puissent corriger leurs propres bogues. Il s’agissait en grande partie de logiciels du domaine public, ce qui, au sens du droit d’auteur, est la forme la plus libre de la gratuité.

C’était en partie une question de culture. Une partie est due à la nature du logiciel. Contrairement aux biens matériels, les logiciels numériques peuvent être copiés à l’infini, gratuitement et avec un minimum d’effort. Le matériel informatique pouvait être vendu, certes, mais le code ?

Les choses ont commencé à changer dans les années 1970.
A mesure que les logiciels devenaient plus complexes et plus coûteux à produire, les éditeurs de logiciels ont cherché des moyens de mettre un terme au partage débridé du code source afin de protéger leurs sources de revenus et d’empêcher leurs concurrents d’accéder à leur mise en œuvre.
Ils ont commencé à imposer des restrictions légales à leurs produits, notamment des droits d’auteur et des contrats de location, et ont également commencé à distribuer leurs produits sous des licences propriétaires.
IBM a commencé à facturer séparément les logiciels et a cessé de fournir le code source.
À la fin des années 1970, la plupart des éditeurs de logiciels ont cessé de livrer des logiciels avec le code source.
Cette situation a conduit de nombreux utilisateurs de longue date à exprimer leur mécontentement, et leur philosophie a fini par constituer le fondement du mouvement du logiciel libre.

Cette situation a donné lieu à un procès antitrust qui a duré de 1969 à 1982.
En 1983, Apple a gagné un procès devant la Cour suprême, qui a décidé que les logiciels binaires pouvaient faire l’objet d’un droit d’auteur. Microsoft a lancé Windows quelques années plus tard.

C’est dans ce climat que s’est formé le mouvement en faveur des logiciels “libres”.

Le mouvement des logiciels libres

À partir des années 1970, Unix a été le système d’exploitation dominant. En 1983, Richard Stallman a annoncé un projet visant à créer un système d’exploitation compatible avec Unix qui ne soit pas propriétaire, le projet GNU. Deux ans plus tard, il a fondé la Free Software Foundation avec pour mission de défendre les logiciels libres et d’éduquer les gens à ce sujet.

Stallman n’a pas inventé l’expression “logiciel libre”, qui fait largement référence aux logiciels du domaine public. Mais il a précisé ce que signifiait un logiciel libre.

La Free Software Foundation définit le logiciel libre comme un logiciel que les utilisateurs sont libres d’exécuter, de copier, de distribuer, d’étudier, de modifier et d’améliorer. Le terme “libre” fait référence à ces libertés, et non au prix. Il se trouve que la plupart des logiciels libres ne coûtent pas d’argent, principalement parce que les entreprises qui cherchent à vendre des logiciels ont tendance à restreindre la liberté des utilisateurs de copier, de distribuer ou d’améliorer ce qu’ils achètent.

La Free Software Foundation énumère quatre libertés qu’elle considère comme essentielles :

• Liberté 0 — La liberté d’exécuter le programme comme vous le souhaitez, dans n’importe quel but
• Liberté 1 — La liberté d’étudier le fonctionnement du programme et de le modifier pour qu’il fasse vos calculs comme vous le souhaitez. L’accès au code source est une condition préalable
• Liberté 2 — La liberté de redistribuer des copies afin d’aider son voisin
• Liberté 3 — La liberté de distribuer des copies de vos versions modifiées à d’autres personnes. Ce faisant, vous pouvez donner à l’ensemble de la communauté une chance de bénéficier de vos modifications. L’accès au code source est une condition préalable

En d’autre terme, un logiciel libre est un logiciel qui respecte la liberté et la communauté des utilisateurs. En gros, cela signifie que les utilisateurs ont la liberté d’exécuter, de copier, de distribuer, d’étudier, de modifier et d’améliorer le logiciel.

Les caractéristiques d’un logiciel open source

Un logiciel libre est un logiciel que vous pouvez modifier selon vos besoins et partager avec d’autres sans avoir à respecter les conditions de licence. Lorsque nous parlons d’Open Source, le code source du logiciel est disponible publiquement avec des licences Open Source comme la GNU (GPL) qui vous permet de modifier le code source et de le distribuer. Lisez ces licences et vous comprendrez qu’elles ont été créées pour nous aider.

L’Open Source Initiative (OSI) a été fondée par Raymond et Bruce Perens pour encourager à la fois l’utilisation du nouveau terme et la diffusion des principes de l’Open Source. L’OSI a également élaboré la définition de l’Open Source, une liste de dix principes auxquels la licence d’un logiciel doit adhérer pour que celui-ci soit considéré comme un logiciel libre :

• Redistribution gratuite – La licence ne doit pas empêcher une partie de vendre ou de donner le logiciel en tant que composant d’une distribution logicielle plus large contenant des programmes provenant de sources multiples
• Code source – Le programme doit inclure le code source et doit permettre la distribution sous forme de code source et sous forme compilée
• Œuvres dérivées – La licence doit autoriser les modifications et les œuvres dérivées, et doit permettre leur distribution dans les mêmes conditions que la licence du logiciel original
• Intégrité du code source de l’auteur – La licence peut restreindre la distribution du code source sous une forme modifiée uniquement si elle autorise la distribution de “fichiers patch” avec le code source dans le but de modifier le programme au moment de la compilation
• Pas de discrimination à l’égard de personnes ou de groupes – La licence ne doit pas être discriminatoire à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes
• Pas de discrimination à l’égard de domaines d’activité – La licence ne doit pas empêcher quiconque d’utiliser le programme dans un domaine d’activité spécifique
• Distribution de la licence – Les droits attachés au programme doivent s’appliquer à tous ceux à qui le programme est redistribué sans qu’il soit nécessaire que ces parties signent une licence supplémentaire
• La licence ne doit pas être spécifique à un produit – Les droits attachés au programme ne doivent pas dépendre du fait que le programme fasse partie d’une distribution particulière de logiciels
• La licence ne doit pas restreindre d’autres logiciels – La licence ne doit pas imposer de restrictions à d’autres logiciels distribués avec le logiciel sous licence
• La licence doit être neutre sur le plan technologique – Aucune disposition de la licence ne doit être fondée sur une technologie ou un style d’interface particulier

Les différences essentielles entre un logiciel libre et open source

Les mouvements du logiciel libre et de l’open source sont d’accord sur la plupart des valeurs fondamentales, mais ils ont des définitions différentes de la liberté.

La Free Software Foundation adopte le copyleft pour protéger les quatre libertés énumérées ci-dessus. Ce système empêche légalement les personnes de redistribuer des logiciels libres en y ajoutant des restrictions. L’organisation a inscrit ce principe dans la licence publique générale GNU. Toute personne qui utilise du code GPL doit également publier ses propres créations sous GPL.

La plupart des programmes de base qui permettent à Linux et à d’autres systèmes d’exploitation libres de fonctionner ont été créés dans le cadre du projet GNU. Nombre de ces applications sont placées sous licence GPL.

Les licences de logiciels libres sont également des licences open source, mais toutes les licences open source n’obligent pas les développeurs à partager leur code. Certaines autorisent les développeurs à utiliser le code open source pour créer des applications fermées, comme la licence MIT. Ces licences sans gauche d’auteur sont connues sous le nom de licences permissives.

Alors qu’un défenseur des logiciels libres peut considérer que l’utilisation d’un logiciel libre pour créer un logiciel non libre restreint les libertés de l’utilisateur, un partisan de l’open source peut être plus enclin à considérer qu’une licence permissive est vraiment libre, c’est-à-dire que les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent avec le code, même si cela signifie créer une application propriétaire.

Certaines personnes particulièrement éminentes soutiennent que certaines licences de logiciels libres, telles que la GPL v3, comportent tellement de conditions qu’elles limitent considérablement la liberté du développeur.

S.No.	Philosophie des logiciels libres	Philosophie de l’open source
1.	Il a été inventé par la Free Software Foundation dans les années 1980.	En réponse aux restrictions imposées par les logiciels libres, l’expression “open source” a été inventée à la fin des années 1990.
2.	Les logiciels occupent une place importante dans la vie des gens.	Un logiciel n’est qu’un logiciel. Il n’y a pas d’éthique qui lui soit directement associée.
3.	La liberté des logiciels se traduit par la liberté sociale.	L’éthique doit être associée aux personnes et non aux logiciels.
4.	La liberté est une valeur plus importante que n’importe quel avantage économique.	La liberté n’est pas un concept absolu. La liberté doit être permise et non imposée.
5.	Tous les logiciels libres sont des logiciels à source ouverte.	Tout logiciel à source ouverte n’est pas un logiciel libre.
6.	Ce problème n’existe pas dans les logiciels libres.	Il existe de nombreuses licences différentes pour les logiciels libres, et certaines d’entre elles sont très restrictives, ce qui fait que les logiciels libres ne sont pas gratuits.
7.	Aucune restriction n’est imposée aux logiciels libres.	Les logiciels libres imposent parfois certaines contraintes aux utilisateurs.
8.	Exemples : Le Free Software Directory (annuaire des logiciels libres) tient à jour une vaste base de données de logiciels libres. Parmi les exemples les plus connus figurent le noyau Linux, les systèmes d’exploitation BSD et Linux, la collection de compilateurs GNU et la bibliothèque C, la base de données relationnelle MySQL, le serveur web Apache et l’agent de transport de courrier Sendmail.	Exemples : Le serveur HTTP Apache, la plateforme de commerce électronique Open Source Commerce, les navigateurs internet Mozilla Firefox et Chromium (le projet dans lequel s’effectue la majeure partie du développement du logiciel gratuit Google Chrome), ainsi que la suite bureautique complète LibreOffice sont de parfaits exemples de produits à code source ouvert.

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stat est un utilitaire de ligne de commande qui affiche des informations détaillées sur des fichiers ou des systèmes de fichiers.

Ce tutoriel explique comment utiliser la commande stat avec de nombreux exemples.

Comment utiliser la commande stat de Linux

Syntaxe

La syntaxe de la commande stat est la suivante :

stat [OPTION]… FICHIER…

stat accepte un ou plusieurs noms de FICHIER en entrée et inclut un certain nombre d’options qui contrôlent le comportement de la commande et la sortie.

Examinons l’exemple suivant :

stat fichier.txt

La sortie ressemblera à ceci :

Lorsqu’il est invoqué sans aucune option, stat affiche les informations suivantes sur le fichier :

• Fichier – Le nom du fichier
• Taille – La taille du fichier en octets
• Blocs – Nombre de blocs alloués au fichier
• IO Block – La taille en octets de chaque bloc
• Type de fichier – (ex. fichier normal, répertoire, lien symbolique.)
• Périphérique – Numéro de périphérique en hexadécimal et décimal
• Inode – Numéro d’inode
• Links – Nombre de liens en dur
• Accès – Permissions de fichier dans les méthodes numériques et symboliques
• Uid – ID de l’utilisateur et nom du propriétaire
• Gid – ID de groupe et nom du propriétaire
• Context – Contexte de sécurité SELinux
• Access – Dernier accès au fichier
• Modify – Dernière modification du contenu du fichier
• Change – Dernière modification de l’attribut ou du contenu du fichier
• Birth – Heure de création du fichier (non pris en charge sous Linux)

Afficher les informations du système de fichiers

Pour obtenir des informations sur le système de fichiers où réside le fichier donné, au lieu d’informations sur le fichier lui-même, utilisez l’option -f, (–file-system) :

stat -f fichier.txt

Lorsque stat est invoqué avec l’option -f, il affiche les informations suivantes :

• Fichier – Nom du fichier.
• ID – ID du système de fichiers en hexadécimal.
• Namelen – Longueur maximale des noms de fichiers.
• Fundamental block size – Taille de chaque bloc du système de fichiers.
• Blocks :
  • Total – Nombre total de blocs dans le système de fichiers
  • Free – Nombre de blocs libres dans le système de fichiers
  • Disponible – Nombre de blocs libres accessibles aux utilisateurs non root
• Inodes :
  • Total – Nombre total d’inodes dans le système de fichiers
  • Free – Nombre d’inodes libres dans le système de fichiers

Utiliser la commande stat avec plusieurs fichiers

Vous pouvez exécuter la commande stat avec plusieurs fichiers.

Vous pouvez fournir leurs noms individuellement comme suit :

stat fichier1.txt fichier2.txt

Vous pouvez également fournir un modèle de nom de fichier :

stat *.txt

Déréférencer (suivre) les liens symboliques

Par défaut, stat ne suit pas les liens symboliques. Si vous exécutez la commande sur un lien symbolique, la sortie contiendra des informations sur le lien symbolique, et non sur le fichier vers lequel il pointe :

stat /etc/resolv.conf

Pour déréférencer (suivre) le lien symbolique et afficher des informations sur le fichier vers lequel pointe le lien symbolique, utilisez l’option -L, (–dereference) :

stat -L /etc/resolv.conf

Personnalisation de l’édition

La commande stat dispose de deux options qui vous permettent de personnaliser la sortie en fonction de vos besoins : -c, (–format=”format”) et –-printf=”format”.
La différence entre ces deux options est que lorsque deux fichiers ou plus sont utilisés comme opérandes, –format ajoute automatiquement une nouvelle ligne après la sortie de chaque opérande. –printf interprète les échappements de barre oblique inverse.

Il existe de nombreuses directives de format pour les fichiers et les systèmes de fichiers qui peuvent être utilisées avec –format et –printf.

Par exemple, pour afficher uniquement le type du fichier, vous devez exécuter :

stat --format="%F" /dev/null

Vous pouvez combiner un nombre illimité de directives de formatage et, éventuellement, utiliser des séparateurs personnalisés entre elles. Le séparateur peut être un caractère unique ou une chaîne de caractères :

stat --format="%n,%F" /dev/null

Pour interpréter les caractères spéciaux comme la nouvelle ligne ou la tabulation, utilisez l’option –printf :

stat --printf='Nom : %n\nPermissions : %a\n' /etc

\n imprime une nouvelle ligne :

Nom : /etc
Permissions : 755

La commande stat peut également afficher les informations sous forme laconique. Ce format est utile pour l’analyse par d’autres utilitaires.

Invoquez la commande avec l’option -t (–terse) pour imprimer la sortie sous forme laconique :

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L’une des raisons les plus courantes pour lesquelles vous souhaitez trouver l’identifiant de sécurité (SID) d’un compte d’utilisateur dans Windows est de déterminer quelle clé sous HKEY_USERS dans le registre Windows doit être utilisée pour rechercher des données de registre spécifiques à l’utilisateur.
Il est facile de faire correspondre les SID aux noms d’utilisateur à l’aide de la commande WMIC, disponible à partir de l’invite de commandes dans la plupart des versions de Windows.

Suivez simplement les instructions de tutoriel.

Comment trouver l’identifiant de sécurité (SID) d’un utilisateur dans Windows

Avec WMIC

Suivez ces étapes simples pour afficher un tableau des noms d’utilisateurs et de leurs identifiants correspondants. Il ne vous faudra probablement qu’une minute, voire moins, pour trouver le SID d’un utilisateur dans Windows via WMIC :

• Appuyez sur le raccourci clavier  + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
• Puis utilisez la commande suivante

wmic useraccount get name,sid

• Pour afficher le SID d’un utilisateur spécifique, utilisez le paramètre where name et remplacez UTILISATEUR par le nom du compte utilisateur

wmic useraccount where name="UTILISATEUR" get sid

Dans le registre Windows

Vous pouvez également déterminer le SID d’un utilisateur en examinant les valeurs de ProfileImagePath dans chaque SID préfixé S-1-5-21 répertorié sous cette clé :

• Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
• Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows

• Puis, à gauche, déroulez l’arborescence suivante

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\ProfileList

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